Nouveaux réacteurs nucléaires: EDF essaiera d’être « dans toute la mesure possible au rendez-vous » en 2035

Le PDG d’EDF, Luc Rémont, a assuré vendredi que le groupe mettait tout en oeuvre afin de tenir la date de 2035 pour le démarrage du premier réacteur nucléaire de nouvelle génération.

« Il y a énormément de travail pour s’assurer que l’ensemble de la filière industrielle puisse monter en puissance pour être au rendez-vous », a-t-il répondu, interrogé à ce sujet lors d’une conférence de presse à l’occasion des résultats financiers annuels du groupe.

« On a compris l’objectif, et nous travaillons pour essayer d’être dans toute la mesure possible au rendez-vous », a poursuivi le PDG d’EDF.

Emmanuel Macron a fixé comme objectif la construction de six nouveaux réacteurs nucléaires EPR, dans des centrales existantes: les deux premiers à Penly (Seine-Maritime), et les deux suivants à Gravelines (Nord), selon les plans d’EDF.

La ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a avancé récemment la date de 2027 – « plutôt fin 2027 » – pour « la première coulée de béton » et de « 2035-2037 » pour la mise en service.

Mais les calendriers nucléaires, ainsi que les budgets, sont historiquement dépassés. La mise en service de l’EPR de Flamanville, en construction depuis 2007, est par exemple désormais prévue pour mi-2024, avec 12 ans de retard.

commentaires

COMMENTAIRES

    • Et Que penses le « Père Vert » Serge de la mesure des ENRi à l’échelle (maintenant qu’on a un gros parc et nos voisins aussi !!!)… On avait été prévenu de « miracles » et maintenant c’est souvent des mirages par anticyclones d’hiver…

      Dans la mesure des possibilités actuelles, le 100%ENRi s’éloigne de bien des pays Européens (Hélas !!!) donc il est plus que temps de se hâter sur le Nucléaire…

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    • Sacré Rochain.
      Gérer, c’est prévoir l’avenir. Et le plus loin possible.
      Il vaut donc mieux, pour la France, prévoir la remise à niveau de nos capacités industrielles et installer pour le futur des réacteurs nucléaires, le plus tôt possible de quatrième génération, pilotables, sans CO2, bons pour le climat (LE danger majeur pour l’humanité) …
      Que se précipiter pour installer des panneaux solaires et des éoliennes, qui présentent un double inconvénient :
      – Pour l’essentiel importés, une catastrophe pour notre économie, avec un déficit gigantesque du commerce extérieur,
      – Intermittents, donc rendant obligatoire en parallèle des systèmes pilotables, en très grande partie générateurs de CO2.

      Et dans la même logique, je n’aime pas les voitures électriques, dont la fabrication et le recyclage seront très polluants.
      Et je préférerais les voitures consommant de l’hydrogène, cet hydrogène étant fabriqué pour l’essentiel par de l’électricité nucléaire. Avec si on veut un peu d’intermittent, bien que les fabrications d’hydrogène semblent ne pas aimer les variations de puissance.

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      • Tout à fait Hervé, mais convaincre la Pannier Runacher est impossible sur ce sujet à tiroirs de la 3G + 4G complémentaires assurant de l’énergie pour des siècles en gérant de manière proactive les déchets !
        Pourquoi cela parce que madame est en service commandé pour mener à bien le combat du renouvelable coûte que coûte. Celui-ci étant instauré par l’intransigeante Borne qui a puisé son dogme à l’école de la socialo demeurée S Royale ! Mais qu’est-ce qu’ils ont comme mal ces socialos (tes) en inclusif !

