Le chantage au gaz commence en Europe

La Biélorussie (aussi appelée le Bélarus) menace de couper le gaz à l’Europe, cette dernière l’accusant d’utiliser les migrants comme une arme.

Ce chantage au gaz pourrait en préfigurer d’autres venus de l’est de… la France.

Le vilain méchant

La crise frontalière actuelle entre la Biélorussie et l’Union européenne, notamment la Pologne mais aussi la Lituanie, et la Lettonie, est provoquée par un afflux massif de migrants venus par avion du Moyen-Orient et d’Afrique en Biélorussie (avec sa bénédiction).

Le Président dictateur de la Biélorussie (Loukachenko) montre ainsi sa capacité de nuisance à l’Europe. Il lui rappelle qu’elle serait bien inspirée de cesser de critiquer sa politique intérieure et de lui donner des leçons de morale.

Vladimir Poutine s’en réjouit même probablement en secret : il s’insurge avec cynisme contre la Pologne qui a lancé des gaz lacrymogènes contre ces pauvres migrants qui lançaient des pierres aux forces de l’ordre polonaises…

Demain l’Allemagne ?

La sécurité d’approvisionnement en énergie de l’Europe, dont le gaz est une composante essentielle, pour le chauffage et la production d’électricité, notamment en Allemagne, est fragilisée par l’obligation de l’importer de pays étrangers (Russie, Algérie, Etats-Unis, Qatar,…).

L’Allemagne qui se veut la plateforme de distribution (hub) du gaz en Europe avec son nouveau gazoduc Nord Stream 2 (qui sera mis en service en 2022) pourrait un jour imiter la Biélorussie en fermant le robinet de gaz si le reste de l’Europe n’obéit pas à ses « diktats » politiques et commerciaux

Le gaz peut aussi être importé sous forme liquide (GNL) par navires méthaniers des Etats-Unis par exemple. Mais ces bateaux peuvent être déroutés vers les pays les plus offrant en cours de trajet, comme ce fut déjà le cas cet automne 2021 lors de la flambée soudaine des prix du gaz alors qu’il n’existait aucune pénurie.

La seule solution consiste à substituer autant que possible le nucléaire au gaz pour la production d’électricité et le chauffage (directement ou via des pompes à chaleur).

Les inutiles énergies renouvelables

Les ruineuses énergies renouvelables (éoliennes et panneaux photovoltaïques à renouveler tous les 20 ans) ne seront pas suffisantes pour produire l’électricité nécessaire à la décarbonation de l’économie. Elles ont en outre besoin de gaz (et aussi de charbon en Allemagne) pour compenser les absences de production les nuits sans vents.

C’est pourquoi il faudra impérativement développer le nucléaire pour remplacer les centrales à charbon et à gaz, ainsi que les éoliennes et le solaire, afin de décarboner l’économie en profondeur dans l’optique de la réindustrialisation de la France.

Il s’agit de renforcer (ou de faire renaître ?) une industrie décarbonée fondée sur l’électricité décarbonée grâce au nucléaire.

Une tonne d’aluminium produite à Dunkerque avec de l’électricité provenant de la centrale nucléaire de Gravelines (environ 15 mégawattheures (MWh) à 6 kg de CO2 par MWh) n’émet que 0,1 tonne de CO2 alors qu’en Chine … 15 tonnes de CO2 (une tonne de CO2/MWh, soit 150 fois plus !) sont émises pour la même production assurée essentiellement par de l’électricité issue du charbon !

Cette crise du gaz révèle aussi que les taxes sur l’électricité bas carbone sont plus élevées que sur le gaz, alors que dans une perspective de décarbonation, elles devraient s’appliquer sur les matières carbonées comme le charbon et le gaz.

Mais l’Allemagne ne veut pas d’une taxe carbone élevée sur le gaz qui la pénaliserait, elle qui veut sortir du nucléaire et entrer dans l’ère du gaz avec son partenaire russe !

Rappel : leur ancien chancelier Gerhard Schröder, déjà à la tête du comité d’actionnaires d’une société contrôlée par le groupe russe Gazprom depuis 2005, a été élu président du conseil d’administration du pétrolier russe Rosneft en 2017.

Construire ou détruire ?

Le nucléaire s’appuie en France sur 3200 entreprises nationales (contre 500 seulement pour l’aéronautique) avec des contrats de longue durée et des travaux non délocalisables à haute valeur ajoutée. Décider de détruire la centrale nucléaire de Fessenheim a peut-être été un joli coup politique pour un plat de lentilles (vertes), mais ce fut une faute grave commise au détriment de l’intérêt général de la France.

Les réserves de gaz en France sont environ de 3 mois en hiver, tandis que celles d’uranium pour la production d’électricité nucléaire sont de plus de 5 ans, ce qui permet de laisser passer une crise et de voir venir.

