prix négatifs

Prix négatifs de l’éolien : l’État change les règles

C’est un tournant discret mais significatif dans la politique énergétique française : le 2 juin 2025, le ministère de l’Économie a annoncé que trois parcs éoliens en mer – ceux de Fécamp, Saint-Brieuc et Saint-Nazaire – devront désormais suspendre leur production lorsque en cas de prix négatifs de l’électricité. Cette nouvelle règle vise à endiguer les pertes publiques liées à un système de subvention jugé trop rigide.

Fin d’un modèle de soutien inconditionnel à prix négatifs

Jusqu’ici, ces parcs étaient couverts par des “contrats d’obligations” qui garantissaient un rachat systématique de leur production à un tarif fixé à l’avance, quels que soient les prix du marché. Résultat : même lorsque les prix devenaient négatifs – un phénomène de plus en plus fréquent lors des pics de production renouvelable et de faible consommation – l’État devait indemniser les producteurs pour une électricité dont personne ne voulait.

Avec les avenants signés début juin, la logique change. Désormais, les exploitants de ces trois parcs devront cesser leur production lorsque le prix de marché passe sous la barre des 0 euro. Une mesure de bon sens économique, selon Bercy, qui espère ainsi limiter une perte estimée à 80 millions d’euros sur le premier semestre 2024, pour l’ensemble de la filière éolienne.

L’éolien terrestre dans le viseur

Ce réajustement ne concerne pas uniquement l’éolien offshore. Le ministère prépare déjà un cadre similaire pour les éoliennes terrestres, elles aussi concernées par les effets de l’intermittence et de la volatilité des prix. Un premier arrêté d’application a été soumis au Conseil supérieur de l’énergie, en attendant une législation plus complète dans la prochaine loi de finances.

L’objectif est clair : responsabiliser davantage les producteurs éoliens, en particulier ceux bénéficiant de subventions publiques. Désormais, les futurs contrats inciteront ces installations à interrompre leur production quand elle n’a plus de valeur sur le marché, au lieu de continuer à générer des pertes.

Une rationalisation critiquée mais attendue pour éviter les prix négatifs

Du côté des défenseurs des énergies renouvelables, cette réforme suscite des inquiétudes. Certains redoutent qu’elle ne freine le développement de nouveaux projets, en instaurant une incertitude supplémentaire sur la rentabilité des investissements. Pour d’autres, cette décision traduit une nécessaire maturation de la politique de soutien aux renouvelables, qui ne peut rester aveugle aux signaux du marché.

Les opposants historiques à l’éolien, eux, y voient une forme de reconnaissance des limites de cette énergie, jugée trop intermittente et peu prévisible. Ils dénoncent de longue date le “coût caché” de l’éolien pour les finances publiques, notamment à travers les contrats à prix garantis signés il y a plus de dix ans, dans un contexte énergétique bien différent.

Une étape vers une gestion plus fine des renouvelables

Au fond, cette réforme marque un glissement vers un modèle plus flexible, dans lequel les énergies renouvelables devront s’adapter davantage aux dynamiques du marché. En période d’excédent de production, mieux vaut suspendre la production que subventionner une électricité invendable.

Cette logique s’inscrit dans un cadre plus large de modernisation du mix énergétique français. L’objectif n’est pas de remettre en cause le développement des renouvelables, mais d’en rationaliser l’intégration au réseau, en tenant compte de leur nature intermittente. Dans un système où les pointes de production ne coïncident pas toujours avec les besoins, il devient crucial d’ajuster les soutiens publics pour préserver à la fois la stabilité du réseau et la soutenabilité budgétaire.

Si cette première étape se montre concluante, elle pourrait servir de modèle pour d’autres segments du secteur énergétique subventionné, à commencer par le photovoltaïque. En attendant, le signal envoyé aux producteurs éoliens est clair : produire pour produire ne suffit plus, même au nom de la transition énergétique.

commentaires

COMMENTAIRES

  • Encore un raisonnement d’épicier….. Il faut cesser de produire lorsque la production est supérieur à la consommation…..cela s’apelle le suivi de charge ! Les prix sont une conséquences, par une cause !

    Peut être est-là un moyen de décourager les investisseurs dans le domaine de l’éolien en mer, celui le plus susceptible de permettre de se passer du nucléaire en raison de sa similitude de production quasi constante avec celui du nucléaire, qui se montrerait alors bien inutile.

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    • Serge, Allez donc voir les profils de puissance de l’éolien en mer publiés par RTE, au lieu de dire une fois de plus des âneries. L’éolien en mer est encore plus irrégulier que l’éolien à terre et c’est normal, parce que le vent y est moins freiné qu’à terre et donc l’intensité de ses fluctuations y est bien plus importante, contrairement bien sûr à la doxa incessamment diffusée par les médias.

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      • Mon pauvre durant….j’ai plusieurs années d’enregistrament des cartes vent de météoFrance vent et vos blablas ne pesent rein face à ces documents ! l’éolien et plus puissant et plus régulier que que l’éolien terrestre !

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      • Monsieur Durand, quand on prétend quelque chose on le prouve, alors vous seriez bien aimable de me donner l’URL du site RTE qui dirait selon vos allégations, que l’éolien en mer est moins stable que l’éolien terestre et éventuellement moins puissant !…. que l’on rigole un peu !

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      • apparemment vous ne pratiquez pas de sport nautique, et vous ne connaissez rien sur les vents en mer, au large ou côtier, et terrestres … pour sortir des certitudes aussi farfelues

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        • Oui Monsieur Rainaut, ou plutôt non je ne pratique plus la voile depuis très longtemps mais j’ai une collection de cartes vents de météoFrance constitué d’une carte par jour depuis plus de 4 ans que je manipule à l’aide de logiciels qui m’en apprennent plus que ce que peuvent raconter de vieux loups de mer qui ne parleront jamais que de ce qu’ils ont connu, et encore, surtout de ce qui les a marqué, soit quelques dizaines de cas d’espece au mieux, quand je peux en montrer plus de 1500.
          Alors je crais que vous ne puissiez parler ques de la sottise de vos souvenirs, sans intéret pour estimer les possibilités de la ressurece éolienne en France.