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        • @Michel Dubus,

          Mme Pannier Runacher est plutôt très proche historiquement du Lobby des hydrocarbures… (Son papa ex-cadre dirigeant chez Perenco, Numéro 2 « français » du pétrole et son ex-mari à un très gros poste chez ENGIE mais avec 3 enfants en commun…). Mais pas de Soucis de conflits d’intérêts…

          Il faudrait demander à un cadre dirigeant du Nucléaire (genre Hervé Machenaud) et à Greenpeace comment il verrait le fils de ce cadre du Nucléaire devenir « Ministre de la Transition énergétique »… Nos politiques sont pathétiques parfois, même si ils peuvent avoir par intermittence de bonnes intentions… (Cf propos introductif de Delphine Batho devant la commission parlementaire sur l’énergie… Joliment pathétique avec des orientations issus de volontés certes louables, mais sans aucune idée des efforts inouïs à faire et du chambardement que cela représente… cela tient parfois plus du caprice de gamin gaté que de personne réfléchie, posée et douée de capacités d’analyses sérieuses…).

          Le Lobby des Hydrocarbures adorant les ENRi car le back-up sera essentiellement pour eux, et que d’autre part ils sont conscients des baisses de production à venir, ils ne peuvent pas tout avoir mais garder des parts de choix, celles qui devront être pilotées (ça coute très cher le pilotage, et ce dans toutes les activités humaines…).

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      • Le problème des voitures à Hydrogène (PAC + batterie + moteur électrique) c’est que compte tenu du très mauvais rendement de la filière hydrogène, elles (les voitures) consomment 2 à 3 fois plus d’électricité que les voitures à batteries.
        Tant qu’il y aura des centrales à gaz pour faire de l’électricité, il est plus efficace et beaucoup moins cher de faire des voitures à gaz (pour la route) et des voitures électriques avec 100 km d’autonomie (10 à 15 kW.h de batterie) pour les villes.

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        • @Guérin,

          Vous avez bien raison sur le problème de rendement de l’hydrogène auquel il faut ajouter une logistique très contraignante et couteuse (Hélas mais c’est ainsi). De mémoire, une station service à Hydrogène couterait aujourd’hui en ordre de grandeur plusieurs dizaines de fois plus chère qu’une station à essence classique…
          Un point à voir est le prix de carburant de synthèse à base d’hydrogène dans quelques années !? On aura toujours besoin de cimenterie (même dans un monde utopiquement 100%ENRi…) et les cimenteries « crachent » beaucoup de CO2, est-ce qu’une recombinaison pour faire des hydrocarbures est faisable !? (en tenant compte d’une minoration de Taxes Carbone pour les cimentiers et du besoin d’hydrocarbures pour la chimie… et du restant de transport thermique…)

          A rajouter que des navettes (type shuttle) ferroviaire pour des trajets longues distances peuvent faire bouger des voitures électriques à faible autonomie d’une grosse agglomération vers une zone proche d’un lieu de vacances, avec moins de fatigue pour le conducteur et une optimisation de temps… (Sans le tracas des recharges électriques en route qui va être bientôt un « gag » lors des périodes de départ en vacances, déjà que c’est parfois une sacrée perte de temps avec une voiture thermique lors des fortes affluences… Et en été avec une bonne canicule et quelques bouchons imprévus, la clim des « gros » véhicules électriques risquent de minorer sérieusement l’autonomie de ces VE et d’offrir de tristes spectacles dans les stations en terme d’attente et aussi en bordures d’autoroutes sur les BAU…)

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        • @Guérin.
          Bien d’accord, mais je suis toujours étonné de ne pas voir se développer des véhicules hybrides dont le moteur ne ferait que recharger la petite batterie, tout en fonctionnant au maxi de leur rendement.
          Il faut savoir qu’un moteur, essence ou Diesel, consomme une part importante de son carburant simplement pour continuer à tourner. Le gros de sa consommation en ville.
          En clair, à l’ordre un, le couple résistant du moteur en rotation est proportionnel à sa cylindrée et à son taux de compression. Et cette énergie dépensée est inutile.
          On en déduit que le rendement du moteur est maximal lorsqu’il fonctionne à plein couple (pied au plancher), indépendamment de sa vitesse de rotation.
          Ce qui fait qu’une voiture avec une petite batterie couplée à un petit moteur ne fonctionnant que rarement mais à pleine charge, devrait battre tous les records de basse consommation.
          (j’ai travaillé longuement comme ingénieur sur ce sujet)