Une vision de long terme (plus de 20 ans et jusqu’à 80 ans) est nécessaire dans le domaine de la production d’électricité décarbonée d’origine nucléaire pour construire un avenir décarboné en France et en Europe.

La France a construit son parc actuel de centrales nucléaires qui produit 70% de son électricité pour amortir le choc pétrolier des années 1970. Elle devrait aujourd’hui se mettre autant que possible à l’abri des futurs chantages au gaz et des « chocs gaziers » qui viendront de l’est… ou d’ailleurs (sud, Etats-Unis,…).

La sécurité d’approvisionnement en énergie de la France devrait nourrir la réflexion des candidats durant la campagne présidentielle si les Français ne veulent pas de pénuries de gaz et se retrouver les otages de voisins « indélicats » qui, eux, défendrons d’abord leurs intérêts.

 

commentaires

COMMENTAIRES

  • La France aussi est devenu un importateur de gaz important qui, rien que pour produire de l’électricité et indépendamment des autres usages, brule en continu depuis début novembre entre 7 et 8 GW de ce gaz devenu cher, soit l’équivalent de ce que devraient produire 8 réacteurs nucléaires.
    Malheureusement notre parc vieillissant et de plus en plus difficile à gérer est depuis plus d’un an dans une situation handicapante avec 30% de ses effectifs presqu’en permanence à l’arrêt. Par exemple ce matin, 17 d’entre eux (sur 56) sont à l’arrêt dont 5 pour cause de panne, 2 en maintenance, et les 10 autres pour incapacité à modifier leur puissance selon le besoin et en même temps de contrôler la réactions en chaine. C’est pour cette raison technique de manque de flexibilité qu’en ce moment, au lieu d’utiliser ces 10 réacteurs nous sommes contraint de bruler ce gaz tout en important par ailleurs simultanément et selon les besoins du moment, entre 4 et 9 GW d’électricité de chez nos voisins dont toujours au moins la moitié depuis l’Allemagne.

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    • Vous démontrez juste que, par suite des faux écolos anti nucléaire et des amoureux du gaz comme vous, on a pris du retrd dans le renouvellement de nos centrales nucléaires.
      Parfaitement d’accord.
      Et qu’il faut en conséquence lancer la construction d’une quarantaine de centrales nucléaires, lancements répartis sur 20 ans.
      Merci de votre démonstration.

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  • Quand Monsieur Gay parle de ruineuses énergies renouvelables il semble ignorer qu’elles coutent trois fois moins cher que l’énergie nucléaire et cela sans produire de déchets millénaires, et tout en nécessitant moins de béton pour ancrer 15 000 éoliennes que pour simplement faire le cercueil CIGEO de ces déchets, sans compter ce qui est nécessaire pour toutes ces centrales et usines de prés et post traitement du combustible et des déchets.
    Mais ce n’est pas la seule chose que semble ignorer Monsieur Gay. Par exemple, c’est qu’il n’y a rien à changer tous les 20 ans, les éoliennes ont déjà prouvées qu’elles pouvaient durer au moins trente ans (Par exemple le site de Port la Nouvelle en excellent état de marche, qui avait été connecté au réseau en 1991, mais démonté début 2020 à la fin du bail de location du terrain signé pour trente ans), et la plus vieille éolienne du monde tourne depuis 46 ans au Danemark sans aucun signe de fatigue.
    En revanche, à la suite de l’étude approfondie qu’il a mené au doigt mouillé, Monsieur Gay prétend savoir que les renouvelables ne seront pas suffisants pour produire l’électricité nécessaire à la décarbonation de l’économie. Mais il ignore que des études menées par des scientifiques qui utilisent des informations un peu plus sérieuses que son doigt mouillé ont démontré le contraire. Mais sans doute que Monsieur Gay utilise d’autres indicateurs que son doigt et qu’il imagine très fiables, comme les variations de production de l’éolien sur éco2mix. Malheureusement, cette information ne permet que de savoir s’il y a eu, ou pas, du vent dans les Hauts de France et le Grand Est, soit sur 16 % de la surface du territoire métropolitain qui possède 61% des éoliennes du pays. Et quand il n’y a pas plus de vent à cet endroit qu’au bout de son nez, il en tire la conclusion qu’il n’y a de vent nulle part, et donc que le vent n’est pas utilisable sachant que l’on n’a besoin en permanence qu’une quantité minimale d’électricité. Moi aussi j’utilise cet indicateur mais différemment, je l’associe aux cartes de vent de météo France (que je collectionne depuis le début de cette année, histoire de me faire une idée plus précise sur la qualité du vent en France) et je vois que ce matin depuis 7h le vent est presque nul dans cette zone du Nord-Est où seules les cotes sont balayées, et que le vent est plus puissant dans le Sud-Est tout aussi dépourvu d’éoliennes que les côtes. La production sur eco2mix dépasse à peine 3 GW à 8h. Mais, grâce aux prévisions vent de Météo-France, je sais aussi que dans l’après-midi éco2mix me montrera quelque chose comme 10 GW au moins, ce que nous aurions pu avoir dès le matin si nous avions des éoliennes ailleurs que dans ce Nord-Est, notamment le long des côtes car nous avons une chance extraordinaire que nos malheureux voisins allemands, hollandais ou Belges n’ont pas, 3 façades maritimes dont au moins deux toujours ventées. D’ailleurs, Monsieur Gay toujours prompte à la calomnie contre ceux qui nous tirent d’embarras en ce moment même, ne peut s’empêcher le petit coup de poignard dans le dos teuton en parlant de l’électricité du charbon allemand alors qu’il est devenu minoritaire depuis deux ans dans le mix électrique de ce pays, cédant la première place aux renouvelables, sauf quelques exceptions où durant les jours moins venteux où la seule façade côtière Nord dont dispose l’Allemagne reste peu ventée, le charbon reprend du service, ce qui est une situation qui se raréfie car l’Allemagne continue à investir dans le renouvelable, et pas seulement dans l’éolien ce qui fait que d’années en années leurs situation progresse alors que la nôtre se dégrade en même temps que le parc nucléaire de plus en plus difficile à gérer et qui nécessite de plus en plus souvent d’avoir recours à nos voisins et surtout au gaz. Mais, calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose.
    J’allais oublié : je vous ai dit que le renouvelable coutait 3 fois moins cher que le nucléaire….démonstration :
    Les données du problème :
    Nucléaire :
    Cout EPR : 19,1 G€
    https://actu.fr/normandie/flamanville_50184/nucleaire-le-cout-de-l-epr-de-flamanville-reevalue-a-19-milliards-par-la-cour-des-comptes_34854444.html
    Délai de réalisation 2007 à 2022 : 15 ans
    Puissance de production théorique 1,65 GW Facteur de charge 75% (mais même à 100% sans maintenance ni rechargement d’uranium ni incidents…. Ça ne fera pas le poids. Noter que le facteur de charge du parc existant n’a été en 2020 que de 60,7%)
    Puissance réelle : 1,23 GW
    Production annuelle : 10,8 TWh

