Uranium: Orano et son partenaire obtiennent un nouveau permis au Kazakhstan

Orano et son partenaire kazakh Kazatomprom ont obtenu un permis leur permettant d’exploiter une nouvelle parcelle d’un gisement d’uranium au Kazakhstan, a indiqué jeudi le groupe français dans un communiqué.

Katco, co-entreprise entre Orano Mining (51%) et Kazatomprom (49%), a signé avec les autorités locales « un amendement au contrat d’utilisation du sous-sol existant, permettant de conduire le développement industriel de la parcelle de South Tortkuduk du gisement d’uranium de Muyunkum », dans le sud du pays.

« L’exploitation de cette nouvelle parcelle devrait assurer la production de Katco pendant une quinzaine d’années », détaille Orano dans un communiqué.

Les travaux nécessaires pourraient toutefois limiter pendant deux ans à environ 65% la production de Katco « avec un retour estimé à sa production nominale historique d’environ 4.000 tonnes d’uranium par an au plus tôt en 2026 ».

Orano, ex-Areva, avait produit l’an dernier 6.814 tonnes d’uranium dans trois pays: Kazakhstan, Niger et Canada.

commentaires

COMMENTAIRES

    • Bof, pas mieux pour le gaz et les hydrocarbures en général.
      L’avantage de l’uranium est qu’il est d’extrêmement faible volume (UN GRAMME d’uranium contient l’énergie de DEUX TONNES de CHARBON), et se stocke donc facilement dans un vulgaire hangar sans le moindre danger.
      De plus, lorsque nous seront passé aux réacteurs de quatrième génération, les 350.000 tonnes d’U238 sur notre territoire devraient nous suffire pour une bonne dizaine de siècles.
      Après, espérons que la fusion fonctionnera.

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      • Faut il que vous soyez borné pour feindre que vous allez faire croire aux membres de ce forum que je soutiens le fossile !

        Uranium et fossile même stratégie :
        Pillage des ressources non recyclables de la planète pour les transformer en chaleur, ce qui contribue, accessoirement, à accroître la température de l’atmosphère.

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        • Pas d’électricité renouvelable intermittente (éolien ou, pire, solaire) sans centrales pilotables pour « les jours sans ».
          Donc, le couple éolien plus gaz, par exemple, ne fait que réduire les pollutions par CO2.
          Et de moins de moitié.
          Bien entendu, cela n’annule pas l’intérêt des intermittents appuyées sur d’importantes ressources hydrauliques,par exemple, ou pour générer de l’hydrogène pour l’industrie.

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          • On se fout complètement de vos fantasmes sur les absences de vent et de lumière…. Que faites vous au fond d’un trou de taupe ou il n’y a ni vent ni Soleil ?

  • @ Guéret Et combien de kg de minerai à traiter pour obtenir votre gramme ? Pour mémoire teneur moyenne 3 g/ tonne ! Quelle méthode? Quelles pollution et dégâts environnementaux ?

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    • @Dumas.
      Selon la teneur en uranium du filon de minerai uranifere il faut extraire entre une et plus de huit tonnes de minerai pour, in fine, obtenir 500 grammes de yellow cake d’une teneur a 75% en uranium multi-isotopique. Dans ce YC il sera extrait entre 3 et 4 g de U-235.
      Mais ce qu’il faut aussi comprendre c’est que cette chimie d’extraction se passe sur les lieux d’extraction du minerai. Il s’agit de la phase de transformation qui génère le plus de CO2. IL Y A D’ABORD L’EXTRACTION PROPREMENT DITE réalisée avec les scrappers de carriers. Ensuite il ds’agit de réduire le minerai en poudre à l’aide de broyeurs dont les trains de meules sont de plus en plus rapprochés et permettant d’atteindre des grains de quelques centièmes de mm. Tous ces engins fonctionnent au fioul. Ensuite c’est un traitement chimique à l’aide d’acides qui vont dissoudre les gangues amalgamées autour des molécules d’uranium imbriqués. Ensuite les boues sont lavées avec dépôts des molécules lourdes contenant l’uranium en fond de bac ou il est récupéré toujours sous forme de boues appelées YC pour gâteau jaune. C’es ce YC qui est envoyé chez ORANO à Narbonne Malvezy pour lla suite du traitement qui consistera surtout à enrichir la proportion de 235 par rapport au 238 pour optimiser le rendement des pastilles dont seront faits les crayons actifs à enfourner dans le réacteur.
      Ce qui est fait sur le site d’extraction à l’étranger, comme au Kazakhstan ou au Niger est considéré comme minerai et non comme combustible et à ce titre, n’entre pas dans la balance énergétique française et pas plus que dans le décompte du CO2 émis par le KWh d’origine nucléaire français. Les mots font leur affaires de rendre le nucléaire propre.
      Il est facile et flatteur de calculer le taux de co2 en ne partant que du YC car après il est constant et se contente d’un chiffre. Mais en tenant compte de l’origine minerai il pourra varier dans des proportions considérables en raison de la richesse du filon en iranium et de la nature plus ou moins dure du minerai qui le contient. C’est pourquoi le GIEC fournit une fourchette variant de près de 1 à 100 dans l’impossibilité de fournir une moyenne précise. En revanche ils donnent une médiane déterminée par l’écart entre ceux qui sont des sources en nombre égal en faible émission et ceux qui sont en forte émission.
      Les 6 g donnés par L’ADEME ne correspondent comme ils le disent sur leur site que les émissions produites par les moyens de traitement en France. C’est à dire sur le YC considéré comme un combustible et plus un minerai.