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      • @Hervé Guéret,

        Je me permets de rajouter à votre commentaire sur les importations de « capteurs » énergétiques le risque géopolitique. Le secrétaire actuel de l’OTAN l’exprime officiellement – https://www.connaissancedesenergies.org/afp/stoltenberg-appelle-ne-pas-faire-la-meme-erreur-avec-la-chine-quavec-moscou-230218#comment-25732
        Donc le PV Chinois qui est à au moins 90% de nos importations de Panneaux PV, il va falloir arrêter le délire complet vu les volumes en jeux maintenant et dans 30 ans…

        Notre dépendance au Gaz de Schiste américain devient énorme par ailleurs, ce qui est un comble (et avec un Bilan Carbone désastreux, proche du charbon !!!) et la Back-Up des ENRi va en demander beaucoup…

        Pour les voitures à Hydrogène, il faudra au moins 30 ans si ce n’est pas plus pour un développement à très large échelle (en dizaines de % du parc routier avec les infrastructures) donc entre-temps les batteries ont le temps de faire la jonction pour une bonne partie du parc et les carburants de synthèse à base d’hydrogène de progresser… Je pense qu’il est illusoire de penser que les voitures thermiques disparaitront vite. Un objectif de 75% de VE aurait été logique et atteignable… Entre les agrocarburants (d’une part),les carburants de synthèse (à base de H2) et un peu de fossiles (il faudra toujours du bitume pour les routes, qui vient du pétrole et des raffineries !!! sinon QUID !? Béton ou pavés !?), alimenter 25% du parc est un objectif réaliste (avec une baisse du traffic progressive par ailleurs), et les voitures thermiques ont des qualités d’autonomie que n’auront jamais les électriques (et nécessaires pour bien des usages, certes pas communs : secours, techniques (4X4 de RTE et ENEDIS pour les lignes sans parler des hélicos), …). L’Hydrogène a de l’avenir mais faire encore miroiter des objectifs inatteignables à une filière en peu de temps est dangereux…

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        • @Hervé Guéret,

          Et vous connaissez bien normalement les dangers de l’hydrogène… L’accident de Fukushima en est la preuve, ou plutôt la série d’accidents se succédant suite à un Tsunami extrêmement intense (qui lui a fait 20.000 morts pas la centrale…). Sans les problèmes d’alimentation électrique suite au tremblement de terre et surtout au Tusnami, pas d’accident. Faute d’alimentation pour refroidir les barres de combustible il y a eu entre autres des dégagements de H2 (sans équipements de recombinaison de H2 dans cette centrale) et des explosions de H2 (sur-accidents dans l’accident en cours) qui ont bien aggravé le sujet… Sinon on avait un « Three Miles Island » Bis et puis c’était tout, sans dégagement massif hors des réacteurs et un problème très localisé. L’hydrogène cela peut faire peur aussi et créé moultes accidents et sur-accidents (son développement et sa distribution vont avoir ces contraintes… en plus des couts…).

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          • @APO
            Pour les dangers de l’hydrogène, je suis bien d’accord.
            Bien risqué par exemple d’autoriser des voitures à hydrogène à entrer dans un parking souterrain.
            Mais, d’un autre genre, le danger dû à la fabrication des batteries, à leur difficultés de recyclage, … me semble encore plus grave.
            Si l’hydrogène est faite à partir de réacteurs nucléaires surgénérateurs, d’éoliennes et de panneaux solaires, le rendement de 30% de la filière hydrogène me semble un faible inconvénient.

