Au début des années 1980, quand j’arpentais les États-Unis pour promouvoir le nucléaire en donnant en exemple le programme français, j’en soulignais l’exceptionnelle cohérence : nous ne développions pas que les réacteurs mais tout le cycle du combustible, y compris le retraitement et la vitrification des déchets de haute activité avec recyclage des matières fissiles dans ce que l’on n’appelait
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