decarbonation francaise sera collective ou ne sera pas - Le Monde de l'Energie

La décarbonation française sera collective ou ne sera pas !

Ce 13 juillet a lieu a Bercy la conférence d’ouverture de l’Alliance Pacte PME, en présence de la ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme, Olivia Grégoire : pour l’occasion, Le Monde de l’Énergie ouvre ses colonnes à François Perret, Directeur général de Pacte PME, pour nous détailler les ambitions de ce dispositif dédié à la décarbonation des petites et moyennes entreprises françaises.

Le Monde de l’Énergie —En quoi la décarbonation des PME est-elle un défi pour la France ? Quelle est la part des émissions de GES issues des PME ?

François Perret —La stratégie nationale bas carbone (SNBC) fixée par l’Etat prévoit de réduire les émissions françaises de 55% entre 1990 et 2030. Pour atteindre l’objectif de 270 millions de tonnes de CO2 émises en 2030 (contre 410 millions de tonnes l’an dernier), tous les secteurs de l’économie française devront réduire drastiquement leurs émissions de gaz à effet de serre. Cet effort global concerne toutes les filières puisque les transports (30 %), l’industrie (19 %), le bâtiment (18 %) et l’énergie (10 %) représentent, à eux seuls, plus de trois quarts des émissions de gaz à effet de serre de l’Hexagone.

Mais pour atteindre la neutralité carbone en 2050, il ne sera pas suffisant de faire porter l’effort uniquement sur les très grandes entreprises. La France compte pas moins de 146 000 PME qui représentent environ 30 % de l’empreinte carbone de la France, selon une estimation Bpifrance le Lab. Certaines estimations, comme celles de la Commission européenne, aboutissent même à imputer jusqu’à 63% des émissions de CO2 du continent aux petites et moyennes entreprises.

J’ajoute que les PME impactent le bilan des émissions de gaz à effet de serre des grandes entreprises puisque les émissions indirectes des grandes entreprises liées à leurs fournisseurs (ce qu’on appelle le « scope 3 ») représentent une part significative de ces émissions : en moyenne de 6 à 35% des émissions totales selon les secteurs.

Une stratégie ambitieuse de décarbonation de l’économie française ne peut donc faire l’impasse sur les entreprises de petite et moyenne taille, tout particulièrement celles évoluant dans l’industrie manufacturière.

Le Monde de l’Énergie —Comment l’alliance portée par Pacte PME, missionnée par l’État, entend répondre à cette problématique ?

François Perret —Bien que très largement conscients du défi environnemental, beaucoup de dirigeants de PME hésitent encore à engager une démarche formelle de décarbonation. Beaucoup se disent que cela va leur coûter cher, prendra du temps. Surtout, ils ne disposent d’aucune vue précise du marché de l’accompagnement, qui les amènerait à choisir avec discernement tel opérateur plutôt que tel autre.

En l’absence d’obligation réglementaire et compte tenu des crises successives auxquelles elles ont été confrontées (crise sanitaire en 2020-2021, crise énergétique aujourd’hui…), un certain nombre de PME pourraient être tentées de renoncer au moins provisoirement à une action volontariste.

L’Alliance Pacte PME pour la décarbonation et la transition énergétique a précisément pour ambition d’embarquer ces entreprises, de les aider à accomplir ce travail de manière simplifiée et solidaire, grâce à une entraide entre PME et grandes entreprises.

Avec sept grands comptes mobilisés à ce jour (Aéroports de Paris, Bouygues construction, EDF, Engie, Sanofi, Schneider Electric et Thales), Pacte PME proposera prochainement à chaque PME identifiée par au moins un membre grand compte de son alliance un dispositif d’accompagnement complet, choisi en fonction de son profil (son appartenance sectorielle, sa taille, sa localisation géographique, sa maturité sur le sujet carbone, etc.).

Nous entendons ainsi rompre avec la solitude de l’entrepreneur industriel, qui ne sait souvent pas à qui s’adresser sur le sujet de la transition énergétique, comment s’y prendre et quels moyens engager dans le processus de décarbonation.

Le Monde de l’Énergie —Pourquoi choisir l’accompagnement de PME par des grands groupes ? Quelles mesures concrètes vont être mises en place d’ici 2025 ?

François Perret —Toute la force de notre dispositif réside précisément dans le fait qu’il est « collectif ». Les grands comptes s’engagent pour la décarbonation des PME, apportent leur expérience, des informations, de précieux conseils. PME et grands comptes, une fois les bilans carbone réalisés et les plans d’action réalisés, pourront travailler ensemble à l’élaboration des solutions technologiques utiles pour respecter la trajectoire d’émission qui sera définie.