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    • Sérieusement, cela ne vous choque pas de continuer à financer des énergies incontrôlables en raison de leur asservissement à la météo, alors qu’elles génèrent des prix négatifs et devraient donc générer des pertes chez leurs producteurs ? La « logique d’épicier » que vous dénoncez est tout simplement du bon sens : voudriez-vous que votre épicier qui vous vend des tomates pourries et qui coûtent pour les envoyer aux déchets, soit indemnisé par les citoyens contribuables dont vous faites partie ?
      Le vrai problème, c’est l’incompétence abyssale des hauts fonctionnaires qui ont signé des contrats à prix garantiés avec les industriels des énergies renouvelables, bien plus aguérris qu’eux en matière commerciale. Car la situation ubuesque que souligne cet article était totalement prévisible. Pire : elle va probablement empirer !

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      • Les prix négatifs ne sont pas générés par les productions renouvelables variables mais par deux causes dont l’une n’est qu’une consequence de l’autre :
        1) Une formule de calcul à dormir debout, établie pour un contexte de pénurie
        2) Une surproduction par rapport au besoin, l’inverse de la situation de pénurie!

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      • Monn pauvre Studer, sans ces renouvelables vous auriez des blackout presque tous les jours maintenant, ce sont les seuls moyens efficaces pour maintenir le reseau en équilibre ! Il n’y a rien d’imprévisible dans la météo, le Soleil se lève tous les jours ! Et tant l’éolien que le solaire sont bien plus pilotables que le nucléaire incapable de bouger en moins d’une demie journée alors qu’il s’agit de réagir à hauteur de plusieurs GW en quelques secondes !
        Ca ne vous gène pas de sortir les mêmes aneries depuis des années au lieu de regarder ce que fait RTE tous les jours ?

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  • Enfin, une mesure de bons sens, qui, bien entendu, provoque l’ire de notre défenseur inconditionnel et idéologique des ENRi, qui pense certainement à ce vieil adage: « Et s’il n’en reste qu’un, je serai celui-là !… », en continuant, contre vents et marées,, à débiter ses contre-vérités évidentes, auxquelles il reste sans doute, l’un des seuls à croire encore !
    Notre « ami » Serge se reconnaîtra ? non ?

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    • Ridicule ! cette suposée mesure n’est qu’une plaisanterie puisque RTE coupe déjà autant les parc éoliens que PPV à sa convenance depuis un an car c’est le seul moyen de garder un réseau électrique en équilibre face aux variations de puissances erratiques de plusieurs GW de l »exportation, que nous ne pouvont faire que grace aux renouvelables…lisez et surtout VERIFIEZ la realité du commentaire que j’ai fait il y a quelque minutes.

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  • Rappel de ce q’impose notre PPE3 en nous envoyons directement dans le mur en accélérant :
    L’énergie additionnelle visée à l’horizon 2035 sera exclusivement fournie par des énergies renouvelables variables à un niveau de 42.5 % et non pilotables,
    Cet objectif « allemand » totalement arbitraire de la commission de l’UE, n’est en rien compatible avec notre mix énergétique bien plus vertueux que le leur en intensité carbone et bien plus stable sans besoin de béquilles précaires et ultra couteuses.

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    • Mon pauvre Dubu vous rabâchez les mêmes âneries depuis des années…. les renouvelables sont les plus pilotables des dispositifs de production d’électricité et le nucléaire le moins pilotable comme RTE nous en fait la preuve presque tous les jours dès qu’il est question de rétablir l’équilibre du reseau mis a mal par les colossales variations de la consommations qui varie de plusieurs GW en quelques secondes !

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  • Conséquence délétère :
    Réseaux électriques à revoir.
    La variabilité de la production d’ENR est source d’incertitudes quant aux adaptations à mettre en place. Seule certitude, ceci ajoutera des coûts supplémentaires considérables au fonctionnement du système énergétique.
    Donc beaucoup d’argent dépensé pour un résultat aléatoire.
    Pour un ingénieur responsable c’est prohibitif, pour un politique vert inféodé c’est l’évidence à suivre !

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    • Vous êtes aveugle au point de ne pas voir que ce qui varie le plus c’est l’import/export et que ce qui permet de palier les consequences déleteres comme vous dites de ces variations c’est la pilotabilité exemplaires des renouvelables variables !
      Toujours la tête dans le sable à reciter son breviere ce pauvre Dubus !

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  • Rappels
    une politique énergétique rationnelle doit intégrer non seulement la production d’électricité mais également
    • son stockage,
    • son transport,
    • sa distribution
    • le mode de quantifier rigoureusement la consommation élec à venir pour les différents usages.

    Pour cela, elle doit également admettre la nécessité de mener des recherches pour la réussir, sans se voiler la face sur les échelles de temps nécessaires
    et ne pas oublier les RNR qui doivent faire partie de cette recherche commencée et arrêtée en 1997 avec Super Phénix par des idéologues sans cervelle !

    Il importe donc de ne pas « mettre la charrue avant les bœufs ».et de ne pas « lâcher la proie pour l’ombre »

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    • Dubus dans la liste vous pouvez ajouter : 3 ave Maria et 2 Notre père !
      Mais alternativement vous pouvez dire : j’ai décidé de devenir intelligent et analyser comment RTE nous maintient un réseau en bon état d’équilibre ….. on ne vous demande pas d’inventer les moyens d’y parvenir, c’est dajà fait ….seulement les apprendre afin de ne plus sortir vos chapelets d’aneries ….et vous pourrez partager ça avec les Schricks, les Sirius, les Durand, et les Studer et devenir collectivement intelligents ….allez donc vois ce qui s’est passé le vendredi 27 septembre 2024 qui est assez symptomatique de la realité d’une journée avec 4 importantes variations de la consommation dans la journée, toutes réglées grâce aux renouvelables et uniquement grâce aux renouvealbles variables.

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  • Le simple citoyen ;soucieux des finances publiques est fort étonné de voir le temps qu’il faut à nos politiques pour admettre que l’éolien est un domaine soumis au lobby et à ses intérêts .et qu’il faut prendre les mesures économiques de bon sens nécessaires .