    Parc éolien :
    Coût d’une éolienne de 2 MW : 2,6 M€
    (https://www.pole-medee.com/2014/08/combien-coute-une-eolienne/)
    On peut donc construire 7346 éoliennes avec ce que coûte (a déjà couté sans produire) l’EPR de Flamanville.
    Facteur de charge moyen France de l’éolien : 26, 35 %
    https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89nergie_%C3%A9olienne_en_France
    Puissance théorique 14,7 GW, puissance réelle 3,9 GW
    Production annuelle : 34 TWh soit 3 fois plus que le nucléaire de l’EPR
    Ajoutez à cela que le parc peut produire au bout de 2 ans seulement, car moins de deux ans suffisent pour construire une éolienne et la raccorder. Aujourd’hui l’étape la plus longue de la construction d’une éolienne est représentée par les délais imposés par les recours juridiques systématiques.

    Ce calcul est confirmé par une autre méthode basée sur la production effective du parc actuel aboutissant aux mêmes conclusions.
    En 2020 la production électrique de la France a été de 500,1 TWh dont 7,9% d’éolien, soit une production de 39,5 TWh avec 8000 éoliennes. Une simple règle de trois nous montre qu’avec 7346 éoliennes dont le coût total correspond à celui de l’EPR, la production aurait été de 36 TWh soit 2 TWh de différence
    Ajoutez à cela que le parc peut produire au bout de 2 ans seulement, car moins de deux ans suffisent pour construire une éolienne et la raccorder. Aujourd’hui l’étape la plus longue de la construction d’une éolienne est représentée par les délais imposés par les recours juridiques systématiques.

    Le coût du MWh solaire ayant rejoint celui de l’éolien depuis 2018 le résultat est le même pour le solaire

