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France : la crise énergétique, une opportunité de mettre en œuvre une politique énergétique à la hauteur des enjeux climatiques ?

Une tribune signée Marc Maindrault, responsable ENR chez Best énergies.

Avec l’explosion des prix des énergies fossiles et de l’électricité constatée depuis la fin de l’année 2021 et la multiplication des aléas climatiques qui touchent le sol français depuis plusieurs années (incendies, stress hydrique, canicules, grêles, inondations…), nous assistons à une prise de conscience écologique d’une partie de l’opinion publique, des grands industriels et des politiques.

Reste à savoir si l’essai sera transformé par l’Etat sous la forme d’un grand programme de transition écologique et énergétique, comme les rapports du GIEC, de l’IEA ou de l’ONU nous y invitent unanimement…

Le virage à 90° des grands acteurs de l’énergie

L’incertitude sur les capacités des réseaux gaz et électrique français à assurer les besoins de chaleur dans le résidentiel, le tertiaire et l’industrie l’hiver prochain a récemment poussé les PDG des grands groupes français de l’énergie, Total, EDF et Engie à prôner la sobriété dans nos usages de l’énergie.

Ce positionnement vient renforcer l’évolution des stratégies de développement de ces grands groupes en faveur de la transition énergétique. On avait en effet pu constater qu’ils effectuaient depuis plus d’une dizaine d’années des rachats d’entreprises ou des déploiements de filiales spécialisées dans l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables (EnR).

Il paraît loin le temps où EDF assumait de tirer un câble électrique de 10 km pour éclairer symboliquement la croix du Nivolet, qui surplombe la Ville de Chambéry, pour empêcher la réalisation d’un projet photovoltaïque risquant de lancer une filière concurrente à celle du nucléaire.

Ce temps où GDF (devenu Engie) s’opposait systématiquement aux projets d’injection de biométhane dans le réseau de gaz français… Depuis la fin des années 2000 en effet, Engie affiche ouvertement son soutien au développement des EnR et notamment du « gaz vert »…

Même Total, mis en en difficulté notamment pour avoir fait preuve de climato-scepticisme entre les années 1 970 et 2 000, arbore depuis 2021 le nom de « TotalEnergies » et porte des projets ambitieux de déploiement des EnR électriques, de production d’hydrogène vert, d’usines de batteries…

Un revirement palpable dans la société civile et la classe politique

La société civile change également, avec en fer de lance des jeunes diplômés (à l’instar de ceux d’Agro-ParisTech ou de Polytechnique) qui revendiquent leur volonté de construire des projets professionnels dont l’objet est compatible avec la conservation d’un monde vivable et vivant. Cette tendance est par ailleurs confirmée par certains grands industriels et énergéticiens français, qui peinent à recruter dans les métiers traditionnels des secteurs de la chimie lourde, de l’agro-industrie, des énergies fossilesi

Le pouvoir politique se montre également dynamique sur le sujet. Le Président-Candidat Emmanuel Macron n’hésitait pas, dans l’entre-deux tours d’avril 2022, à affirmer que « le prochain quinquennat sera écologique ou ne sera pas ». Comme promis dans ce même discours, il a confié après sa réélection à sa cheffe de gouvernement « la planification écologique ». Quelques mois après le démarrage de la crise en Ukraine, Emmanuel Macron et Elisabeth Borne invitent solennellement les Français à participer à des efforts partagés de sobriété énergétique. Le Président a même annoncé mi-juillet que son gouvernement préparait « un plan pour se mettre en situation de consommer moins ».

Quelques ombres au tableau subsistent

Malgré ces constats positifs dans la perspective d’atteindre  la neutralité carbone en 2050, le logiciel de fonctionnement de notre société et de nos grandes entreprises est régi par un raisonnement économique qui n’est pas forcément en accord avec les efforts à produire pour lutter contre le réchauffement climatique.

En partie poussé par ses actionnaires, Total a par exemple récemment pris la décision d’aller au bout de son projet EACOP (mégaprojet d’extraction et de transport de pétrole à travers l’Ouganda et la Tanzanie, à l’aide de pipelines chauffés…), en opposition avec les conclusions du sixième rapport du GIECii et les déclarations du président de l’AIEiii, qui indiquent clairement que tout nouveau projet d’extraction de pétrole ou de gaz est incompatible avec la limitation à 1.5 degrés de l’élévation de la température moyenne du globe en 2 100 par rapport aux débuts de l’ère préindustrielle…

Dans le même temps, et derrière des discours résolument portés sur le développement des EnR, le groupe Engie a conservé ses activités historiques d’extraction et de vente de gaz fossile. Au-delà de l’incompatibilité entre ces activités et les conclusions scientifiques évoquées ci-avant, on constate l’existence de luttes intestines entre les filiales du groupe qui développent des réseaux de chaleur renouvelable et de récupération vertueux, et celles qui vendent des contrats de gaz fossile dans les mêmes périmètres…