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  • Ce n’est de toutes les façons pas que depuis le 2 juin de cette année que RTE coupe des parcs éoliens, il s’y était essayé déjà le 15 septembre 2024 à 13heures, assez timidement, avec une déconnexion d’un GW, mais complété pas une coupure de parc PPV pour 3 GW avec une production solaire bien plus généreuse que l’éolienne (3 GW de production à cet instant pour l’éolien contre 14 GW pour le solaire). Reconnexion des deux types de parcs à 15 heures quand la demande d’exportation est revenue. Un peu plus tard, le 27 septembre 2024, RTE a déconnecté puis reconnecté des parcs éoliens par deux fois dans la journée. La première fois, 1 heure du matin lorsque la puissance solaire était encore absente, c’est une chute de puissance éolienne seule de 14 à 9,5 GW que RTE a gommé du réseau pour faire face à une chute de la demande d’exportation sensiblement équivalente. La demande d’exportation étant revenue à 5 heures, RTE a immédiatement rebranché les parcs éoliens empêchés de produire. Plus tard dans la journée, de midi à 16 heures c’est à nouveau plutôt l’éolien qui a été sollicité pour assurer le suivi de charge pour une chute de la demande d’exportation de plus de 7 GW, le solaire n’ayant participé au suivi que pour un GW. La reprise s’est faite normalement sur les deux types de parcs à 16 heures !
    Démonstrations presque quotidienne que le renouvelable variable est bien plus pilotable que le nucléaire, et que RTE n’a pas attendu cette soi-disant autorisation (ou ordre) du 2 juin 2025 pour déconnecter les parcs éoliens et solaire en fonction du besoin prioritaire de maintenir le réseau à l’état d’équilibre électrique. J’ajouterai que le 27 septembre 2024 à 1heure quand l’Allemagne a cessé d’importer à hauteur de 4 GW depuis la France, le prix spot français était de -0,06€ le MWh et l’Allemand de +0,04€, ce qui démontre bien que l’on n’importe pas en raison d’un prix bas, mais du besoin d’électricité pour satisfaire la demande !

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  • Mesure beaucoup trop restreinte, même si elle est étendue aux parcs terrestres. Après plus de 20 ans d’existence, l’éolien doit être considéré comme mature, et rentrer dans le rang, c’est à dire sur le marché de l’électricité, certes imparfait, mais c’est un autre problème. Cela signifie la fin de la priorité d’accès au réseau, des contrats de rachat à des prix fixés pour 20 ans, etc…
    Et si cela bloquait les investissements dans l’éolien, ce serait seulement la preuve que c’est une production inutile sur le marché, ni rentable ni adaptée à la demande ! Et pour autant la France ne manquera pas d’électricité, elle est exportatrice 365 jours de l’année !

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    • Mais Monsieur Desplanche, il y a belle lurette que les renouvelables n’ont plus la priorité sur le reseau (j’ai d’ailleurs toujours trouvé cette priorité anachronique puisque la parcs peuvent être ceconnectés ou reconnectés à distance en quelques secondes pour plusieurs GW, alors que ce sont des manoeuvres qui prennent des heures avec un réacteur nucléaire ) et c’est trsè bien ainsi. Déja en 2024 RTE utilisait cette possibilité avec facilité pour compenser les grandes variations induites par le caractere erratique de l’éxportation. Par exemple le 15 septembre à 13 heures puisque qquelques jours plus tard le 27 sptembre deux fois dans la journée, une fois en pleine nuit avec suivi de charge par éolien et ensuite en milieu de journée avec suivi de charge par éolien et un peu aussi solaire. Donc la priorité des renouvelables n’est qu’une vieille histoire qui n’aurait d’ailleurs jamais du voir le jour. La souplesse reste le meilleur régulateur du reseau pour garantir production/consommation = 1

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      • Vous semblez ignorer qu’il existe divers types de contrats des parcs éoliens, et tous ceux qui sont sous contrat d’achat ancien ou par appel d’offres, ou par complément de rémunération dispose de fait de la priorité d’accès sur le réseau, et ne peuvent être « débranchés » qu’en cas d’urgence ou de force majeure, mais continuent alors à être indemnisés.
        Les autres (moins de 30% des parcs) ont des contrats de fourniture privés, avec des entreprises, la SNCF, Carrefour, Auchan, etc… et peuvent en effet être débranchés en cas de surproduction…

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        • Alors Monsieur Desplanche, c’est force majeur tous les jours…..il suffit de regarder la page production par filiere d’eco2mix pour s’en rendre compte ! C’est tous les jours que les parcs PPV sont déconnectés pour repondre dans la minute aux variations eratiques de plusieurs GW de l’exportation qui n’est donc possible que grace au renouvelables variables !

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  • CATHECHISME pour SR et sa clique
    Règles à respecter avec les intermittents
    Il faut disposer SUFFISAMMENT
    • de moyens de production à la fois pilotables (dont le niveau de production peut être modulé en fonction de la demande)
    • de mécanismes d’inertie, (fournis par des volants d’inertie rotors de centrales thermiques ou turbines de barrages, Aujourd’hui, ces mécanismes, quand ils sont en action en quantité suffisante dans un mix, permettent à eux seuls de contrôler et réguler la fréquence des réseaux électriques
    • de capacités de stockage à toutes les échelles de temps et de capacité, Ces choses ne sont pas prêtes d’exister et d’être opérationnelles !
    Il faut donc contrôler et limiter la part des sources d’énergies intermittentes, sous peine d’instabilité rédhibitoire de la fréquence notamment, c’est ce qui s’est passé lors du blackout ibérique !
    A ce sujet les gouvernements espagnols et portugais sont toujours à chercher après perdu pour en trouver les causes (qu’ils ont chéries) avec un taux d’intermittents en fonction relevant d’apprentis sorciers !
    Encore vendredi, ces gouvernements supplient et prient (non pas la vierge Marie) mais la France d’installer au plus vite une interconnexion à très hauts débits pour les sortir de la merde dans laquelle ils se sont mis !

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    • Dubus, c’est vous qui recitez du catéchisme ! Le nucl »aire n’est pas pilotable, en tout cas bien moins que le renouvelable variable, RTE l’a prouvé encore aujourd’hui … sortez simplement la tête du tas de sable vous êtes depuis en plus ridicule à nier l’évidence…. oubliez les vieilles fakes que le lobby nucléaire a raconté et continu à travers ses fans comme vous à raconter. Regardez ce que fait RTE c’est ca la REALITE, et pas vos messes dogmatiques
      C’est facile, juste un coup d’oeil sur eco2mix et la raison vous reviendra

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        • Cochelin, c’est tres tres exceptionnele et à nécessité 5 heures !
          Les renouvealble permettent de faire ça en quelques secondes quand nos voisins coupent leur importation avec des variation de puissance qui sont le plus souvent inférieures à 6 GW mais ils en seraient tout aussi capables s’ils s’agissait de 12 GW au moment où leur propres PPV (et c’est même la raison de leur interuption d’exportation) leur ferait interompre 12 GW d’importation.

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          • Cela ne les empêche pas d’avoir des prix négatifs régulièrement, ne pouvant pas réduire suffisamment la production.

