mobilite electrique mieux consommer electricite reseau moins sollicite - Le Monde de l'Energie

Mobilité électrique : « mieux consommer l’électricité, au moment où le réseau est le moins sollicité »

Une tribune signée François Gatineau, expert en mobilité électrique et Président de Mobileese.

Le gouvernement du précédent quinquennat s’était fixé l’objectif de 100 000 points de charge à fin décembre 2022. Aujourd’hui, plus de 62 000 points de charge ouverts au public sont recensés, avec 8 500 installés depuis le début de l’année. En termes de répartition, on en retrouve un gros tiers dans les parkings publics, les deux autres petits tiers se trouvent coté voirie et commerces. Pour ces derniers, les chiffres sont à manier avec précaution, car certains commerces proposent des heures d’accès aux bornes identiques à leurs ouvertures, voire en priorité à leur propre clientèle.

A noter que pour les utilisateurs en itinérance, ceux qui font beaucoup de kilomètres, l’accès à la recharge rapide s’accélère avec plus de 1 300 points de charge de puissance comprise entre 150 et 350 kW. Ce nombre va poursuivre sa progression car les stations-services les plus fréquentées, et celles sur les autoroutes seront toutes équipées de bornes rapides d’ici fin 2023.

Plus de 90% de la recharge des véhicules électriques sont réalisées à domicile ou en entreprise, la recharge publique offre une réponse à ceux en déplacement et ceux qui n’ont pas de place de parking à leur domicile. En se dotant d’un point de recharge pour 10 véhicules électriques, la couverture des besoins semble assez bonne. Aujourd’hui, plus de 500 000 véhicules 100% électriques roulent en France. La corrélation avec le point de charge public semble être cohérente.

Le modèle économique du service de la recharge est basé sur un usage continu et répété des points de charge proposés : plusieurs sessions de recharge par jour dont le nombre varie selon la puissance (2 – 3 par jour pour les puissances faibles, 10 – 20 pour les puissances élevées). L’objectif pour l’aménageur ou pour l’opérateur est d’assurer un bon trafic sur ses bornes. Elles doivent donc proposer un service à l’utilisateur simple et efficace, avec une très bonne disponibilité, et éviter que les places de stationnement ne soient occupées par des « voitures ventouses ».

Repérer les zones de stationnement idéalement placées pour les automobilistes en déplacement est donc essentiel. Mais ce ne sera pas suffisant. Les piliers d’un investissement réussi seront de parvenir à avoir des bornes toujours en fonctionnement grâce à une bonne conception, une installation réussie, une très bonne maintenance ainsi qu’une anticipation du changement des composants de la station de charge pour lui assurer une plus grande durabilité. L’achat d’électricité au meilleur coût permettra aussi de sécuriser les prix proposés au client face à une concurrence locale qui peut aussi être très vive.

Plus largement, les principes de qualité s’appliquent pour les stations de recharge ouvertes au public, mais aussi pour toutes les bornes utilisées en privatif. La maintenance préventive est aujourd’hui obligatoire dans le résidentiel collectif et dans les entreprises tous les ans. Les bornes sont soumises à des contraintes d’utilisations et des contraintes de puissance électrique qui les abiment, il est plus rentable – et aussi plus responsable écologiquement – pour le propriétaire de borne de préserver son investissement en entretenant le matériel régulièrement (resserrage des cosses, changement des joints, des clapets, etc.).

Décarboner sa mobilité en passant à l’électrique est un acte qui tient également compte du fait de la sobriété énergétique. L’arrivée de l’électrique en France ne posera pas de problème de volume d’énergie électrique disponible mais plutôt des contraintes dans une consommation massive au même moment. Mieux consommer l’électricité, au moment où le réseau est le moins sollicité, sera la clé des changements que cette nouvelle forme de mobilité amène.

Pilotage intelligent de la recharge quand le bâtiment consomme déjà beaucoup, utilisation du véhicule électrique comme stockage d’électricité mobile, intégrer de l’électricité produite soi-même… Tous ces nouveaux usages sont au centre des services d’avenir que le secteur est en train de développer.