Notons d’ailleurs que la communication de l’énergéticien sur les perspectives d’avoir un réseau gaz « 100% vert » en 2050 pose question, dans la mesure Engie continue à vendre massivement du gaz fossile, le biométhane représentant moins de 2 % du gaz transitant dans le réseau de distribution français…

Malgré les discours incisifs du Président et de la Première ministre, on peut également regretter qu’à ce jour l’ADEME, bras armé de l’État pour la transition énergétique et écologique, soit dépourvue de gouvernance (avec un président et un Directeur général délégué nommés en intérim) et par conséquent de réels pouvoirs dans cette période clé, alors que leurs prédécesseurs avaient annoncé leurs départs depuis près d’un an.

En lien avec les risques de pénurie de gaz russe l’hiver prochain et plus généralement d’énergies fossiles dans les prochaines années, le gouvernement français a conclu en juillet plusieurs contrats de fourniture de pétrole avec différents pays (Azerbaïdjan, Emirats Arabes Unis, Arabie Saoudite…) et prévoit d’augmenter ses importations de gaz naturel (notamment de GNL issu des gaz de schiste nord-américains, la loi « pouvoir d’achat » votée par les députés fin juillet prévoyant la construction d’un nouveau terminal méthanier au Havre).

Il apparaît cependant difficile de critiquer le pragmatisme de telles mesures d’approvisionnement, lorsqu’on connaît la dépendance aux énergies fossiles de notre société et de notre économie. On peut néanmoins s’inquiéter qu’un plan concret d’investissement ne soit pas proposé en parallèle pour limiter rapidement les consommations d’énergies fossiles dans le transport et l’agriculture, mais également pour diminuer et substituer les besoins de chaleur dans le logement, le tertiaire et l’industrie. Une « Loi d’urgence écologique » permettrait par ailleurs de nous prémunir des conséquences directes du réchauffement climatique mais également de l’augmentation des contraintes sur les approvisionnements en énergies fossilesiv.

Des perspectives d’augmentation des usages thermiques de l’électricité qui posent question

La cheffe du gouvernement a proposé comme l’un des piliers de la planification écologique du prochain quinquennat la nationalisation d’EDF, afin de lancer un programme de construction de six nouveaux EPR (et au passage sauver une entreprise surendettée, dont le cours de l’action s’est effondré ces dernières années). Emmanuel Macron avait d’ailleurs annoncé en février 2022 que le programme pourrait être porté à 14 EPR à horizon 2050 en cas de succès concernant la construction des 6 premiers EPR.

Si les faibles niveaux d’émissions de CO2 de la production d’électricité nucléaire ne posent aucune question, de même que la nécessité d’électrifier certains usages, notamment dans l’industrie et les transports, on peut raisonnablement s’interroger sur cette stratégie lorsqu’on fait le bilan des difficultés rencontrées par la filière sur le parc existant (coût et délais de Flamanville, problématique des rejets des eaux de refroidissement au-dessus de 30°C dans les fleuves, capacités de stockage de déchets de la Hague quasi-atteintes, projet CIGEO de stockage profond dans la Meuse qui prend du retard, fonctionnement partiel du parc pour problèmes génériques de corrosion, vieillissement du parc…) et les incertitudes sur la maîtrise industrielle du déploiement des EPR en France au vu des retards et défauts rencontrés sur les références en construction ou en fonctionnement, en Europe et dans le monde (France, Finlande, Royaume-Uni, Chine…).

Le Ministère de la transition énergétique soutient en parallèle le déploiement des Pompes à chaleur (PAC) dans l’habitat et le tertiaire via les dispositifs Maprim’Rénov, les certificats d’économie d’énergie mais également en favorisant le chauffage électrique dans le logement neuf (à travers la nouvelle réglementation thermique (- RE 2020), puisque le poids des énergies renouvelables va fortement augmenter dans le mix électrique Français lors des 50 prochaines années.

Cette stratégie de déploiement conjoint du parc nucléaire et du chauffage électrique a de fortes similitudes avec ce que la France a connu dans les années 70-80. L’opération avait été un succès, comme en témoigne cette particularité française qu’est le « chauffage électrique », avec plus d’un tiers des logements équipés en Francev.