          • @Hervé Guéret,

            Pour les accidents de batteries, le bateau rempli de voitures de luxe qui a sombré suite à un incendie dans le Golfe de Gascogne il y a quelques mois en « serait » une exemple en phase utilisation. L’équipage (avec leurs équipements) n’ont pas réussi à arrêter le feu et la bateau a coulé. A priori le feu étant parti d’une voiture électrique et s’étant propagé à d’autres voitures électriques à coté puis à d’autres véhicules… Les incendies d’hydrocarbures sont connus et les équipements adaptés, pour les batteries ce n’est pas encore le cas et cela ne brule pas pareil…

            Pour le stockage de l’hydrogène, un des mes oncles (docteur en chimie et retraité depuis longtemps mais toujours à l’affut des progrès dans son secteur) me parlait il y a quelques mois de progrès dans des mousses de polymères à même de faire « l’effet d’une éponge » vis à vis du H2 et donc de réduire certains risques en cas de fuite. Comme une éponge qui « stocke » de l’eau et sans pression la « garde » (et la libère avec de la pression ou des formes de dépression…). Par contre cela coutera plus cher qu’un réservoir classique à carburant…
            Votre idée de l’hybride rechargeable avec moteur à H2 est assez intéressante ! Mais est-on obligé de l’avoir « en embarqué » en permanence sur une voiture ou cela peut-il être rapporté pour certains trajets en mode location et/ou ajout d’un équipement additionnel (comme on loue/attelle une remorque ou une caravane !?) pour unedistance qui peut-être pas trop longue mais nécessaire. Le dimensionnement des véhicules actuels pour quelques trajets longs annuels (et aussi et surtout pour « présenter » son statut social pour beaucoup) est au final hyper consommateur de ressources (pour faire le véhicule et le faire circuler…) et cela ne sera bientôt plus tenable (cela ne l’est déjà plus vu les GES induits). De plus les chassés-croisés d’été et lors des vacances d’hiver avec de gros parcs électriques vont donner lieu à des « gags » pas très sympa pour ceux qui seront dans le lot (des temps d’attente pour les recharges qui seront XXL et des recharges rapides limitées par le réseau qui sera saturé par moment… sauf à ouvrir des centrales à Gaz et à charbon pour ces journées-là !). Il est indéniable que l’hydrogène en vecteur énergétique stockable aurait alors sa place (mais son déploiement prendra un temps bien long…).

  • Logique.
    Par rapport aux années 70/80 qui sont l’âge d’or de l’industrie française, toute une économie de services peu utiles, voire nuisibles comme le secteur de la publicité, s’est développée.
    La part de l’industrie utile s’est étiolée.
    Tant que l’on continuera à construire des camping-cars et des panneaux publicitaires à gogo, plutôt que des réacteurs nucléaires et autres systèmes COHERENTS et correctement pondérés, à base d’ENRv, ça n’avancera pas au rythme nécessaire.

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  • M. Rochain se contente de faire dans l’ironie. Chacun son tour : je compte sur lui pour souffler sur la plus proche éolienne de chez lui les jours sans vent ou au contraire quand il est trop fort, soit environ les trois quarts du temps.

    Répondre
  • En plus de nouvelles tranches Nucléaires et du prolongement autant que faire se peut de l’ancien, il est plus que temps de remettre le nez dans l’hydraulique (très complémentaire du Nucléaire par ailleurs pour un Mix réellement décarboné, mais aussi pour le bon fonctionnement des centrales le long des fleuves) !!! La sécheresse gagne de larges territoires métropolitains !!! De nouveaux barrages à vocation multiples sont à réétudier (Serre Ponçon en est un exemple – vocation énergétique, hydraulique pour adduction eau potable et d’irrigation, régulation d’un cours d’eau compliqué et destructeur et enfin site touristique… Par ailleurs le débit de la Seine est très fortement régulé en Amont par des barrages uniquement prevu à cet effet). Le tout avec une réellement bonne Leçon des ENRi et leur gestion à distance (facilitée par les progrès colossaux des Telecoms en 25 ans…) —> On peut donc faire des barrages petits à moyens et les gérer aisément maintenant (petits STEP inclus dans le Lot !). Il y a URGENCE, on ne mange pas de l’électricité, même si maintenant on a besoin d’électricité pour manger décemment à l’année…
    Cf – https://www.lepoint.fr/societe/dans-une-vallee-agricole-de-l-aquitaine-de-precieuses-retenues-en-manque-d-eau-19-02-2023-2509171_23.php#xtmc=dans-une-vallee-agricole-de-l-aquitaine-de-precieuses-retenues-en-manque-d-eau&xtnp=1&xtcr=1
    La Filière Biométhane risque de devenir une tartufferie sans nom sous peu … (il y en aura un peu certes mais loin des chiffres annoncés sauf à vouloir finir de collaborer à l’anéantissement de pans entiers de l’Amazonie pour l’importation de nourriture à animaux et aussi pour les humains…) et donc le 100%ENR annoncé par Nombre d’ENRistes intégristes (ce sera ENR + Fossiles de Facto…).