  • Heureusement qu’il est certainement plus facile d’orienter une éolienne perpendiculairement au vent, quelque soit sa taille, que de mettre en pause une centrale, thermique ou nucléaire …
    Quant au PV, des capteurs orientables comme des brise-soleils peuvent facilement être mis au point à partir de technologies existantes.

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    • Oui Monsieur Rainaut, cela existe et s’appelle des trakers, mais cela existe depuis des siecles pour ceux qui observent la course du Soleil. Les instruments d’observation sont montés sur ce que l’on appaelle une table équatorial qui permet d’observer le Soleil comme sil tournait autour de la Terre à la vitesse de rotation de cette derniere, paraissant ainsi fixe dans le ciel. Allez voir ça ici :
      https://climso.fr/visite-virtuelle/

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  • Mon pauvre Rochain,
    L’état change les règles, quelle bonne décision et espérons que ça ira encore plus loin.
    Je vais écrire dans votre ton habituel. Nous lisons vos commentaires depuis longtemps, c’est impressionnant. Vous balancez des tas d’informations surprenantes, et surtout avec des commentaires à la limite de la politesse.
    J’ai lu que vous êtes diplômé ingénieur, je ne sais pas de quelle école, mais avec un titre ronflant. J’ai lu aussi que vous étiez employé dans une entreprise. C’est étonnant qu’avec ce haut diplôme, vous ne soyez pas patron ou propriétaire d’une entreprise. Comme quoi les diplômes ne servent pas toujours à la réussite.
    Dans vos discours sur les Enr bien sur, on apprend un tas de choses. J’en ai pris des extraits que j’ai envoyé à mes amis de RTE, ils vont être ravis de savoir que parmi toutes ces infos, et avec démonstration, que les Enr sont pilotables. Pourtant tout le monde sait qu’en matière de pilotage, on ne peut que les arrêter, on apprend ça dès la classe maternelle.
    Et vous devez savoir que quel que soit votre contrat d’alimentation électrique, les électrons qui arrivent à vos prises de courant sont à 70% en moyenne d’origine nucléaire. Le réseau et les lois de la physique n’ont rien à faire de votre allergie au nucléaire. Ça doit vous agacer cette vérité incontournable.
    Vous pouvez me répondre avec votre ton insultant habituel, ça ne changera en rien, ça vous occupe sans doute et c’est facile de s’envoyer des fleurs par message.
    Et pour terminer sur votre ton, c’est clair Rochain ?

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  • Il faut remarquer que la france et la plupart des pays voisins connaissent des prix négatifs presque tous les jours en milieu de journée. Leurs productions solaires PPV trop abondantes (et quelquefois éoliennes) à ce moment de la journée mettent à mal leurs réseaux et font plonger les prix. D’importateurs en dehors de cette période, ces pays voisins de la France stoppent leurs imports et la France doit de-même impérativement écréter ses propres productions, nucléaire compris mais plus lentement pour des raisons techniques, il est vrai. https://app.electricitymaps.com/map/72h/hourly

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    • Mon pauvre Cochelin, pourquoi voulez vous que ce soit les renouvelables qui soient la cause des prix négatifs ….. c’est tout simplement lié à deux causes, dont l’une est la consequence de l’autre.
      1) C’est la surabondance qui est en cause, y compris le nucléaire qui participe grandement à cette surabondance en France.
      2) c’est une formulation du clacul des prix qui a été établi pour les situations de pénuri et n’est donc plus adaptée à une situation de surabondance dominante.
      Il faudra un jour changer la chambre à air et cesser de se lamenter du nombre des rustines.

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      • N’avez-vous pas remarqué que des pays ne disposant pas de parc nucléaire connaissent aussi des prix négatifs ?

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        • Ou donc avez vous lu que j’accusais le nucléaire d’être le responsable des prix négatifs ? Tous ce qui produit de l’électricité en surplus est responsable, nucléaire, renouvelables variable ou pas, hydraulique…tous ! C’est l’exces le responsable, mais responsable de quelque chose de « pas grave » car faible en % encore aujourd’hui face à la production ! Mais cela va devenir de plus en plus grave jusqu’à ce que le calcul économique nous dise que ce que l’on perd par ecrétage est superieur à l’investissement qu’il faut faire (en batteries, en STEP, ou autre systeme de stockage) pour le recupérer !

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          • Un peu plus haut, vous sembliez pourtant rendre responsable, entre autres, le parc nucléaire de cette surabondance. Mais les prix négatifs en Europe sont essentiellement liés à la surabondance des productions d’origine renouvelable variable : « L’apparition des prix négatifs sur le marché de l’électricité date de l’apparition des marchés de l’énergie, et du développement des énergies renouvelables dans le bouquet énergétique Français (et Européen en général). En effet, les producteurs renouvelables d’électricité non seulement bénéficient du tarif d’obligation d’achat, à savoir qu’EDF achète 100% de l’électricité produite par des installations renouvelables à un prix déterminé à l’avance, mais aussi que leur cout variable est très faible voire nul. Ainsi ces producteurs continuent à produire même lorsque l’offre est supérieure à la demande. L’ordre de mérite économique (merit order) n’est alors plus respecté. Dans le cas où ces producteurs renouvelables produisent plus que la normale, et que l’offre est déjà très supérieure à la demande, des prix négatifs de l’électricité apparaissent alors sur le marché ». https://www.primeo-energie.fr/actuenergie/les-prix-negatifs-sur-le-marche-de-lelectricite/
            Sur le site data.gouv.fr on trouve le même commentaire : « L’évolution du prix spot de l’électricité montre une volatilité accrue, notamment liée au développement massif de la production solaire et éolienne. En journée, lorsque le soleil brille fort, l’électricité peut devenir excédentaire, ce qui tire le cours de l’électricité vers le bas, voire en territoire négatif ».

    • Je vois que vous abordez sérieusement le sujet de la formule de tarification de l’électricité, Marc. En effet, il suffit de débrancher les parcs et RTE qui a d’abord le souci de maintenir l’équation électrique du réseau production/consommation =1 ne s’en prive pas. La question étant ;serait-il bien raisonnable de l’utiliser aussi pour assurer la garantie des prix ou ne vaudrait-il pas mieux se préoccuper de trouver une formule équitable correspondant à une situation de surabondance quasi permanente ?
      Vous avez fait le seul commentaire positif de ce forum qui semble surtout me reprocher d’avoir raison contre la tradition des fakes du lobby nucléaire distillées depuis 60 ans et qui devient de plus en plus virulent au fur et à mesure que l’on découvre que ses messages mensongers contre les renouvelables sont dézingués les uns après les autres, et que nous sommes près de l’hallali.