Le diable se nichant dans les détails, il ne faut pas croire que le chauffage électrique est décarboné au motif que le mix électrique Français l’est. Le chauffage électrique étant fortement sollicité en période hivernale, celui-ci engendre des pics d’appels de puissance sur le réseau qui génèrent en conséquence un fonctionnement soutenu des centrales à gaz fossiles (voire à charbon) en relais du nucléaire et de l’hydroélectricité…

Ce constat est amplifié depuis 2020 à cause des opérations de maintenance curatives à répétition et le décalage de certaines opérations de maintenance préventive. Ainsi, le développement massif des PAC (notamment air-air et air-eau) en substitution des moyens de chauffage fioul ou gaz devrait malheureusement accroître les pics d’appels de puissance électrique hivernaux et carbonés dans les prochaines années, d’autant plus que dans certaines régions d’altitude, ou au nord de la Loire, le coefficient de performance de ces équipements en hiver est loin de correspondre à celui annoncé par les constructeurs en conditions de tests en usine…

D’autres solutions pour diminuer voire substituer nos recours au gaz et au fioul pour la production de chaleur dans le logement, le tertiaire et l’industrie existent pourtant.

La chaleur renouvelable et de récupération, un pilier de la transition énergétique à développer

Bien que représentant environ 45 % de nos besoins finaux d’énergievi, la chaleur (logement, tertiaire, industrie…) est peu abordée dans les débats sur la transition énergétique, accaparés par les transports et l’électricité, qui ne représentent pourtant chacun qu’environ 30 % des besoins finaux d’énergie.

Comme pour les transports, la chaleur est très dépendante des énergies fossiles (à près de 80 %). Dans le contexte actuel de tension sur les approvisionnements en gaz, il est utile de rappeler que le gaz consommé en France est destiné pour moitié au chauffage du parc résidentiel et tertiairevii.

Au-delà de la rénovation énergétique du bâti dans le logement et le tertiaire, largement connue du grand public et désignée comme l’un des principaux objectifs des pouvoirs publics depuis plusieurs quinquennats, la substitution des énergies fossiles (gaz, fioul…) par de la chaleur renouvelable ou de récupération représente une seconde voie pour décarboner la « chaleur » au sens large. Bien que plus efficace en termes d’investissement à la tonne de CO2 évitéeviii, le recours à la chaleur renouvelable ou de récupération est absente des discours politiques et des débats concernant la transition énergétique.

Les moyens financiers publics dédiés au développement de la chaleur renouvelable et de récupération demeurent d’ailleurs infimes (2,6 milliards d’euros sur 2009-2020) ix par rapport à ceux déployés pour l’électricité renouvelable (entre 4 et 5 milliards par an sur 2019-2020)x , ou les 46 milliards d’euros annoncés pour le déploiement des 6 EPR à horizon 2050.

Ce faible soutien au développement des EnR thermiques et de récupération explique en partie sa lente progression depuis 10 ans, alors même qu’il faudrait doubler dès maintenant son développement annuel pour atteindre les objectifs 2030 fixés par la Loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte d’août 2015xi.

Notons toutefois que l’un des obstacles principaux rencontrés dans le développement de la chaleur renouvelable et de récupération est le faible prix des énergies fossiles, surtout du gaz naturel, tombés très bas sur la période 2013-2020.

Même si la bascule penche désormais pour un déploiement plus important de la chaleur renouvelable et de récupération sur le territoire français, avec l’augmentation simultanée des prix des énergies fossiles et des aides publiques (passage du Fonds chaleur à 370 puis 500 M€ respectivement en 2022 et 2023), cela ne suffira pas sur la durée pour réussir le pari de décarboner massivement et dans un temps relativement court les besoins de chaleur… Le baril de pétrole a par exemple déjà baissé de 40 % entre mars et août 2022. Ainsi des mesures incitatives complémentaires doivent être mises en place pour lever les principaux obstacles au développement des énergies renouvelables et de récupération (EnR&R). Parmi elles, deux sont à privilégier :

  • Le retour d’une contribution climat (ex-taxe carbone) qui soit juste et équitablexii (en épargnant notamment les ménages plus pauvres), dont les recettes seraient affectées de manière transparente à la transition énergétique et à la baisse des charges socialesxiii.

  • Une aide aux propriétaires d’appartements et/ou gestionnaires de résidences dont les logements sont équipés de modes de chauffage individuels carbonés (chaudières gaz ou convecteurs électriques => environ 7,8 millions de logements concernésxiv) pour passer en chauffage collectif dans le cadre d’un raccordement à un réseau EnR&R voire la mise en place d’une installation EnR dédiée.

De nombreux voyants au vert pour enclencher une réelle transition énergétique

Entre la prise de conscience généralisée de l’urgence climatique, l’envolée des prix des énergies fossiles et de l’électricité, et désormais les perspectives de pénurie de gaz l’hiver prochain, nous sommes à un moment charnière de la transition énergétique en France et plus généralement en Europe.

La situation énergétique actuelle n’est pas sans rappeler le choc pétrolier de 1979. A l’époque, la situation avait déjà suscité un engouement pour les alternatives EnR. Certaines technologies, notamment dans le bois énergie et le biogaz, n’étaient pas prêtes technologiquement, et ont été tenues à bout de bras quelques années avant d’être arrêtées.