 

commentaires

COMMENTAIRES

  • De toutes manières et pour de nombreuses raisons, la voiture électrique est une aberration, il serait bien plus rationnel et moins coûteux pour l’environnement d’aller vers un thermique renouvelable à partir de carburants synthétiques…

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    • Magnifique démonstration de déclarations péremptoires qui s’assoit sur le cycle de Carnot comparer au rendement de 95% d’un moteur électrique.

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    • Quand on compare le moteur thermique seul c’est aussi avec le moteur électrique seul Cochelin .
      Maintenant si on veut comparer le cycle de vie, on va partir de la nappe de pétrole à 500 ou 2000 m sous terre et on commence l’opération jusqu’au tour de roue Cochelin. Et de l’autre coté on va partir de la chute d’eau qui fait tourner l’alternateur qui produit le courant Cochelin !
      Vous voyez c’est plus compliqué que cela encore, il m’amuse votre journaliste qui vie depuis 40 ans en écriavant des articles dans une revue d’automobiles à mazout

      Répondre
      • C’est encore plus compliqué que cela. Vous parlez de la chûte d’eau qui fait tourner l’alternateur mais vous savez bien que ce mode de production est assez minoritaire et variable selon les pays. Dans la réalité, le mode de production vers lequel nous tendons, des énergies renouvelables variables en constante progression, le rendement est de moins en moins bon : du solaire photovoltaïque dont les cellules ont un rendement de 20-25 % et un facteur de charge à l’année de 15 %, et un éolien à 25 % de facteur de charge, système pour lequel je ne suis pas contre a-priori mais qui contracte une importante dette de CO2 car gourmant en énergies fossiles lors de la fabrication en Asie. Il n’y a aucun système qui ne possède pas d’inconvénients. On connait votre position qui exonère les ENR de toutes tares et en fait un modèle très vertueux, au-dessus de tous les autres.

        Répondre
        • Oui, en effet cela peut être encore plus direct, le vent pousse les pales de l’eienne et c’est 98% de la puissance d’entrée du dispositif qui se retrouve à la sortie de l’alternateur !

          Cochelin quand vous cesserez de prétendrecontestet les calculs de rendement des transferts d’énergie auxquels vous ne connaissez rien vous cesserez du même coup de vous ridiculiser.

          Répondre
          • Je n’oublie rien du tout et surtout pas ce qu’est un facteur de charge contrairement à vous.
            Un facteur de charge n’est ni fort ni faible il est caractéristique d’une technogie. Et défini pour un investissement. Durant la vie du dispositif ll respecte ou ne respecte pas la spécification pour laquelle on a investi sur la technologie. Un investissement fait sur l’éolien terrestre atteint un retour calculer sur ce critère de l’ordre de 25% et variant peu selon l’emplacement d’implantation. Si on constate une production qui fait 10 ou 20% de moins qu’attendu le système à coûte trop cher. C’est tout ce a quoi sert de connaître le facteur de charge et rien d’autre. Ce n’est pas un indicateur pour mettre en compétition différents systèmes de production d’électricité entre eux contrairement à ce que vous croyez, et c’est cela qui vous rend aussi ridicule que Guéret.
            D’ailleurs si ce n’était pas le cas il ‘existerait que des centrales à gaz qui ont le meilleur facteur de charge, et rien d’ autre.

          • « et c’est 98% de la puissance d’entrée du dispositif »
            Ah, notre Rochain préféré LOL
            Le rendement des éoliennes, rapport entre l’énergie prise au vent et l’énergie électrique fournie, n’est au mieux que de 60% (limite de Betz, voir Wiki).
            Ce dont, en fait, on se contrefout, l’énergie d’origine étant gratuite.
            Ce rendement est en plus assez variable selon la vitesse du vent, et particulièrement faible pour les faibles vitesses de vent.
            L’un des problèmes du rendement est qu’il faudrait avoir une vitesse de rotation des pales proportionnelle à la vitesse du vent pour avoir de bonnes conditions d’écoulement de l’air. Ce qui fait que les rendements sont souvent très inférieurs à ce 0,6.
            En fait, les vraies limites des éoliennes proviennent de deux faits :
            – Pour des vents inférieurs à de l’ordre de 40 km/h, la puissance varie comme le cube de la vitesse.
            Autrement dit, la puissance à 20 km/h d’une éolienne de 1000 kW n’est que de 125 kW. Hélas
            – Les vents sont intermittents, et lorsque les vents ne sont faibles, il faut démarrer des centrales pilotables, comme à Landivisiau.
            La combinaison de ces deux facteurs fait que les éoliennes ne sont utiles que dans des pays comme l’Allemagne, où elles soulagent les centrales thermiques les jours de bon vent.