    Il faut estimer le coût du stockage si tant est qu’il faille stocker, car le stockage est un fantasme inventé par le nucléaire, qui ne sachant pas quoi faire de son électricité la nuit quand l’activité économique est en sommeil, la stocke sous forme de chaleur dans les millions de m3 d’eau sanitaire. Il suffit par ailleurs de consulter systématiquement les courbes fournies par RTE pour voir que part vent fort l’éolien (bien qu’encore très mal réparti en France) la production est jusqu’à 5 fois celle du vent moyen au niveau duquel il « faudra » équipé le parc pour qu’il fournisse le besoin dans le mixe qui lui aura été assigné. En conséquence par vent fort il y aura une puissance colossale à stocker avec cette électricité quasi gratuite ce qui rendra probablement intéressant le stockage H2 malgré la piètre conversion E->H2->E de 40% au mieux. Ajoutez que dans les ENR le biogaz est dans un état stocké dès sa production et son potentiel, peu développé en France (1,8 % du mixe électrique) qui l’est 5 fois plus en Allemagne, permettrait d’alimenter exclusivement par ce moyen le pays par temps calme et couvert anticyclonique durant 3 mois au moins chaque année avec la méthanisation des simples déchets agricoles. Actuellement l’Allemagne dont le biogaz représente déjà 8,4% du mixe électrique peut assurer son besoin électrique à 100% par cette source 1 mois par an. N’oubliez pas non plus les ENR pilotables, avec les solutions marémotrices, les hydroliennes, les houliennes, ainsi que l’hydraulique de barrage qui marche déjà fort bien, ou encore la géothermie. Ces ressources peuvent ne pas rendre nécessaire le stockage d’excédents éoliens et suffire à couvrir les périodes de productions faibles des variables lorsque les puissances installées de ces dernières seront suffisantes et suffisamment bien reparties pour avoir un effet foisonnement de compensation ….. autant de solutions qui rendent ridicule l’insistance des nucléophiles sur le caractère intermittent lui aussi ridicule puisqu’il s’agit de variabilité et pas d’intermittence qui est le « tout ou rien » présenté aussi de façon toute aussi ridicule comme aléatoire, avec une météo datant de l’âge de la hache de pierre, peut-être, mais plus aujourd’hui. Il y a beau temps que l’on sait ce que le vent attendu demain va produire, et où (façade maritime Nord, Ouest, Sud ? Et dans l’intérieure même chose). La même météo va aussi nous donner la couverture nuageuse et…. Il est temps de revenir au XXI e siècle au lieu de bétonner sur le XXe qui ne restera dans les esprits que le siècle du pillage de la Terre alors que le XXIe se forgera l’image du siècle du recyclage car les matériaux extraits du sol pour capter l’énergie solaire de façon directe ou indirecte ne sont pas transformés en chaleur et seront indéfiniment recyclés avant de retourner à la Terre quand les outils qui les utilisent seront devenus obsolète et qu’ils n’auront pas d’emploi dans leurs successeurs.
    Mais le cas échéant, s’il fallait stocker en batterie Li-ion. Le cout du KWh de Li-ion est à aujourd’hui de 140 euros et supporte 3000 cycle de charge décharge en utilisation automobile et 5000 en stationnaire ce qui ramène le coût du KWh de stockage à 140/5000 = 0,028 €
    Serge Rochain

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    • Bof, toujours des démonstrations de notre amoureux du gaz.
      Bien sûr que les éoliennes intermittentes, une fois rendues pilotables par des centrales à gaz, sont beaucoup plus coûteuses que les centrales nucléaires, même le prototype ruineux de l’EPR.

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  • Ne te fatigues pas tes arguments sont nuls et beaucoup trop longs à lire, c’est totalement inefficace !
    Merci Mr Gay de votre éclairage

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  • Rochain écrit : « La France aussi est devenu un importateur de gaz important qui, rien que pour produire de l’électricité et indépendamment des autres usages, brule en continu depuis début novembre entre 7 et 8 GW de ce gaz devenu cher, soit l’équivalent de ce que devraient produire 8 réacteurs nucléaires. »
    Ce n’est pas nouveau et c’est parti pour être plutôt moins que les années précédentes où le nucléaire produisait beaucoup plus et que nous exportions plus. RTE ne brûle pas du gaz pour le plaisir, même en situation d’export net. Il se trouve que les grosses productions sont éloignées des pôles de consommation importants et les liaisons internes par lignes THT ne suffisent pas.

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    • Ben voyons…. Elles ont êtes soudimentionnées ces lignes, ou vous ne comprenez pas ce que dit clairement le message associé aux réacteurs arrêtés qui ne sont ni en maintenance ni en panne ?
      Je vais vous éclairer, ils disent clairement que dans la phase de la vie du combustible ou ils se trouvent ils ne pourraient pas assurer en même temps le contrôle de la réaction en chaîne et la modulation de la puissance qui est nécessaire des que les réacteurs en service produisent le minimum dont on a toujours besoin. Toute demande supplémentaire des consommateurs et qui ne soit pas permanent implique de fournir la puissance demandée en étant capable de la diminuer quand la demande diminue
      Voilà ce que ça veut dire et ces réacteurs à l’arrêt sans être en panne n’ont plus les ressources pour répondre à cette exigence. Progressez Cochelin, cherchez à comprendre et quand vous ne comprenez pas demandez, ne cherchez pas de combines à dormir debout qui ne soit pas en accord a ce que disent les sites professionnels. La coherance c’est sur la totalité pas sûr une petite partie qui vous arrange.