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      • La France est tout aussi responsable des prix négatifs que ses voisins, ceci n’est pas un problème, il ne fait que cacher le problème. Le problème n’est pas grave car aujourd’hui la surproduction passagere qui est en elle-même le problème reste très modérée et la perte due à l’écrétage de la production pour garantir l’équilibre est bien inférieure aux investissements à mobiliser pour stocker l’excedent. Ce n’est qu’avec une amplification de ces excedents que lnous atteindront l’aquilibre économique entre le cout des investissement à réaliser pour ne pas perdre ces excedents et ce qu’ils coutent eux-mêmes en production.

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  • Notre SR , extraordinaire inventeur de tous les contresens possibles, est maintenant devenu un expert en météo marine, rien, rien ne l’arrête !
    Je ne l’avais pas lu depuis qq semaines et je ne suis pas déçu de mon retour…..Prix Nobel pur SR , ouvrons un manifeste pour ce génial ingénieur !

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    • Non, Viktor, seulement expert en analyse de cartes météo établies par les professionnels ….vous pourriez l’être également si au lieu de critiquer l’homme vous vous astreignez comme lui à ce genre de taches, très faciles mais contreignantes .
      L’avantage c’est surtout que vous seriez de moins en moins ignorant…..quand à devenir plus savant, ce sera pour plus tard après avoir rattraper votre retard.

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  • Constat :
    Pour faire court avec l’arrivée massive des intermittents, nous avons trop de production d’électricité d’avril à septembre avec des prix négatifs avec des risques de blackouts comme en ibérique car pas assez mécanismes d’inertie (rotors) en quantité suffisantes pour réguler la fréquence réseau. Et en période hivernale anticyclonique nous manquons de moyens de production pilotables car les renouvelables sont aux abonnées absents avec une production en dents de scie dangereuse pour le réseau.
    Pour la France avec un nucléaire qui a retrouvé des couleurs et un hydraulique (barrages) optimisé les risques de manquer « d’élec » avec nos moyens pilotables sont faibles mêmes avec les « abonnés absents » !
    Alors pourquoi voter un PPE3 qui impose (selon l’ineptie teutonne) une énergie additionnelle visée à l’horizon 2035 qui sera exclusivement fournie par des énergies renouvelables variables à un niveau de 42.5 %, c’est de l’argent foutu par les fenêtres. En effet par rapport à ces mêmes teutons, notre mix énergétique est bien plus vertueux que le leur en intensité carbone et bien plus stable sans besoin de béquilles précaires et ultra couteuses.
    Pour un ingénieur responsable c’est prohibitif, pour un faux scientifique vert inféodé c’est l’évidence à suivre !
    RTE c’est formidable avec son directeur Xavier Piechaczyk antinuc de chez antinuc de par son pédigrée et parcours militant ! C’est un reste de pantouflage du big hollande.

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    • Heureusement que Dubus est là pour expliquer que nous ne risquons rien après avoir débiter une longue liste de contrevérités rabachant les mêmes âneries de dents de scie pour les renouvelables qui sont bien arrondies dans la journée et étallées souvent sur plusieurs jours pour ce qui est de l’éolien ce que bien que peu pilotable sur le plan réactif, le nucléaire n’aurait aucun mal à compenser. En revanche, il est bien incapable de réagir en quelques secondes aux variations erratique de l’exportation à hauteur de plusieurs GW de puissance en quelques secondes, comme aujourd’hui à midi par exemple. Et donc heureusement que nous avons la constance du solaire, vieille de déjà 4 milliards d’années, qui permet d’absorber ces heurts de l’activité d’import/export. Et comme RTE sait maintenant parfaitement le faire, RTE corrigera ce choc dans la seconde même où il se produira. je ne suis pas inquiet d’un blackout sur le coup de midi, grace à la souplesse des renouvelables variables qui sont la solution et non un problème.
      Le pauvre Dubus qui nous parle des dents de scie de la production des ENRv depuis des années ne s’est toujours pas apperçu que ce qualificatif s’appliquait à l’activité d’import export et pas à la production des renouvelables qui n’ont jamais posé le moindre problème à la faible réactivité du nucléaire puisque les variations s’étalent lentement sur des heurs au minimum, voire, des jours.
      Quant au problème de l’inertie, c’est une fake qui s’effondrea comme les autres car les oscillateurs électronique des renouvelables qui ne sont pas contraints par la production elle-même mais uniquement par la capacité de la batterie qui les alimente prosuisent une phase constante est toujours bien plus réguliere que celle d’une machine tournante qui commence a étaler l’onde de phase dès la premiere fraction de seconde où le rotor n’est plus entrainé et il vaut mieux alors déconnecter l’alternateur du reseau immédiatement pour éviter les déphasages d’ondes superposées à celles qui sont toujours entrainées. D’ailleurs, il y a belle lurette que les horloges synchronisées sur la phase du réseau ont disparues au profit d’oscillateurs à quartz.
      Ce pauvre Dubus ne sait manifestement toujours pas de quoi il parle et se contente de réciter le bréviaire du lobby nucléaire en ayant l’impression de dominer le sujet .

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  • Quand on joue aux apprentis sorciers et qu’on pousse ds le mix un afflux massif d’intermittents comme en Ibérique, cela provoque à coup sûr un giganteste blackouts car pas assez mécanismes d’inertie (rotors de centrales gaz par exemple) en quantité suffisantes pour réguler la fréquence réseau. Ce sont les seuls moyens à grande échelle pour régler ce PB et ce que SR nie comme d’hab, il est indécrottable ce faux scientifique inféodé !.
    A contrario de l’Allemagne, en période hivernale anticyclonique nous ne manquons pas de moyens de production pilotables malgré des renouvelables qui sont très souvent aux abonnées absents, ceci grace au nucléaire et à l’hydraulique (barrages)…
    La PPE3 qui impose (selon l’ineptie teutonne) une énergie additionnelle visée à l’horizon 2035 qui sera exclusivement fournie par des énergies renouvelables variables à un niveau de 42.5 %, c’est de l’argent foutu par les fenêtres.
    En effet par rapport à ces mêmes teutons, notre mix énergétique est bien plus vertueux que le leur en intensité carbone et bien plus stable sans besoin de béquilles précaires et ultra couteuses (exemple batteries qui deviennent vite évanescentes pour travaiiler à grandes échelles (pays, continents).
    Pauvre Rochain que rien n’arrête au niveau bêtises comme disait à juste titre Victor.!