          • La France est le seul pays qui est dépendant de l’étranger à ce niveau (le plus important d’Europe) en raison de notre nucléaire importé à 100% plus les importations de nos voisins… plus le gaz, plus le charbon…. finalement la seule production locale est à la hauteur des faibles investissement que nous y avons consenti : le renouvelable squelettique

  • J’ai une voiture électrique, j’utilise l’appli Jedilx.

    Cette appli pilote la charge pour éviter les moments de pointe.
    Pour me remercier j’ai une cagnotte de 2 centimes d’€ par Kw chargé .
    Cela gère les panneaux solaires .
    Les tesla entre autre pourront par simple mise a jour via internet fournir de l’électricité puisée dans la batterie.
    JedLix a prévu dans ce cas des ristournes très importante si l’on charge pendant les surplus d’électricité .

    Si toutes les habitations étaient super bien isolée , la charge seraient possible avec un parc automobile 100% électrique.
    Si vous avez un voltmètre mesurez la tension du secteur . Les centrales nucléaire ne pouvant pas rapidement descendre en puissance il n’est pas rare le soir de voir la tension monter a 245 volts. Charger pendant ce moment rendrait service et éviterai de griller nos appareils.
    Maison isolée avec 30 cm de matériaux biosourcés .
    Bientôt avec des panneaux solaires , une pompe a chaleur EAU-EAU , deux puits (un pour pomper et l’autre pour restituer l’eau ) la maison et l’eau sanitaire seront chauffée, plus la charge de deux voitures électrique.
    L’eau puisée a 12 degrés servira pour rafraichir la cave . Ce jour avec une pointe a 42 degré on 23 degré a l’intérieur sans climatiser . Pour avoir une cave il faudrait l’enterrer a 30 m de profondeur .

    Avec un terrai en pente, prévu de monter l’eau dans un réservoir en haut du terrain quand trop d’électricité, la nuit l’au redescend vers un autre en bas en passant dans une turbine . Stock d’électricité sans batterie .
    Test de 2 ans , si 100% autonome suppression du contrat du fournisseur en électricité.

    Répondre
    • Vous pensez réellement résoudre les problèmes de transition écologique (climat/énergie/resources/biodiversité…) avec vos solutions individualistes où le commun (solidarité) n’existe pas. Votre solution c’est chacun pour soi , c’est la pire des solutions, expliquez moi comment, pour ne prendre que cette exemple, ferons toutes les populations qui habitent dans des logements collectifs et qui n’ont pas comme vous sa petite (grande?) maison, sa voiture électrique ……Le comble de l’individualisme: se déconnecter du réseau électrique car plus de fournisseur électrique c’est rompre avec le réseau électrique, j’espère que le jour où vous ne parviendrez pas à être autosuffisant (panne ou autres problèmes) vous ne pleurerez pas trop si on ne vous remet pas en service sur le champ la connexion au réseau. Mais vous aurez tout prévu et souscrit une assurance ce qui, vous en serez d’accord j’espère, sera contraire à votre doctrine individualiste car le système assurentiel c’est justement la mutualisation et la solidarité ou vous aurez acheté un groupe électrogène « écologique » en secours!