    Répondre
  • APO: on file tout droit vers le scénario haut du GIEC.
    Il faudrait une remise en cause du système économique mondial pour éviter cela, une véritable révolution pour la décarbonation et la baisse de la consommation, et je doute que celle-ci se produise à la hauteur du besoin.
    Je crains qu’il ne soit bien trop tentant de cramer tout le gaz, le pétrole, et le charbon qu’il reste…
    Donc, ça devrait faire +4 degrés en 2100 par rapport à aujourd’hui, au niveau mondial, ce qui donne le double en France: + 8 degrés (et encore, on ne connait pas tous les effets d’emballement).
    1 degré de plus par décennie en France.
    A ce rythme-là, avec également moins de précipitations et, celles-ci étant plus brutales, il est urgent de construire de nouvelles retenues d’eau ET de pratiquer des cultures moins gourmandes en eau.

    Répondre
    • @Marc,

      Oui pour les cultures, et le Maïs qui a de gros besoins d’eau en été n’est pas durable dans des zones sans pluie et sans réserves hydriques importantes… Sachant que le Maïs est un réel « major impact player » dans la méthanisation, on voit vers quoi nous pousse des systèmes mal raisonnés…

      Pour l’eau, Oui, il faut plus de retenue mais aussi des canaux remis au « gout du jour » et de nouvelles créations pour transférer de l’eau si besoin d’une région à l’autre…
      Pour les pratiques agricoles, l’agriculture de conservation avec des couvertures de sols laissés pour la vie des sols (et donc sa porosité) est une nécessité…

      Pour la direction actuelle, je pense qu’on est plus dans les trajectoires du Rapport Meadows (le climat est une des pollutions, il y en a d’autres, et l’épuisement de nombreuses ressources pointe son Nez à l’horizon…). ce rapport n’avait pas ségrégé les pays/zones géographiques mais au global on va vers ces trajectoires… Comment gérer des catastrophes sur des temps longs dans des pays qui seront moyennement à durement impactés (mais gérable tout de même) mais comportant des populations venant pour partie de zones qui seront extrêmement impactées !??? et tant d’autres questions… Le Nucléaire a su montré sa résilience durant le COVID mais aussi en Ukraine pendant la guerre qui y a lieu… Par contre si l’Ukraine avait eu des champs d’éoliennes dans la zone de conflits (Quid !?) Idem pour le PV !?
      Le GIEC (groupe I) donne des aspects scientifiques basés sur des Lois physiques et des observations qui confirment les changements…
      Le GIEC (Groupe II) donne pour partie des aspects économiques basés sur des « règles » économiques (très imparfaites au demeurant et il y a tant de rétroactions positives qui une fois en route – effet boule de Neige – peuvent emballer des parts entières de nos systèmes…). C’est utile comme Travail mais très aléatoire en interprétation au niveau local/national sur bien des aspects…
      On va laisser un Grand Héritage aux générations futures… (Il est temps de reprendre en Urgence certaines politiques de Grands Travaux – Nucléaire inclus et d’arrêter les moultes subventions de multiples niches couteuses et pas impactantes pour la population générale)