Les écueils d’alors devraient cette fois être évités, dans la mesure où les savoir-faire en termes de rénovation thermique du bâtiment, la maîtrise des technologies dans l’efficacité énergétique industrielle, dans la production d’électricité renouvelable (éolien, solaire photovoltaïque…) et de chaleur renouvelable et de récupération (bois énergie, géothermie, solaire thermique, biogaz…) sont désormais tout autre.

La convergence entre les recommandations des travaux du GIEC, de l’Agence de la transition écologique (Ademe), du Haut Conseil pour le Climat, mais également des associations Negawatt ou encore du Shift Project, sur la nécessité de mener un grand plan de transition écologique et énergétique, ne laisse plus d’autre solution à l’exécutif que d’agir, et de relever le défi de la transition énergétique et écologique.

Conclusion

Condamné par le Tribunal administratif de Paris en 2021 pour son manque d’action pour préparer le territoire aux impacts actuels et futurs du changement climatique et mis à l’index par la Commission européenne pour ne pas avoir respecté son engagement de 23 % d’ENR en 2020, l’exécutif saura-t-il bénéficier du contexte favorable actuel pour se rattraper et mener une politique ambitieuse de transition énergétique et écologique, devenant ainsi un grand leader européen en matière de lutte et d’adaptation face au changement climatique ?

i Enquête Février 2022 « Pour une transition juste :visions et attentes des travailleur·ses du secteur pétrolier et gazier en France » Amis de la Terre, Institut Rousseau, Institut Veblen

iv https://theshiftproject.org/wp-content/uploads/2021/05/Approvisionnement-petrolier-futur-de-lUE_Shift-Project_Mai-2021_SYNTHESE.pdf

v Estimation d’après chiffres CEREN, Données sur l’énergie dans le résidentiel en France métropolitaine, 2008-2020, mise à jour 18 janvier 2022.

vi Estimation Best Energies à partir de données du SDES Datalab, Bilan énergétique de la France pour 2020, janvier 2022, du CEREMA Généralités sur la chaleur, septembre 2021, CEREN, données énergie 1990-2016 du secteur industrie.

vii Source SDES Bilan énergétique France 2021

viii Revue de l’énergie – N°65- septembre-octobre 2020 « Promouvoir la chaleur renouvelable, au moins autant que la réhabilitation thermique des logements »- par Serge Defayeet Marc Maindrault

ix Ademe – https://expertises.ademe.fr/energies/energies-renouvelables-enr-production-reseaux-stockage/passer-a-laction/produire-chaleur/fonds-chaleur-bref

x D’après Chiffres CRE

xi Source SDES et SER rapport bilan énergétique 2021

xii La Revue de l’Énergie n° 644 – mai-juin 2019 « Transition énergétique : revenir à la taxe carbone, condition indispensable, mais non suffisante » Auteur Serge Defaye

xiii Energie Plus – n°618 – janvier 2019 « -Taxe carbone et développement de la chaleur renouvelable ». Serge Defaye et Marc Maindrault, Best-Energies/Debat

xiv d’après données CEREN, Données sur l’énergie dans le résidentiel en France métropolitaine, 2008-2020, mise à jour 18 janvier 2022.

commentaires

COMMENTAIRES

  • Article loin du soi-disant basculement avec retour au nucléaire et traduisant plutôt une méfiance accrue à son égare. Le retour du nucléaire n’aura pas lieu, balayé par les renouvelables.

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  • égard prend un « d » et pas un « e » et chez nous depuis deux jours pas de vent !!!! c’est peut etre les demandeurs d’emplois qui vont pédaler !!!!!

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    • @Kersanté
      Je n’ai aucunbe prétention orthographique.
      Je ne sais pas où vous habitez mais depuis deux jours, puisque vous limitez à deux jours le fait qu’il n’y a pas de vent au bout de votre nez, cela ne préjuge en rien qu’il n’y en a pas ailleurs en France puisque c’est précisément le cas. D’ailleurs, sur toute les sôtes françaises, c’est à dire là où il n’y a aucune éolienne on est plutôt bien servi en matiere de vent, de quoi produire 30 à 40 GW avec un équipement totalement absent aujourd’hui. Voyez plutôt la bible plus explicative que le bour de votre nez :
      https://www.meteorama.fr/vent/

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  • @Kersanté
    Je partage. Si on va sur Electricity Maps, la part de l’éolien en France est très faible, 14% et en Allemagne de 21%. Conclusion, le vent ne souffle pas sur l’Europe et le soleil à 21H00, il n’y en aura plus…