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      • Victor, vos arguments collectivistes ne pèsent pas lourd devant les réalités de tous les jours.
        Quand vous n’êtes pas dans une grande ville disposant de transports collectifs vous utilisez votre voiture pour vous rendre au boulot, et si votre voiture tombe en panne, le collectivisme des transports en commun ne vous vient pas en aide, vous vous débrouillez tout seul.
        Ainsi nous avons une multitude de choses dont une partie est gérée de façon individuelle et parallèlement une partie à usage collectif. Vous pouvez aller à la pèche, ou élever vos poules et avoir des œufs tandis que d’autres vont chez le poissonnier ou au supermarché…..
        N’élevez pas la production d’énergie au rang de divinité que nous devrions tous partager sans avoir le droit de ne pas y croire. Tout cela ne tient pas debout comme l’a démontré l’échec du collectivisme communiste dans tous les pays qui ont voulu d’y essayer. C’est un magnifique contre-exemple de ce qu’il faut faire, et plus il y aura de production personnelle moins ce qui est partagé par tous ressemblera à une usine à gaz.
        L’individualité dans tous les domaines finit par avoir la peau du BIGMACHIN à partager, les exemples pullulent, l’informatique en est un magistral, il y a maintenant des millions de fois plus d’ordinateurs individuels que de mainframe, mais il en reste pourtant autant que dans leur âge d’or, et des millions de fois plus puissant même. Quand le marché grandit c’est l’individualisme qui en profite le plus
        La production d’énergie finira de la même façon, infiniment plus de systèmes de production individualisés que de systèmes collectifs locaux, eux même infiniment plus nombreux que ce qui fait le système centralisé unique du pays. Même le réseau fini par être individuel dans les circuits de nos intérieurs qui ne sont jamais que les branches les plus extrêmes du réseau européen.

        Répondre
  • Très heureux Sieur Rochain de vous voire confirmer votre soutien aux thèses de l’utralibéralisme qui sont au moins aussi néfastes que le collectivisme versus le communisme que je ne cherchais aucunement à défendre. Mais comme souvent vous vous êtes engouffré dans un flux de paroles qui rejoignent les délires d’un Elon Musk qui nous conduirons encore plus vite à l’atteinte de toutes les limites acceptable par notre planète.
    Mais pour ne pas m’engouffrer moi-même dans les mêmes délires je propose à chacun de regarder ces deux conférences qui interrogent sur la possibilité de pouvoir réussir la transition climato énergétique sans atteindre les limites minérales chères à notre ultra libérale Sieur Rochain:
    -https://www.youtube.com/watch?v=i8RMX8ODWQs
    -https://www.youtube.com/watch?v=TxT7HD4rzP4
    Rien n’est moins sûr!

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    • Je ne vois pas ce qu’a d’ultra liberalisme le fait que certains vont au bouleau en voitre particuliere et d’autres en métro.
      L’ultralibéralisme est alors la dominante de toutes les sociétés depuis toujours où chacun estime ce qui est possible et préférable pour lui et adapte son mode de vie en conséquence….. vous ressemblez à un Don Quichotte parti en guerre contre la normalité universelle et voulant imposer son modèle d’égalité forcée et tout le monde pareil !
      Vous ne faites certainement pas rire que moi sur ce forum. Mais certains petits finauds à l’esprit affuté y verrons le désir de m’attaquer sous n’importe quel pretexte du moment que cela pourrait me discréditer, mais les membres de ce forum ne sont pas assez sots pour se laisser prendre à cette grosse ficelle qui vous ridiculise.

      Répondre
    • Pour commencer, vous préférez ne pas entendre vos theories fumantes sur la façon de produire l’energie individuellement ou en fédération, tournée en ridicule… Ce que je comprends bien mais vous bétonné dans ce ridicule avec votre blabla…
      Et pour finir, vous tentez la diversion en tentant de faire croire que le sujet était la disponibilité des métaux pour le renouvelable.. Mais la première des limites minerale est celle des minéraux que l’on transforme en chaleur et qui de ce fait ne sont même pas recyclable. Avec pour een venir au vrai problème, l’uranium, le métal le plus rare de la planète parce que le plus lourd.

      Répondre
    • Ce n’est pas la question. Il ne s’agit pas de faire un choix entre le pétrole et le nucléair et cette comparaison ne prouve absolument pas que le nucléaire disponible nous amène plus loin que 50 ans ! Sauf. Inventer des ressources nucléaires inexistante aujourd’hui et qui restent des spéculations de nucleophiles voulant surtout rassurer sur son avenir.
      La probabilité la plus élevée est que nous n’amortirons jamais les 6 EPR ordonnés par Macron sur le seul constat de son échec planétaire et que nos enfants et leurs propres enfants devront durablement payer ces erreurs.