      Répondre
      • Apo ça c’est bien vrai arretons l’Enorme Heritage que nous allons laisser à toutes les générations futures avec les déchets ultimes et le gouffre financier du nucléaire et toutes ses subventions depuis plus de 60 ans alors que l’on va encore le payer toujours plus cher des milliers d’année meme quand on s’en sera enfin sorti… APO qui délire et continue de se ridiculiser avec les autres trolls car toujours incapable de vérifier le réel du terrain … pour ceux qui veulent enfin ouvrir les yeux sur la réalité du terrain que tout le monde peut très facilement vérifier : c’est bien à cause de notre nucléaire polluant à tous les stades et le retard pris par la France dans le développement des ENR qu’on est oblige .. comme on l’a fait l’hiver dernier … de redémarrer les centrales thermiques déjà en place pour pallier aux défaillances de nos vielles chaudieres polluantes nucléaires et que l’on importe de plus en plus d’électricité de nos voisins qui eux s’en sortent grâce aux ENR … le nucléaire et le fossile sont déjà condamné économiquement … vous parlez d’une énergie polluante très très chère , dangereuse avec des déchets ultimes qui ne représente que 4% de l’énergie dans le monde et qui baisse inexorablement RAPPEL des faits : le monde entier se sort du fissible et du fossile / charbon / pétrole / gaz … sauf le bio gaz qui est une ENR … grâce aux ENR pour enfin produire propre sans dangers et sans déchets pour beaucoup moins cher que cette merde polluante de nucléaire qui fait des ravages sur la faune , la flore et l’être humain …. ENR qui nous sortent aussi du fossile/ charbon / pétrole / gaz … comment font les pays qui n’ont pas de nucléaire et de fossile et tous ceux de plus en plus nombreux qui ont déjà dépassé les 50 voire 75 % d’ENR dans leur mix et qui voient leur pollution , leur GES et leur Co² baisser au fur et à mesure du développement des ENR sur le terrain … alors que la France s’enfonce toujours plus dans la pollution et les déchets ultimes avec notre merde polluante à tous les stades, avec des déchets ultimes, très très chère , qui fait des ravages sur la faune , la flore et l’être humain… la crise actuelle le prouve bien en accélérant la mise en place des ENR sur le terrain : c’est bien les ENR qui nous sortent aussi du fossile/ charbon / pétrole / gaz … et c’est bien ce qui est urgent pour la planète , le climat , notre santé , contre la pollution , le Co² , les GES. et vérifiez que les ENR sont beaucoup moins chères que notre merde polluante de nucléaire et rapportent de l’argent à l’état .. pour payer le gouffre financier du nucléaire polluant à tous les stades qui fait des ravages sur la faune , la flore et l’etre humain … la réalité du terrain que l’on subit sournoisement partout en France depuis plus de 60 ans constaté par l’ASN et les tribunaux … https://scontent-mrs2-2.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/333217950_951366735854932_5236185087031312535_n.jpg?_nc_cat=108&ccb=1-7&_nc_sid=dbeb18&_nc_ohc=xZ_mEvQqgcIAX_rwtB0&_nc_ht=scontent-mrs2-2.xx&oh=00_AfDFEk1JBs3MSbMLLfWoByQsX8_HJXjtb5c-Mig2R4G2gg&oe=64095FC8

        Répondre
        • @Régis,

          Tu as beaucoup d’actions ENGIE ou Totalénergies !?
          T’inquiètes pas avec les ENRi pour la France, le GAZ on en a jusqu’à épuisement des filières d’approvisionnement mondiale et après « chauffage » au plutonium !?…

          Répondre
          • APO Vous ne connaissez vraiment que les fakes pour gogos?. vous parlez du bio gaz ? … la réalité du terrain qui se met déjà en place alors que le Pv et l’eolien ne sont qu’une partie des ENR : « … Les énergies éoliennes et solaires ont fourni pour la première fois en 2022 plus de courant aux pays de l’Union européenne que le gaz naturel, année de bouleversements énergétiques précipités par la guerre en Ukraine, selon un rapport du groupe de réflexion Ember publié mardi.
            L’éolien et le solaire ont fourni en 2022 près du quart (22%) de toute l’électricité consommée dans l’Union européenne, bien plus que l’électricité à base de charbon (16%) et dépassant même « pour la première fois le gaz fossile (20%) » utilisé dans la production électrique, selon l’European Electricity Review du groupe de réflexion sur l’énergie…. »

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