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    • @FR LIBRE
      Mauvaise pioche electricity map ne dit pas s’il y a du vent. Il dit s’il y a du vent là où il y a des éoliennes
      En france par exemple cela dit s’il y a du vent dans un moiuchoir de poche tqui rassemble dans le Nord-Est sur 16% de la surface du territoire près de 5000 des 8000 éolienne dont nous disposons.
      S’il y a du vent à cet endroit, c’est excellent ça a déjà avoisiné les 10 GW mais s’il y en a partout ailleurs mais pas là comme en cemoment alors la production se traine à 2 ou 3 GW.
      Le bon critere pour savoir ce n’est pas electricitymap mais les cartes vent de météofrance a relever tous les jours comme je le fais depuis pres de deux ans : https://www.meteorama.fr/vent/
      Ne me remerciez pas c’est gratuit

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    • Tout cela ne les empeche pas de nous suaver de la triste situation dans laquelle nous nous sommes mis tout seuls avec nos reves nucléaires

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  • De nous sauver, oui, mais avec l’aide de leur très gros parc thermique à flamme (75 GW) qu’ils ont su conserver alors que nous n’avons presque rien de pilotable. Faut-il vous le rappeler encore une fois ?

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    • La couleur de la noué de sauvetage ne plaît pas à Cochelin, vite un coup de couteau dans la boué !
      Je me demande si nous sommes de la même espèces ?

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  • Vous êtes en êtes encore à travestir ma pensée. Les Allemands nous sauvent des gouvernements Français successifs (depuis François Hollande) qui n’ont pas sû conserver un parc thermique pilotable, à flamme ou nucléaire, suffisamment dimensionné.

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    • Si vous voulez, mais ils nous sauvent surtout de notre inaction durant les années qui ont suivi la cop21 dont on a respecté aucun des engagements que nous y avons pris, et même si on ne s’était contenté que de cela, en poursuivant au même rytme apres 2020, soit deux années de plus, aujourd’hui, non seulement nous ne devrions rien à personne mais nous ne brulerions pas de fossiles malgré la catastrophe nucléaire.

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    • 😂🤣😂🤣 cochelin et toujours ses vieux canulars périmes pour gogos 😂🤣😂🤣je vous remet une fois de plus la réalité du terrain : c’est bien à cause de notre nucléaire polluant à tous les stades et le retard pris par la France dans le développement des ENR qu’on est oblige .. comme on l’a fait l’hiver dernier … de redémarrer les centrales thermiques déjà en place pour pallier aux défaillances de nos vielles chaudieres polluantes nucléaires et d’importer de plus en plus d’électricité des pays qui développent les ENR et se sortent aussi du fossile / charbon / pétrole / gaz … à propos des vieux canulars périmés sur l’Allemagne qui a même accéléré le développement des ENR suite aux dernières catastrophes climatiques et aux élections et aux derniers événements … alors que c’est bien la France qui vient de nouveau de se faire condamner pour son inaction contre la pollution, que c’est bien EDF qui est de plus en plus souvent condamner par les tribunaux et que c’est bien de notre santé qu’il s’agit… QU’ILS CONTINUENT DE DEPANNER LA FRANCE COMME ILS LE FONT DEPUIS DES ANNEES … eux agissent et se sortent de la … heureusement qu’il y a les ENR qui nous sortent aussi du fossile/ charbon / pétrole / gaz …. .et c’est urgent pour la planète , le climat , notre santé , contre la pollution ,les GES , le Co² .. . et vérifiez que les ENR sont beaucoup moins chères que notre merde polluante de nucléaire et rapportent de l’argent à l’état .. pour payer le gouffre financier du nucléaire… https://scontent-mrs2-1.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/306634222_10229899611539320_4628894881061517027_n.jpg?_nc_cat=105&ccb=1-7&_nc_sid=dbeb18&_nc_ohc=ZKhTWrG9I6EAX_7twlf&tn=Nu5J-3iiXm5LCq9e&_nc_ht=scontent-mrs2-1.xx&oh=00_AT9x19TBZq_HsTl13-by_ej8cVW2owhvQn55eCk-WR2Wbg&oe=63270DB3

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  • Qu’en savez-vous ? Vous êtes un peu trop présomptueux, me semble-t-il. Votre boule de cristal a-t-elle donc parlé ?

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    • Ce que j’en sais c’est que nous engagements de la cop 21 concernaient entre autre 6 GW d’éolien en mer pour l’échéance 2020, ce qui dans la continuité ce qui en ferait déjà 8,4 aujourd’hui en continuant au même rythme (profitez-en donc pour regarder les cartes des vents jusqu’à 50 Km au large des côtes ça fait partie du package VENT+EOLIENNES. Pour la même échéance de 2020, le solaire devait avoir doublé par rapport à la situation de 2015 c’est moins de 60% de mieux en 2020. Ajoutez l’objectif de 1500 méthaniseurs toujours à l’horizon 2020 alors que fin 2021 il n’y en avait toujours que 945….J’en passe avec les 24 projets énergie-bois dont pas un seul n’a vu le jour..
      Pas besoin de boule de cristal et aucune vantardise présomptueuse, la simple logique appuyée sur les chiffres existants suffit, Cochelin.