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      • En clair, vous dites que EDF commence à être gêné pour placer les maintenances décennales de réacteurs qui permettent,entre autres, de recharger du combustible neuf ?
        Bien possible, surtout que le Covid a ralenti certains arrêts de maintenance.
        A nouveau, vous démontrez simplement, avec justesse, que nous n’avons pas lancé à temps la construction de la quarantaine de réacteurs dont nous avons besoin, et qu’il convient de mettre les bouchées doubles.
        Je vous félicite pour votre clairvoyance. LOL

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    • Non ce n’est pas nouveau que le nucléaire n’est que très difficilement pilotable, surtout quand il y a besoin de le piloter, dans les slogans vantant ses « avantages » il n’y a jamais de problème, on peut même organiser une démonstration.

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      • Hé, notre petit marchant de gaz, bien sûr que le rôle du nucléaire est de marcher en fond, laissant pour les suivis rapides de consommation nos centrales hydrauliques et parfois à gaz.
        Mais une centrale isolée est capable de passer de 20% à 100% de la charge nominale en 30 minutes, et ceci fonctionne parfaitement depuis 40 ans.
        La vérité est que rajouter des éoliennes strictement inutiles en donnant pour ordre à EDF de prendre cette énergie en priorité rajoute une énorme variabilité et met à mal cette excellente situation.
        N’inversez pas les rôles.

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    • Que RTE non, mais que vous OUI…. par ailleurs on imagine mal RTE allez raconter à qui veut l’entendre, Vous savez le nucléaire n’étant pas pilotable, on risque d’avoir des difficultés d’approvisionnement…. ils se contente de le confirmer d’une autre façon assez maladroitement rendant la pandémie de Covid du printemps 2020 responsable des perturbations qui sont prévisibles pour l’hiver 2021/2022….! C’est comme ça dans l’article.

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  • Wouha! J’ai craqué avant la fin …délirant le savant!
    Félicitation à Michel Gay pour la clarté et la pertinence de votre propos.
    La nouvelle alliance gouvernementale allemande devrait accélérer la sortie du charbon pour 2030 en le remplaçant par du gaz (division environ par deux du C02 de 850 à 450 g/kwh) et en construisant toujours plus d’EnRi (principalement de l’éolien). Nous saurons donc dans peu de temps, moins de 10 ans, si les Allemands parviennent à leur fin : une électricité entièrement décarbonée (avec du gaz ?) répondant à la demande, laquelle va largement augmentée (doublée?) et à un prix compétitif .
    L’Allemagne ne voit aucun inconvénient à ce que le gaz soit intégré dans la taxonomie Verte, comble de l’hypocrisie, mais s’oppose au nucléaire, à la France de résister vivement et sans faiblir.

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    • Il y a peut-être des prérequis qui vous font défaut. Je reconnais que ce n’est pas en lisant les article d’opinions de Michel Gay que l’on peut apprendre comment on régule à la fois la puissance d’un groupe électronucléaire et le maintien du coefficient régulation de la réaction en chaine voisin de 1. Cette modeste connaissance que les pilotes de tranches apprennent en quelques semaines de formation reste nécessaire pour comprendre les messages données par EDF pour expliquer les motifs d’arrêt de certains réacteurs qui ne sont pas pour autant en panne.

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      • « ….comment on régule à la fois la puissance d’un groupe électronucléaire et le maintien du coefficient régulation de la réaction en chaine voisin de 1 »
        En préambule vous ne répondez à aucun point du post comme dab! Que vient faire là le pilotage d’un réacteur nucléaire?

        Votre réponse démontre si nécessaire que vos connaissances en physique nucléaire sont bien éloignées de la réalité, le « coefficient régulation de réaction en chaine voisin de 1 » ne veut rien dire et n’existe pas , vous étalez votre pseudo science à longueur de post à tort et à travers et à tout bout de champs sans aucune cohérence.

        il suffit de se reporter à cet article de wikipédia pour bien comprendre le fonctionnement d’un réacteur nucléaire:
        https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9action_en_cha%C3%AEne_(nucl%C3%A9aire)

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        • Je pense que ce dont il parle, à tort comme d’habitude, est que lorsqu’il est temps pour un réacteur de changer son combustible, si on tarde, il va être moins vaillant.
          En gros, c’est le phénomène de la panne sèche en voiture, en plus soft.
          Rochain nous explique que si vous tombez en panne sèche, c’est que votre voiture est un mauvais système pour se déplacer.
          Moi, je m’en fous, je change de voiture lorsque le cendrier est plein LOL