    Répondre
    • Mon pauvre DUBUS, ce sont donc les éoliennes et les PPV qui allaient appraitre plusieurs années plus tard qui ont provoqués le blackout sur la totalité de la France le 19 décembre 1978 puisqu’il est clair qu’il n’y a pas d’autre possibilité pour le crash espagnol tout a fait identique !

      Répondre
    • Vous voyez Dubus, on a échappé à un blackout aujourd’hui encore , et même deux, un a midi quand nos voisins on brusquement diminuer leurs importations de puis la France à hauteur de 4 GW en quelques secondes, de quoi écrouler le réseau en surproduction d’autant …..on a eu chaud, heureusement RTE le doigt sur la ranger d’interupteurs a aussitôt deconnecté 4 GW de puissance d’origine solaire ! OUF on s’en est sorti indemes. 4 heures plus tard, à 16 heures, nos facétieux voisins nour repompent brusquement 4 GW …. notre reseau voit sa phase s’effondrer, mais avant que l’onde perturbatrice ne se propage sur des milliers de KM, le petit doigt salvateur de RTE rebascule les interupteurs et voila tous ces parcs à nouveau reconnectés . Quelle chance nous avons d’avoir tous ces renouvelables ultrapilotables qui restent pourtant invisibles aux yeux d’un certain nombre de’autruches qui pondent des commentaires des plus désobligeants sur ce forum et bien d’autres, sans doute dans l’espoir que ce que fait RTE ne soit qu’un mauvais rêve et pas une réalité.
      Alors les Dubus, Viktor, et consorts ….. la réalité vous apparaitra t-elle un jour, ou préférez vous rester bêtes pour ne pas avoir à avouer que vous avez été trompés par un lobby ? Reconnaitre que l’on se trompe élève l’esprit, et l’estime que vos anciens contradicteurs peuvent avoir de vous.

      Répondre
  • Revenons sur les pseudo explications de SR qui revisite la physique de l’électricité:

    « Quant au problème de l’inertie, c’est une fake qui s’effondrea comme les autres car les oscillateurs électronique des renouvelables qui ne sont pas contraints par la production elle-même mais uniquement par la capacité de la batterie qui les alimente prosuisent une phase constante est toujours bien plus réguliere que celle d’une machine tournante qui commence a étaler l’onde de phase dès la premiere fraction de seconde où le rotor n’est plus entrainé et il vaut mieux alors déconnecter l’alternateur du reseau immédiatement pour éviter les déphasages d’ondes superposées à celles qui sont toujours entrainées. D’ailleurs, il y a belle lurette que les horloges synchronisées sur la phase du réseau ont disparues au profit d’oscillateurs à quartz. »

    Et voilà le problème de stabilisation d’un réseau électrique résolu: il suffit de « déconnecter » les alternateurs et de supprimer l’auto régulation instantanée due à l’inertie des rotors et laisser les « oscillateurs électroniques » (onduleurs je suppose ?) maintenir la fréquence par l’opération du saint esprit (?) . Génial notre ingénieur !

    PS: quant à savoir ce que vient faire la synchronisation des horloges dans l’équilibre d’un réseau électrique, that is the question.

    Répondre
    • Quand un ignorant prend la plule pour expliquer un sujet technique auquel il ne comprend rien, tout en inventant le moiuvement perpétuel d’un rotor d’alternateur qui continue à tourner quand il n’est plus alimenter, et cela rien que parce que ça nous fait plaisir qu’il stabilise la fréquence du réseau, ça donne VIKTOR

      Répondre
      • CQFD: une fois de plus vous montrez votre incompétence et surtout votre mauvaise fois pour avoir le dernier mot , on y est habitué !!!
        En effet parler d’inertie des masses rotors pour auto stabiliser la fréquence de qq ms à environ une seconde, les rotors sont toujours connectés au réseau bien entendu , ne signifie pas pour autant comme vous le déduisez que l’on fait référence au mouvement perpétuel ! Quelle bouillie intellectuelle pour avoir raison !

        Répondre
  • Rochain semble bien trop sûr de lui en pensant que l’inertie de synthèse peut aisément remplacer l’inertie des machines tournantes. Voici un avis de EDF qui doit s’y connaitre un peu :  » ces équipements (inertie artificielle par des mécanismes électroniques) n’ont pas encore prouvé leur fiabilité à grande échelle, à la hauteur de l’inertie mécanique actuellement très utilisée ». https://www.revolution-energetique.com/fiches-pedagogiques/quest-ce-que-linertie-des-machines-tournantes-quedf-veut-monetiser/

    Répondre
    • Je ne doute pas d’EDF s’y connaisse un peu, comme vous dite, mais quand son lobby nucléaire a été capable d’inventer toutes les fakes pour décrédibiliser les renouvelables qu’on a vu passer et qui se sont toutes effondrées quand les moyens de vérifier sont apparus, comme « grace au nucléaire nous avons l’électricité la moins cher d’Europe » par exemple totalement démenti par les publications d’Eurostat, et plus récemment encore « Le nucléaire est pilotable alors que les renouvelables variables ne le sont pas  » lui aussi démenti tous les jours, ou presque par RTE….. Je ne m’étonnepas de cette pantalonnade sur l’inertie des 57 alternateurs de réacteurs nucléaire + quelques gros barrage, qui si tant est qu’il serait vrai que leur inertie est un garégularité ge de stabilité se réduit lui-même à presque néant comparé à l’inertie des millions de moteurs synchrone qui fonctionne connectés sur le réseau tant dans l’industrie que chez les particuliers. Mais de toutes les façons c’est totalement bison au point que tous les centre serveurs et systèmes locaux hautement stratégiques sont totalement déconnectés du réseaux par mesure de sécurité, lequel ne sert qu’à alimenter les batterries en amont d’oscillateurs électroniques d’une régularité qui ne doit rien à l’inertie, mais à la finesse de l’oscillation des quartz quand ils ne sont pas piloté par une horloge atomiques. Les serveurs de ce niveau ne sont jamais perturbés par les variations intempestives du réseau et de sa tension variable queje mesure moi même assez régulierment dans le cycle de 24 heure ou de 225 v fréquement en milieu de journée, je passe à 240 v dans la nuit…… une paille ! Par ailleurs vous qui avez été informaticien si j’ai bien compris de quelle façon et sur quelle technologie, selon vous, s’appuie les horloges multiphases des processeurs d’ordinateurs dont une variation en déphasage d’une picoseconde entre les unes et les autres conduirait à une alerte de disfonctionnement arrétant immédiatement l’ordinateur…. ce qui n’arrive pourtant pratiquement jamais ?
      L’inertie des machines tournante peut rejoindre sans problème le KWh le moins cher d’Europe, et même du monde, la super pilotabilité du nucléaire qui doit resagir en quelques secondes à des variations de plus sieurs GW….. et bien d’autres encore.
      Il est temps de faire face aux réalités vérifiables Cochelin, la croyange dans la parole non contextable d’EDF n’est plus de mise.
      Serge Rochain