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    • La spécialité de Cochelin c’est de mettre la tête dans le sable et de balancer des URL de site dont il ne doute pas qu’ils disent ce qu’il croit mais qu’il est même incapable de comprendre. Comme celui qu’il donne dans ce message.
      La réalité de ce 6g c’est ce que dit clairement l’ADEME : FE de l’électricité pour les moyen de production en France exprimés en gCO2e/kWh en mettant 6g dans le tableau accessible en cliquant sur moyen de production conventionnel, le tableau est juste au dessus de cette remarque :
      https://bilans-ges.ademe.fr/documentation/UPLOAD_DOC_FR/index.htm?renouvelable.htm
      En fait, nier ce que dit l’ademe dans sa base de données c’est effectivement la spécialité de Cochelin qui n’a jamais rien compris à tout ça ! Pour lui il faut seulement que ce soit favorable au nucléaire et il ne demande rien de plus.

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    • Si j je comprends ? Moi oui, vous non.
      Rien d’étonnant à obtenir globalement 56 et même que 56 car c’est la somme de 50 réels + 6 bidons !

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  • Et pour la France…. Selon origine ?
    Curieux on n’a qu’un seul chiffre avec des origines très différentes et des richesses de filon très variables….
    Alors pas de problème on part de YK toujours dosé de façon identique à 75% d’uranium tous isotopes confondus et le problème d’un résultat unique est réglé !
    Hors de portée de la compréhension de Cochelin ça !

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    • Ce n’est pas les articles aussi propagandiste que mensongers qui manquent. Surtout écrits par des zozo qui pensent que la Terre a des ressources infinies et pour l’éternité. La paire est comptée, alors la transformer en chaleur est une preuve de stupidité.
      Sans compter sur la caractère particulièrement dangereux de celle dont il s’agit. Espérons que les moments d’inquiétude que nous sommes en train de vivre ne se transforment pas en tragédie. Ce qui n’empêche pas les imbéciles d’en souhaiter plus encore.

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  • Personne ne pense que la filière nucléaire actuelle doive être une solution pérenne. C’est une solution transitoire destinée à être suivie par d’autres filières plus performantes. En tous cas, sans cette filière (en France ou chez nos voisins), la situation serait pire encore en Europe. Nos voisins ne se plaignent pas de l’apport de leur maigre parc (à côté du parc français) qui fonctionne souvent à 100 % de leur capacité et songent à le conserver le plus longtemps possible. Et qui regrettera la diminution du stock d’uranium au sein de la croûte terrestre ? A part Rochain, qui fait là dans le sentimentalisme !

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    • Ravis de voir que vous devenez raisonnable en ne considerant plus que le nucléaire est une solution pour l’avenir. Ce n’était en effet qu’un accidentde parcour dont les couteux outils de production doivent être utilisés le plus longtemps possible pour amortir ces lourds investissement, et il est en effet inutile de ne pas les utiliser tant que les outils de remplacement ne sont pas installés.
      Malheureusement ces outils de remplacement n’ont pas été construits à temps car nos idéologues du nucléaires avaient convaincu que l’EPR allait les rendre inutiles…. mais il n’est toujours pas là et ceux que nous n’avons pas construits malgré nos engagment non plus…. alors, conséquences inéluctables, nous sommes à la remorque de nos voisins plus réalistes.
      Aujourd’hui ce sera encore 9 à 10 GW d’importation plus le Soleil qui en fournira presque autant, mais malgré le gaz, le charbon et le pétrole remis au gout du jour, ce sera tout juste suffisant pour répondre au besoin avec un nucléaire qui s’aggrave avec maintenant jusqu’à 31 réacteurs en panne sur 56….. un triste records et sans sentimentalisme.

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  • Mais en France, depuis le début de l’année, les productions nucléaires et renouvelables dépassent 82 % de la consommation intérieure. Un record comparé à nos voisins : moins de 50 % en général. Pourquoi ne vous intéressez-vous pas à cette performance ?

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    • Et si on recherche les performances en combinant ceci avec cela et ceci sans cela …… vous arriverez certainement à un record mondial de quelque chose.
      Allez vous reposez et reprenez des forces Cochelin, vous allez en avoir grand besoin dans les mois qui viennent

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