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      • Vous confondez puissance crête d’un parc et production. 6 GW d’un parc offshore ou onshore ne donneront jamais 6 GW de production. Les exemples en Europe sont nombreux. De même pour le solaire ppv. Et pour le reste, de l’idée de projet à leur réalisation, de nombreux problèmes sont encore à résoudre. Ce n’est pas aussi simple que vous voulez dire.

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        • Cochelin je ne pensais pas Que vous me croyais assez niais ou ignorant (réservez ça pour les Guéret et compagnie) pour croire que 6GW de puissance installée fournissent 6Gw de puissance effective en permanence. Et rien dans ma rédaction ne pouvait laisser supposer que je le croyais. En revanche vous avez tellement envie que ce soit le cas que vous ne pouvez pas vous empêcher de faire comme si ça l’était.
          Vous savez Cochelin j’ai entendu parlrrvfe facteur de charge bien avant vous et je pourrais vous en dire long sur les raisons de sa fluctuation..
          Alors cessez de vouloir jouer au plus fin avec vos gros sabots !
          Ce n’est pas non plus que l’engagement de l’éolien offshore qui n’a pas été respecté, lui je ne le site en exemple que parce que c’est le pire avec un résultat ZÉRO sur son engagement car lui ne dépend que de l’état qui a effectivement tout bloqué ! Alors que les autres engagements dépendent tou en partie au moins des collectivité, régions, communes, et même privés, celle qui ont quand même pu avancer malgré les chausses trappes des services de l’état !
          Alors oui Cochelin si nous avions respecté nos engagements de la cop21 et ensuite continuer avec la même dynamique aujourd’hui nous ne brûler ions pas de fossiles et ne serions pas contraints d’importer notre énergie de l’étranger.
          On pourrait aussi apporter au bénéfice des renouvelable l’amande de 500 millions d’euros pour non respect de nos engagements de la cop21, tout ça, ça fait un beau paquet !

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          • « aujourd’hui nous ne brûler ions pas de fossiles et ne serions pas contraints d’importer notre énergie de l’étranger. » Vous n’en n’apportez pas ici la preuve. Seulement une supposition. Peut-être en brûlerions et importerions nous un peu moins, mais en-tout-cas, nous en brûlons actuellement moins que tous nos voisins (sauf la Suisse, évidemment). L’Allemagne aussi est régulièrement importatrice nette, comme aujourd’hui malgré son très important parc de production. https://www.energy-charts.info/charts/power/chart.htm?l=de&c=DE&stacking=stacked_absolute_area&legendItems=01011111111111111111111111111111111000000

          • Ah bon Cochelin, aujourd’hui nous ne brûlons pas de gaz et on n’importe pas ? Vôtre pc est en panne ou vous avez perdu l’URL d’eco2mix échanges aux frontières ?

          • Vous avez mal lu ou vous êtes de mauvaise foi. Je n’ai pas écrit que nous ne brulons rien mais seulement moins que nos voisins. Je connais bien les données concernant la France et je les affiche régulièrement. Pour qui me prenez-vous ?
            Sur l’Europe : https://app.electricitymaps.com/map

          • Cochelin, des votre premiere ligne vous me contestez :
            « aujourd’hui nous ne brûler ions pas de fossiles et ne serions pas contraints d’importer notre énergie de l’étranger. »
            Sans démontrer quoi que ce soit, juste le plaisir de contester manifestement comme si quelque soient les puissances que nous aurions installées depuis 2015 produire 10 GW de plus de façon continue n’était pas possible !
            Vous ne changerez jamais, les nucléophiles sont bien une race à part.

          • Que croyez vous prouver avec cette déclaration Cochelin ?
            Vous soulignez seulement que « beaucoup » ne signifie pas « suffisament ».
            Non, l’Allemagne n’a pas encore suffisament de renouvelable et importe encore trop souvent de l’électricité de l’étranger, mais même si le « trop souvent » reste relatif, cela arrivera toujours « trop souvent » pour ceux qui ne sont pas satisfait du système même si celui qu’ils préconisaient aurait fait lui même appel à l’importation beaucoup plus souvent car il ne le sauront jamais puisqu’il n’a pas été retenu dans ce pays. On peut seulement conclure que ce dispositif de secours sera toujours utile un jour ou l’autre car quel que soit le système retenu la perfection absolue reste un fantasme.
            Nous en sommes nous même une illustration qui aurait pu prévoir il y a ne serait-ce que 5 ans en arrirere que 29 réacteurs nucléaires sur 56 supposés être opérationnels serait à l’arret pour diverses cause le 16 septembre 2022 ou n’importe quel autre jour ?
            Le câblage de transport électrique entre pays voisins est une des clefs de la garantie de la disponibilité électrique et s’y s’en servir occasionnellement en est un bon usage, il me semble qu’en faire un outil indispensable permanent ou de longue durée n’en n’est pas un usage correct et c’est peu respectueux de ses voisins dont la mission n’est pas de biberonner les pic-assiettes. Nous sommes très proches d’être nous même dans cette situation par négligence et vantardise car cette situation n’était pas si difficile à éviter avec une bonne gestion, même si une part du problème était, ou semblait, imprévisible.