      Répondre
      • Même RTE et l’IEA doutent de la pertinence de remplacer les machines tournantes par des générateurs d’inertie virtuelle pour stabiliser le réseau électrique. https://www.usinenouvelle.com/article/les-trois-technos-mises-en-avant-par-l-aie-et-rte-pour-stabiliser-un-reseau-electrique-100-renouvelable.N1809992
        Contester l’avis de EDF n’a aucun sens, sauf vous faire plaisir. EDF est l’entreprise qui a développé le plus les énergies renouvelables dans le monde.

        Répondre
        • Cochelin, ce n’est certainement pas EDF qui a développé le plus d’énergie renouvealble dans le monde ….. La Chine a ellle seule investi chaque année à elle seule dans les renouvelables que tous les autres pays du monde réunis…..à ce compte, on se demande comme il serait possible qu’EDF soit l’entreprise qui a réalisée le plus d’installation renouvelables au monde….. sauf à me faire croire que les investissements chinois sont réalisés par EDF.
          En revanche, s’il y a une chose qu’EDF a fait plus que tous les autres instalateurs de renouvelables c’est la diffusion de contrevérités sur le nucléaire et sur le renouvelable, mais ce n’est pas les mêmes contrevérités dans les deux cas.

          Répondre
      • Un méta message de SR qui est bien difficile à décrypter tans les confusions sont énormes et la principale confusion est de comparer l’inertie « des millions de moteurs synchrone… » qui sont des consommateurs à l’inertie de la production d’électricité par les alternateurs pilotables (nucléaire, gaz, hydraulique ..) !!!!!!
        Pour un ingénieur c’est pas brillant , pour équilibre un réseau électrique il faut que la production égalise la consommation et c’est bien la masse totale inertielle des alternateurs producteurs qui auto stabilise instantanément en attendant la réactions des différents mécanismes de régulation (statisme primaire, régulation secondaire, ajustement tertiaire) et pas les consommateurs.
        Et le summum arrive pour étayer cette brillante démo quand interviennent les serveurs qui n’ont rien à voir avec la problématique de stabilisation d’un réseau électrique mais comme on s’en fout puisqu’ils seraient alimentés par des batteries et puis avec la finesse de l’oscillation des quarts pilotés par une horloge atomique , c’est claire que tout ça est évident et tous ces idiots (y compris EDF.) qui n’y comprennent rien mais pas SR .

        Répondre
        • Quand Viktor croit pouvoir donner des leçon de physique c’est catastrophique !

          Répondre
  • Cochelin, vous dites dans un message de ce jour qui ne dispose pas du bouton « repondre » :
     » Ainsi ces producteurs continuent à produire même lorsque l’offre est supérieure à la demande.  »

    C’est une grande confusion que vous faite et que semble aussi avoir fait l’assemblée nationale votant l’arret des renouvelable en cas de prix négatifs ????????????????
    Les lois de l’électricité ne vont pas se modifier parce que l’on continue à pratiquer une formule de calcul du prix de l’électricité adaptée à une situation de pénurie alors que nous sommes en situation de surabondance. Que le prix apparaisse négatif est une chose, la nécessité de produire pour égaler la consommation en est une autre, et cette derniere prime sur les considérations de boutiquiers qui transparaissent dans votre message et dans le texte de loi voté par des députés qui ne savent pas de quoi ils parlent, si vous ne voulez pas provoquert un blackout sur le réseau.
    Les gestionnaires de réseaux comme RTE et ses homologues de nos voisins n’ont q’un oeil sur la différence de potentiel en tous points du territoire qui doivent êtres nuls entre eux, et sur les courbes oscilloscopiques de la phase qui partout doit apparaitre fixe et immuable. Le tiroir caisse installés aux jonctions frontalieres peut bien indiquer ce qu’il veut , aucun de ces responsable de réseau ne déconnectera la moindre éolienne ou le moindre PPV en fonction de ce qu’il indique. Il faut seulement changer la formule de calcul du prix spot qui ne doit se trouver n’égatif en aucun cas, ce qui par ailleurs est depuis toujours une abération car il doit inclure l’amortissement des dépenses de construction et entretien du réseau ce qui le maintriendra toujours au-dessus de zéro quels que soient les autres composantes de ce prix.

    Répondre
  • « Cochelin 10.06.2025
    Rochain fait référence aux cartes du vent. La réalité fait apparaître une grande variabilité de la production de l’éolien en mer déjà installé. Sélectionnez cette production sur : https://www.energy-charts.info/charts/power/chart.htm?l=fr&c=FR&legendItems=lyd&interval=year »

    OUI Cochelin, belle façon de tromper (mais je crois sincerement que vous vous abusez vous-même) en montrant le profile de production sur 30 cm d’une période de 6 mois pour montrer une « grande » varabilité. Etallez une période de 10 ans sur une largeur de 30 cm….vous ne verrez que des aiguilles !
    Mais en analysant les variations des courbes dans le détail ont voit que les vents sont pratiquement constants à quelques 10% pres durant des périodes 3 à 5 jours consécutifs (on est loin des dents de scie dont nous abreuve Dubus) , et surtout JAMAIS NULS dans ces 6 mois, contrairement à une fake qui revient régulierement avec l’invention des périodes anticycloniques avec calme plat partout, qui durent de une à deux semaines, voire, plus.

    Répondre
  • Je connais bien le parc éolien en mer de Saint Nazaire. Bien souvent, j’ai observé toutes les éoliennes à l’arrêt car le vent est trop faible pour les entraîner. Il n’a pas besoin d’être nul. Si le réseau a besoin d’un surplus d’électricité à ce moment, il va falloir trouver autre chose.