      Répondre
  • Mieux vaudrait lire le rapport parlementaire du Sénat : https://www.senat.fr/rap/r06-357-1/r06-357-114.html « Si l’électricité d’origine nucléaire apporte sécurité d’approvisionnement et indépendance énergétique, c’est tout d’abord en raison d’une bonne disponibilité du combustible primaire utilisé dans les centrales, l’uranium, en ce qui concerne tant le niveau des ressources mondiales que les filières d’approvisionnement françaises. »

    Répondre
  • En 2019, l’indépendance énergétique réelle de la France, en énergie primaire, était seulement de 12 % : 346 TWh sur 2.892 TWh (29,79 Mtep sur 248,72 Mtep).

    En 2021, l’indépendance énergétique réelle pour la production d’électricité était de 25,8 % : production renouvelable comparée à la consommation intérieure (y compris énergie soutirée pour le pompage).

    En 2019, c’était seulement 24,1 %.

    Répondre
    • Si vous prenez le meilleur chez chacun des autres en effet….. on n’est pas le meilleur partout et peut-être même nulle part, mais ce qui est sûr c’est que pour préparer le lit du nucléaire nouveau qui est un echec mondial et pas seulement français on a refusé d’investir dans tous les aspects renouvealbles où sans être le mieux loti d’Europe nous sommes dans tous ses aspects au-dessus de la moyenne bien que tous les autres aient fait des investissements supérieurs aux nôtre avec des résultats à la hauteur des attentes ce qui leur permet de nous secourir aujourd’hui ! Regardez encore aujourd’hui comme tous les jours vers qui on exporte et combien et de chez qui on importe et de combien !
      Nous n’aurions pas besoin de ces aides expérieurs si nous avions seulement tenus nos engagements de la cop 21 comme l’éolien offshore de 6 GW que nous devrions avoir depuis 2020, le terrestre dans la même situation d’abandon dans des recours orchestrés par le lobby nucléaire avec la complicité du gournement Macron, mêmes chose pour le voltaïque et en prime au compte ddu ruineu nucléaire une amande d’un demi milliard d’euros pour non respect de nos engagments ! QUI dit que ce n’est pas EXACT ? Cochelin qui tarde à fournir les preuves que nous ne sommes pas condamné que nous avons effectivement installé et rendu opérationels les 6 GW offshore qui devraient même etre huit à l’heure présente, qui ni que nous sommes les mieux lotis avec 3 façades maritimes, qui ni que nous avons un meilleur ensoleillement que les suédois ou les allemands qui pourtant produisent près de 5 fois plus que nous avec le solaire, Cochelin qui dit inexact que les allemands sont moins bien lotis que nous en grande vallées propices à l’hydroélectricité… Cochelin qui s’enfonc la tête dans le sable de plus en plus

      Répondre
    • Bien sur elle n’ira d’ailleurs pas jusqu’à se mettre en péril pour nous, mais heureusement il y a aussi les espagnol et les anglais qui nous approvisionnnt et même quelquefois la Suisse. En fait il n’y a que les Italiens qui n’ont pas les moyens de nous venir en aide et qu’il faut soutenir presque en permanence

      Répondre
    • Ou? Mais dans ce message même, Cochelin !
      Vous ne vous en rendez mêlée plus compte !
      Des que vous parlez de l’Allemagne votre message est un souhait inavoué de ce que vous voulez qui leur arrive.. Vêt toujours de façon flou ! Plein de problèmes… Jamais l’ombre d’une simple hypothèse qui envisagerait même une infime possibilité que l’énergie Wende puisse réussir ! Et cela malgré le sens des courbes qui caractérisent les critères qui vont dans la bonne direction. Dans votre projection maladive c’est courbes vont nécessairement s’inverser, ce ‘est pas possible autrement. Vous êtes habité par une haine viscérale à l’ égaré de l’Allemagne, et uniquement parce qu’ils ont tourné le dos au nucléaire car les autres n’ont aucun droit de faire un autre choix puisque vous êtes convaincu que la France a fait le meilleur. Vos conviction devrait donc diriger le monde. Mais vous n’êtes finalement que le produit de 60 ans de mensonges nucléaire.

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