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  • Les allemands ont retardé la certification du pipe Nordstream2, qui est opérationnel, sous d’obscurs prétextes juridiques sur le caractère allemand de la société d’exploitation. Les verts s’en sont réjouis car opposés aux importations de gaz. Il sera intéressant de voir, maintenant qu’ils font partie de coalition gouvernementale et ont promis d’accélérer la sortie du charbon, s’ils vont se résoudre à aimer ce pipeline qui contourne la Biélorussie, ou s’ils vont persister à dire que l’éolien suffira! La question nous concerne en tant que voisins car fragiliser le réseau allemand c’est fragiliser celui de l’Europe tout entière, l’origine d’un black out peut être n’importe où, d’Istanbul à Lisbonne et de Gibraltar à la Norvège. Concernant le gaz M. Gay fait bien de souligner les problèmes liés à cette ressource. L’Allemagne n’a pas de terminal méthanier portuaire et dépend donc des pipelines, il y a un projet controversé de terminal à Stade près de Hambourg. La France avec trois terminaux, Fos, Montoir et Dunkerque est mieux placée et importe à peu près le tiers de son gaz par mer, mais le nombre de sites expéditeurs avec usines de liquéfaction est limité dans le monde. La demande mondiale de gaz augmente et il vaut mieux ne pas trop en dépendre.

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  • Je viens de terminer les commentaires abscons du savant.
    Son délire finit par lui faire démonter que la production de 7346 éoliennes produisent annuellement 3 fois plus que un EPR , 38 Twh contre 10,8 Twh !
    Quelle belle tautologie, en effet X éoliennes produiront toujours plus que Y EPR si X suffisamment supérieur à Y .
    Michel DUBUS a parfaitement résumé sa prose.

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    • La démonstration victorienne fait clairement ressortir que dans son esprit une éolienne de 2MW coute le même prix qu’un EPR et qu’en conséquence il est normal que deux éoliennes produisent deux fois plus qu’un EPR ! On a le pompon !
      Bravo, premier prix d’économie énergétique à partager entre Dubus et Victor !

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    • Oui, l’explication est claire, Rochain travaille pour les intérêts d’une compagnie fournissant du gaz, et celles-ci poussent éolien et solaire, intermittents, attendant avec espoir le moment où, le nucléaire ayant baissé, on doive installer des centrales à gaz.

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      • Gueret, n’est qu’un petit bonhomme insignifiant sorti en 1967 de l’ESEO, cette école d’origine angevine à qui il ne fait pas honneur par son manque de curiosité et ses raisonnements à l’opposé de ceux enseignés dans les techniques de l’ingénieur.
        Par exemple : L’éolien à un facteur de 25% et le complément doit être assurer pat le gaz, donc en fin année quand on fait le compte on voit que c’est le gaz qui a fourni 75% de l’énergie.
        N’importe quel gosse de CM2 lui aurait répondu : si votre raisonnement est exacte là ou il y a une éolienne d’un rendement de 25%, les trois que l’on peut ajouter à coté auront aussi un rendement de 25% et le fagot de quatre éolienne aura fourni 100% de l’énergie en fin d’année et il n’y a pas besoin de votre gaz !
        Manque de curiosité : Rochain un homme affilié à une société gazière ! N’importe qui chercherait à savoir qui est ce Rochain avant de déblatérer sur lui à longueur de message. Mais lui…..NON ! Encore une recherche trop compliquée pour ce petit bonhomme insignifiant !

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        • Mon cher Rochain, vous me décevez. Je vous pensais capable de mieux raisonner.
          Si vous mettez 4 éoliennes au lieu d’une, l’énergie fournie en fin d’année sera 4 fois plus grande, mais toujours à 25% de la nouvelle puissance nominale 4 fois plus grande, et vous aurez besoin d’une centrale à gaz de puissance égale à la nouvelle puissance nominale des éoliennes, qui fournira toujours au bout de l’année 75% des besoins.
          J’ai un doute, vous avez réellement fait un CM2 ?

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          • Moi c’est sans aucun étonnement que je vous sais assez stupide pour croire qu’une éolienne est faite pour fonctionner à son régime maximum 100% du temps, comme votre voiture n’est efficace qu’à sa vitesse maximale. De la même façon un réacteur nucléaire ne sert à rien, comme une éolienne, s’il n’a pas un facteur de charge de 100% et les nôtres s’en éloignent en permanence, ils sont donc bon à jeter depuis longtemps avec seulement 61%, les moins efficaces du monde.

        • Puisque vous insistiez, j’ai été voir, et je n’ai trouvé que :
          « Ingénieur informaticien, Serge Rochain est diplômé de l’Université Paris XI en astronomie et astrophysique »
          Bon, vu votre âge, il n’existait pas d’école d’ingénieur en informatique dans votre jeunesse. Donc je ne sais pas ce que cela veut dire.
          De plus, pour moi, un ingénieur est avant tout un physicien s’appuyant sur des mathématiques, et j’ai toujours été étonné qu’on donne un titre d’ingénieur à un informaticien.
          Mais ceci doit expliquer votre difficulté à raisonner physique et ordres de grandeur.
          Quant à l’astronomie, si c’était un doctorat, ce serait dit.