          • Vous écrivez : qui aurait pu prévoir il y a ne serait-ce que 5 ans en arrirere que 29 réacteurs nucléaires sur 56 supposés être opérationnels serait à l’arret pour diverses cause le 16 septembre 2022 ou n’importe quel autre jour ?
            De nombreuses mises en garde ont été émises depuis longtemps sur des problèmes à venir. Jancovici il y a 1 ans déjà ecev l’effet falaise et d’autres : https://www.europe1.fr/societe/louis-gallois-nous-devrons-peut-etre-penser-a-construire-des-centrales-a-gaz-en-france-4134329 «  »On savait quel était le programme de maintenance et de grand carénage des centrales nucléaires actuelles », explique-t-il. Et d’ajouter : « Nous n’avons pas anticipé le fait que nous allions dans une période où le nucléaire ne pourrait plus produire autant qu’avant », pour cause de grand carénage. « . »On a minoré les besoins en électricité » pendant des années, souligne Louis Gallois au micro d’Europe 1. « Et donc, nous sommes aujourd’hui dans une situation de pénurie », poursuit-il. ».

          • Cochelin, cessez de faire naif ? Il ne s’agit pas de l’effet falaise quand je vous demande qui aurait pu prévoir que 29 réactaeurs sur 56 seraitent en carafe pour diverses raison le 16 septembre 2022, et surtout pas ce polichinelle de Jnacovici. ce que l’on appelle l’effet falaise n’est pas encore arrivé, on parle de ce que l’on fait passer pour des retatrds de maintenance et les problème de corosion, et Jancovici même avec sa boule de cristal n’avait pas plus que n’impoerte qui prévu ça, c’est comme l’invasion de l’Ukraine, qui l’avait prévu il y a 5 ans ?
            Soyez serieux, ne mélangez pas tout surtout si c’est pour me vanter Jancovici qui fait supporter un modèle de prévision climatique à une machien ENIAC doté de 200 positions de mémoire avec un progamme affiché par conexions sur un tableau de plots reliés aux organes interne de la machine, les clown qui vendent très chers les places dans leur conf à des naifs qui croient y apprendre l’avenir, j’en ai connu à la pelle.

          • N’y a-t-il pas un peu de vrai dans les propos de Jancovici en 2011? Les renouvelables se sont, certes, beaucoup développées en Allemagne, mais avec le gaz Russe en complément, eux qui demandaient ardemment à l’Union Européenne des aides importantes pour cette filière. « Nos amis Allemands, souvent cités en exemple, ne s’apprêtent pas du tout à faire la « transition vers les renouvelables ». Ils vont surtout faire appel au gaz russe – au détriment des autres européens – et au charbon, qu’ils ont chez eux, et augmenter leurs émissions de CO2. Ils sont déjà à 10 tonnes par personne et par an – contre 6 pour un Français – alors qu’il faut viser 2 tonnes en 2050 ! La sortie du nucléaire en Allemagne sera(it) un coup terrible porté à « l’Europe du climat ». Belle réalisation écologique, en vérité… » https://jancovici.com/publications-et-co/articles-de-presse/lenfer-et-les-bonnes-intentions/

          • Non même en 2011 Jancovici avait déjà tout faux sur le cas spécifique de l’Allemagne comme la suite l’a démontrer, et je me permet de vous rappeler une fois de plus ce qu’à été cette suite que vous pouvez voir dans les statistiques officllles rapportant ce qui s’est passé en Allemagne depuis 2011. Je reconnais à Jancovici comme a tout le monde de pouvoir se tromper, mais quand quand au lieu de reconnaitre son erreur, pour ne pas avoir à la reconnaitre, la nier pousse à tromper les autres comme je le constate de façon violante même en cercle réduit sur ce forum, pour moi cela ne passe plus :
            https://www.cleanenergywire.org/factsheets/germanys-energy-consumption-and-power-mix-charts

          • Il y a bien une une baisse des émissions en Allemagne mais la fermeture prématurée de leur parc nucléaire vont leur poser quelques difficultés comme l’a prédit Jancovici. La cosommation d’énergies fossiles et les émissions repartent dans tous les secteurs et ce pays comptait bien sur le gaz Russe pour améliorer sa situation et réduire l’utilisation de charbon. Jancovici mettait en garde dès 2011 sur la situation de l’Europe et en particulier l’Allemagne sur le fait que ce pays était pieds et poings liés à la Russie. S’en passer (surtout pour eux) va être difficile. https://www.tagesschau.de/inland/kohle-comeback-deutschland-101.html