    Répondre
    • OUi Cochelin, il va seulement falloir se tourner vers le parc éolien plus haut en Mache ou mer du Nard, ou encore plus bas en allant vers la cote Basque, et restent encores les parcs méditerranéens…. Mais où donc ais-je la tête ? C’est vrai, tous ces parcs n’existent pas encore….. et c’est peut-être là où votre raisonnement est insoutenable. Dans le même ordre d’idée, il suffisait de ne construire qu’une seule éolienne en France et regarder quand elle tourne ….. nous en aurions certainement déduit que ce ne pouvait pas êtres une solution avec un vent insuffisant pour lui faire produire le moindre Whatt durant 25% du temps en moyenne.

      Répondre
    • Quand on propage tant de contrevérités depuis des années comme le fait EDF on n’est pas à une de plus qu’ils n’osent d’ailleurs pas affronter de face (n’a pas encore… à grande échelle) car ils auront l’air moins bête quand il faudra compter surtout sur la pemanence de l’onde électronique des oscillateurs à quartz, ils pourront toujours dire qu’ils n’ont jamais dit que c’était nul, mais seulement émis des réserves motivées par des vérifications à faire avant de généraliser. De franc menteurs quand les moyens de vérifier sont inexistant, EDF devient couleuvre louvoyante quand ces moyens apparaissent et que les emmerdeurs se propagent.

      Répondre
  • Ce pauvre Rochain,
    C’est le Dieu des Enr !
    Synchronisé comme un onduleur, il oscille au moindre propos anti Enr.
    Je viens de lire ci-dessus que « les périodes anti cycloniques avec calme plat partout », c’est une invention !
    A l’heure ou j’écris, il fait un temps ensoleillé sur l’Europe, « électricité maps » donne émission de CO2 France 23, Espagne 105, Allemagne 120 ! Donc les pays suréquipés en Enr émettent en ce moment 5 à 6 fois plus que la France.
    Et il en est ainsi tous les jours, avec ou sans, vent ou soleil.
    Cette réalité est la seule qui compte et tous les discours alambiqués de Rochain ne servent à rien.
    C’est aussi simple que cela et ça clôt toutes les discutions.
    Ces valeurs devraient être affichées dans les rues de tous les pays d’Europe, tous les jours, à la manière de la météo. Pour sensibiliser le public, qui se poserait les bonnes questions et comprendrait mieux l’inutilité des Enr.
    Rochain qui veut toujours avoir raison, va nous dire que ce n’est pas significatif, ou falsifié.

    Répondre
    • Pour Laval, quand il y a du Soleil c’est qu’il n’y a pas de vent ??? Oui le ciel est découvert partout mais il y a du vent à certains endroits de l’Europe et pas à d’autre….. quelle rapport avec l’ensoleillement ? Vous savez Laval, Il n’y a de Soleil nulle part quand il est minuit local, et il y en a partout quand il est midi local, sauf dans les endroits couverts ponctuellement
      Vous confondez manifestement anticyclone avec période ensoleillé

      Répondre
  • Un peu de modération dans vos propos. N’imitez pas Rochain.
    Les valeurs que vous signalez ne concernent que la mi journée. En dehors, les écarts sont encore plus criant.

    Répondre
    • A Cochelin: Un peu de modération ????
      Expliquez moi ce que je dois modérer, vous êtes administrateur de ces commentaires ?
      Je m’exprime sans injures, je ne dépasse pas la limite de la politesse, et je m’exprime librement comme tout le monde.
      Quand aux valeurs de CO2, elles sont données en temps réel, et là, à l’heure ou j’ai écris.

      Par ailleurs j’approuve entièrement les propos de Michel Dubus.

      Répondre
      • Cochelin veut seulement vous dire avec diplomatie qu’il ne sert a rien de choisir un momnet précis comme exmple pour prouver que ce que vous dites et vrai, ce n’est vrai qu’à ce moment précis.
        Mais là où Cochelin se trompe, c’est que je n’ai jamais usé de cette facettie, ce qu’il sous-entend de fçon trompeuse en disant n’imitez pas Rochain…. je ne m’appuie pas sur une carte des vent à un moment précis, mais sur une collection de plus d’un milliers de cartes prises tous les jours à la même heure, par exemple.

        Répondre
  • Hier soir sur une chaîne d’info j’ai vu Alexandre Jardin qui a réussi (temporairement) avec l’aide de son mouvement des GUEUX contre les ZFE à faire voter les députés de l’Assemblée Nationale en faveur de la suppression des ZFE dans le cadre d’un projet de loi de simplification de la vie économique.
    Mais le Conseil constitutionnel doit encore approuvé l’abrogation des ZFE
    Fort de ce résultat Alexandre Jardin a décidé de créer un mouvement pour abroger la PPE3 que veut faire voter le gouvernement,
    Ce mouvement s’appelle PPE3#GUEUX, il regroupe les agriculteurs et les marins pécheurs qui ont décidé de frapper fort en manifestant les 28 et 29 juin par des manifestations type gilets jaunes du tout début.
    Ci-après argumentaire
    AU MOMENT OÙ ON SE DEMANDE COMMENT RALENTIR LA PROD D’ÉLECTRICITÉ ÉOLIENNE (pénurie de demande) la #PPE3 veut engager 300 milliards de dépenses que VOUS PAIEREZ – les #gueux raisonnables demandent à chaque député de protéger vos #factureselectricite du doublement en votant la #PPEdesGueux ,
    l’amendement de @jeromenury : demande un MORATOIRE pour repenser tout. La Tribune des #gueux !
    Il est rapelé par la #PPEdesGueux qu’un moratoire sur les énergies renouvelables qui ruinent le peuple et notre économie alors que notre énergie nucléaire DÉCARBONNÉE suffit .
    Rappel de ce que j’écrivais le 11 juin :
    « La PPE3 qui impose (selon l’ineptie teutonne) une énergie additionnelle visée à l’horizon 2035 qui sera exclusivement fournie par des énergies renouvelables variables à un niveau de 42.5 %, c’est de l’argent foutu par les fenêtres ».
    Merci de faire profiter tous vos contacts du mouvement d’Alexandre Jardin et du RDV des 28 et 29 juin !

    Répondre
    • Vous pensez être nombreux à souhaiter la mort des asthmatiques ?

      Répondre
  • A lire les derniers commentaires de Rochain, je pense qu’il faut arrêter de discuter, ça ne fait pas avancer sur le sujet des prix négatifs de l’éolien. Heureusement l’état change les règles et il faut s’en tenir là.

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