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          • Cela veut dire que je suis titulaire d’un diplôme d’ingénieur reconnu par la commission des titres d’ingénieurs sous l’égide du ministère de l’enseignement supérieur. Titre qui est délivré par l’état et dont la liste des récipiendaires paraît chaque année au journal officiel entre celle des nominations des I professeurs de l’enseignement supérieur et celle des architectes DPLG.
            Quant aux titres universitaires vous avez les maîtrises, les DU, les DESS, les DEA comme le mien, les doctorats d’université ou d’état, les agrégations et des diplômes spécialisés sanctionnant diverses spécialités.
            Le cours sur l’administration des titres universitaires est fini.
            Et s’il n’y avait pas d’écoles d’ingénieurs formant à l’informatique à l’époque de mon âge comme vous dites, petit bonhomme insignifiant, c’est que mes collègues et moi même ne les avions pas encore fondées.de même que les cursus universitaires correspondants. L’un de ceux qui me critique ici, issu d’une école d’ingénieur en aéronautique de Toulouse à bénéficié éventuellement du cours d’informatique que j’y ai créé…. Comme a la faculté des sciences de Toulouse, Université Paul Sabatier.
            Enfin mes écrits sont aussi tellement nuls que des membres éminents de l’académie des sciences, professeurs émérites au collège de France ou à l’institut d’astrophysique de Paris se sont même abaissés à les cautionner en en écrivant la préface.
            Adieu petits bonhommes aussi vaniteux que prétentieux
            Serge Rochain

  • Il semble que la consommation de gaz (dans certaines régions comme PACA, Pays de la Loire, Grand Nord, Ile de France, Bretagne ) soit liée à un déséquilibre entre production (non thermique) et consommation qui ne peut pas être compensée entièrement par des flux internes. https://www.rte-france.com/eco2mix/les-donnees-regionales#production-detaillee. Plus de nucléaire dans ces régions réduirait grandement (et plus sûrement) l’utilisation de thermique fossile, gaz et charbon.

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    • La ligne RTE de 150000 Km passe par toutes ces zones et peut y apporter ce qui fait défaut en production local …..du moins ce serait le cas si les les 18 centrales nucléaires qui y sont évidemment connectée produisaient suffisamment. Ce qui n’est tout aussi évidement pas le cas avec 17 réacteurs arrêtés !

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      • Si ce que vous écrivez était vrai, le parc thermique gaz ne serait pas sollicité lorsque le pays est situation d’exportations nettes. Ce qui est le cas la majorité de l’année puisque les exports nets se montent à 40-60 TWh, selon les années. Et RTE n’arrête pas de renforcer le réseau intérieur THT. Par plaisir, peut-être?

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        • On n’arrête pas les livraisons d’un contrat d’exportation parce que la température baisse de 1 degrés de plus que ce que la météo avait prévue 8 jours avant quand le contrat a été signé.
          En revanche, cela ne vous gène pas de dire qu’avec 105000 Km de lignes THT RTE ne passe ni en bretagne, ni dans les pays de Loire, ni en Provence-Cote d’azur ! Avant de continuer à propager vos bêtises, je vous suggère de jeter un coup d’œil sur :
          https://image.slidesharecdn.com/carte400225kv-100831042141-phpapp01/95/carte-du-rseau-lectrique-haute-tension-en-france-1-728.jpg?cb=1283229011

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          • Je réside dans l’ouest de la France. Effectivement il y passe une ligne THT mais il reste une fragilité en Bretagne et Loire Atlantique due au manque de production locale qu’il est nécessaire de combler en complétant le réseau avec du thermique fossile, malgré des gros flux entrants en provenance de la région Centre et Nouvelle Aquitaine. L’échec (du au refus des populations locales) des projets de centrale nucléaire dans l’ouest du pays (Plogoff, Erdeven, Le Carnet, Le Pellerin) ont conduit RTE à maintenir les quelques centrales thermiques existantes (Cordemais au charbon, Montoir de Bretagne, Brénilis, …) et à implanter une nouvelle à Landiviseau. Et les quelques centaines d’éoliennes ne sont pas en mesure d’assurer une production satisfaisante du fait de leur grande variabilité. « Le développement des énergies renouvelables et les économies d’énergie, même mis en œuvre de manière très volontariste comme le prévoit le pacte électrique breton, ne suffit pas à répondre à la fragilité structurelle de l’alimentation électrique en Bretagne. L’analyse de risques menée sur la disponibilité des différents moyens de production et des ouvrages du réseau de transport a identifié la nécessité d’un nouveau moyen de production, en complément du filet de sécurité, afin de répondre durablement à la fragilité électrique de la Bretagne. Ainsi, un appel d’offres a été lancé par l’Etat en 2011 pour une centrale de type cycle combiné à gaz d’une puissance de 450 MW environ ». https://www.ecologie.gouv.fr/securite-dapprovisionnement-en-electricite
            https://www.persee.fr/doc/noroi_0029-182x_1986_num_132_1_4355
            On pourrait dire de même dans d’autres régions, comme PACA en particulier.