          • Jancovici n’avait pas plus prévu l’invasion de l’Hukraine en 2011 que qui que ce soit sur la planète. A une époque où Poutine était fréquentable que signifie pieds et poings liés ? Nous le sommes depuis que nos mines de charbon sont fermés et même à cette époque nous n’étions pas auto suffisants comme pour le pétrole, le gaz ou l’uranium. Il y a bien qu’une chose qui peut, pour la première fois, nous donner l’indépendance énergétique c’est les renouvelables. Et Jancovici est loin d’avoir découvert ça, mais je crois plutôt qu’il est difficile de se renier pour ce qui le concerne. Tant qu’il aura un public pour payer 300€ pour assister à une de ses conf de 2 heures, il pourra bien vivre dans ce en quoi il ne croit probablement plus.

          • En cherchant bien on trouve toujours un exemple à un moment qui montre ce que l’on veut présenter comme étant le cas général, permanent et systématique Cochelin. Par exemple celui de la semaine 24 de cette année… Vous n’avez pas trouvé plus actuel ?

          • Je faisais référence aux données de la semaine 24 car c’est la période de référence prise dans le dossier de REPORTERRE. Mais toutes les périodes peuvent être consultées. Reporterre ne dit pas non plus que la production et la consommation sont beaucoup plus faibles cette semaine 24, ni que la production décarbonée, renouvelable + nucléaire est beaucoup plus faible (-589 MWh) en 2022 qu’en 2021 cette même semaine. Il faut comparer ce qui est comparable. Tout le monde sait que Reporterre est un site antinucléaire.

  • Je ne vois pas ce qui pourrait arrêter les ENRv, à part une pénurie de matériaux.
    C’est actuellement au RU et en Finlande que le nucléaire se déploie le plus en Europe, mais à un rythme faible par rapport au besoin de décarbonation, d’où la nécessité des ENRv même si elles ne bouclent pas le mix (à moins de réussir à passer au stockage par hydrogène un jour, mais il faudrait que le prix de base de ces énergies reste modéré).

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    • @Marc
      Je ne vois pas pourquoi vous limitez les possibilités de stockage à l’hydrogène, ces possibilités sont déjà multiformes, sans compter celles que nous ne connaissons pas encore faute d’avoir cherché ce dont on avait pas besoin précédemment.
      Quant à une enurie de matière premières pour construire les outils de production du renouvelable c’est imaginer que l’on a besoin de quelque-chose d’autre que ce que l’on a extrait du sol pour d’autres usages avec des quantités plusieurs milliers de fois celles dont on aura besoin pour la fabrication de ces outils du renouvelable qui n’ont rien de rare effectivement que ce soit pour les éoliennes ou les ppv et qu’aucun des usages antérieurs ou propres au renouvelable ne dégradé en le transformant en chaleur.

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      • Je ne limite pas le stockage à l’hydrogène.
        Une fois que les moyens de stockage journalier (batteries et STEP) auront été utilisés, il faudra bien faire de l’hydrogène pour finir de boucler le mix.

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        • En effet, vous avez raison….. S’il s’avère que ce besoin se posera effectivement lorsque nous en serons là à ce moment. Mais rien n’est moins evident car cela depend de nombreux facteurs et notamment des puissances installées en variable et de la qualité du foisonnement dont elles peuvent bénéficier ainsi que de l’évolution de leur facteur de charge qui augmentera par progrès technologique mais diminuera en fonction des zones géographiques disponibles de moins en moins favorable.
          Pour moi c’est surtout là que je vois les difficultés d’évolution et on peut espérer raisonnablement de pouvoir s’en passer, loin d’être une certitude mais me semple probable.

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        • A noter que pour assurer la transition qui sera longue, l’hydrogène dit bleu est disponible, dès lors que le prix à payer pour l’émission d’une tonne de CO2 atteindra les ~100 euros suivant l’ADEME, et on n’en est pas loin.Et cet hydrogène peut d’ores et déjà se substituer avantageusement à l’électricité par exemple pour la production de chaleur, et pour les transports, réduisant considérablement la demande d’électricité.En outre la production de celle-ci peut être assurée par des piles à combustible et bientôt par l’adaptation des torchères utilisées en brulant du méthane ( russe ou d’ailleurs) .Au bout du compte il y aura moins besoin de stocker l’électricité. Quant au stockage de l’hydrogène , il peut se faire en grandes quantités en couches profondes , par exemple à Lacq, et en petites avec couplage avec la production locale.Bientôt sera mis sur les sites sepra81 le lien de la connexion sur you tube pour visionner l’exposé participatif à Rabastens où sont abordés ces points.

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