          • Cochelin, arrêtez de dire que l’éolien ne suffira pas pour la Bretagne ….. encore votre étude au doigt mouillé ?
            Les côtes de Bretagne sont quasiment en permanence balayé par des vents plus que suffisants. On vous colle un chapelet d’éoliennes offshore depuis le Mont-St-Michel jusqu’à Nantes et la Bretagne revendra de l’électricité au reste de la France toute l’année !
            La Bretagne c’est la plus petite surface disposant de plus de Km de cotes ramenés au m2 de territoire.

          • Cochelin je viens de consulter mon fichier d’enregistrement des vents sur les 3 derniers mois, du 1/9 à aujourd’hui. Il y a exactement 5 jours ou les vents étaient presque totalement absents et 4 où c’était plutôt faible à très faible. Ce qui fait en gros 1 jours sur 10 en moyenne. ou le vent ne serait effectivement pas une ressource suffisante, mais il faut bien que vous utilisiez tout le méthane que produisent les élevages de porc du pays sinon vous n’amortirez jamais vos centrales à Gaz, et il parait même que de temps en temps il y a du Soleil en Bretagne.

          • Je réside dans l’ouest de la France. Effectivement il y passe une ligne THT mais il reste une fragilité en Bretagne et Loire Atlantique due au manque de production locale qu’il est nécessaire de combler en complétant le réseau avec du thermique fossile, malgré des gros flux entrants en provenance de la région Centre et Nouvelle Aquitaine. L’échec (du au refus des populations locales) des projets de centrale nucléaire dans l’ouest du pays (Plogoff, Erdeven, Le Carnet, Le Pellerin, …) ont conduit RTE à maintenir les quelques centrales thermiques existantes (Cordemais au charbon, Montoir de Bretagne, Brénilis, …) et à implanter une nouvelle à Landiviseau. Et les quelques centaines d’éoliennes ne sont pas en mesure d’assurer une production satisfaisante du fait de leur grande variabilité. « Le développement des énergies renouvelables et les économies d’énergie, même mis en œuvre de manière très volontariste comme le prévoit le pacte électrique breton, ne suffit pas à répondre à la fragilité structurelle de l’alimentation électrique en Bretagne. L’analyse de risques menée sur la disponibilité des différents moyens de production et des ouvrages du réseau de transport a identifié la nécessité d’un nouveau moyen de production, en complément du filet de sécurité, afin de répondre durablement à la fragilité électrique de la Bretagne. Ainsi, un appel d’offres a été lancé par l’Etat en 2011 pour une centrale de type cycle combiné à gaz d’une puissance de 450 MW environ ». https://www.ecologie.gouv.fr/securite-dapprovisionnement-en-electricite
            La région PACA est aussi une région de grande fragilité d’approvisionnement par le réseau interne THT. Ce qui justifie une production thermique régulière et conséquente.

          • Ne vous y trompez pas, je ne critique pas les quelques centrales au gaz que nous avons en France actuellement, loin de là , puisque en appoint a l’hydraulique elles permettent le suivi de charge en temps ordinaire quand le socle du besoin minimum est assuré par le nucléaire, ce qui n’est pas le cas en ce moment avec 17 réacteurs HS et une production gaz correspondant à la puissance installée, et un solde d’import/export très importateur.

  • « Moi c’est sans aucun étonnement que je vous sais assez stupide pour croire qu’une éolienne est faite pour fonctionner à son régime maximum 100% du temps, comme votre voiture n’est efficace qu’à sa vitesse maximale. De la même façon un réacteur nucléaire ne sert à rien, comme une éolienne, s’il n’a pas un facteur de charge de 100% et les nôtres s’en éloignent en permanence, ils sont donc bon à jeter depuis longtemps avec seulement 61%, les moins efficaces du monde. »

    Inutile de commenter ce commentaire tant il est stupide physiquement parlant, un zéro pointé à un élève de terminale!

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    • Bof, Rochain n’a manifestement guère de bon sens en Physique, et s’accroche à des nombres qui lui plaisent, mais qu’il utilise à contre sens, au lieu de s’appuyer sur des raisonnements de base.
      Comme ses 17 réacteurs arrêtés (pour un industriel, il faut aller voir les raisons, maintenance, demande faible, entretien lourd concernant l’installation génération électrique, rechargement de combustible, effets du Covid sur les temps d’arrêt en maintenance …
      Et, au lieu d’en tirer la conclusion éventuelle que EDF devrait faire des efforts, il conclut que les éoliennes sont beaucoup plus performantes pour alimenter le réseau électrique.
      En clair, il a des progrès à faire en compréhension.
      Et il me fatigue !!!

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