Cette initiative que nous lançons est à la fois inédite par son ampleur, avec plus de 15% des PME industrielles françaises visées par notre action, et par sa méthode, qui relève d’une logique de co-construction public-privé. C’est en effet l’Etat (via la direction générale des entreprises à Bercy) qui mandate Pacte PME pour piloter le dispositif. Et c’est Pacte PME qui s’appuie sur ses grands comptes adhérents pour embarquer et accompagner, avec les opérateurs privés, les petites et moyennes entreprises.

Concrètement, dès le début de l’automne, plusieurs centaines d’entreprises pourront démarrer un bilan carbone, en s’appuyant sur un opérateur dédié, spécialement choisi en fonction des besoins d’accompagnement exprimés par les PME à l’issue d’une première « enquête de maturité », à laquelle plus de 150 entreprises ont déjà répondu à ce jour.

Le dispositif va monter en puissance, avec 400 PME accompagnées dans les douze prochains mois, jusqu’à atteindre 3 400 entreprises fin 2025. Et pourquoi pas davantage.

Le Monde de l’Énergie —3 400 PME sont concernées, soit 2,3 % des 146 000 PME de France. Le dispositif est inédit par son ampleur, sera-t-il étendu ? Comment toucher les autres PME ?

François Perret —L’ambition est en effet élevée, car à la hauteur du défi de la décarbonation des PME françaises.

Pour y parvenir, nous disposons de plusieurs atouts. Le premier, c’est notre réservoir de grands comptes adhérents, qui pourra s’enrichir d’autres entreprises réfléchissant déjà à nous rejoindre, tant du côté des très grandes entreprises que des entreprises de taille intermédiaire (ETI).

Nous démarrons avec 7 grands comptes, un objectif de 15 à l’horizon 2024-2025, que nous espérons bien dépasser progressivement.

Pour toucher les PME, il faut certes être « légitime » pour le faire – ce que sont les grands donneurs d’ordres à l’égard des PME fournisseurs de leurs filières. Mais ce n’est pas suffisant. Il faut aussi trouver les mots pour convaincre les chefs d’entreprise. Et faire comprendre aux PME que le processus de décarbonation est moins une contrainte qu’une opportunité. Car il va les amener à innover, revoir leurs procédés industriels, repenser l’ensemble de leur stratégie et leur management. Avec une véritable transformation écologique de l’entreprise à la clé. Une transformation, qui peut se muer en atout différenciant dans la compétition internationale.

Nous réfléchissons aussi à ouvrir notre dispositif à de nouveaux partenariats, en direction des fédérations professionnelles sectorielles mais aussi des organisations patronales, comme le MEDEF et la CPME, très concernés pour leurs adhérents. Notre alliance devra aussi, le moment venu, pouvoir faire l’objet d’un déploiement territorial, en nous appuyant sur les grandes collectivités, et tout particulièrement les Régions et les Métropoles.

Je vais le dire clairement : la décarbonation française sera collective ou ne sera pas ! Il faut créer un véritable élan national et territorial si l’on veut atteindre les objectifs quantifiés européens et français.

Le Monde de l’Énergie —Plus globalement, quelles mesures ou leviers préconisez-vous pour accélérer la décarbonation des PME au niveau français et européen ?

François Perret —Pacte PME ne se vante pas d’être un acteur qui donnerait des leçons ou même des conseils aux pouvoirs publics à quelque échelle que ce soit. Nous savons à quel point la tâche de l’exécutif communautaire et national est lourde. De notre côté, nous sommes une organisation agissante, entièrement dédiée à l’opérationnel, autour d’une force collective, prenant appui sur ses adhérents : grands comptes, organisations professionnelles et, depuis 2022, ETI et PME qui peuvent désormais nous rejoindre comme membres.

Au niveau européen, on voit bien que les choses bougent. La nouvelle Directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), publiée le 16 décembre 2022, concernera bientôt 50 000 entreprises européennes, avec pour objectif de normaliser l’information extra-financière. C’est une étape importante dans la définition d’objectifs plus ambitieux en matière de RSE, avec un périmètre d’application qui s’élargira progressivement entre 2024 et 2028. Prenons le temps d’observer à partir du 1er janvier prochain la mise en place de ce dispositif.

Sur le terrain hexagonal, les lignes bougent aussi, tout particulièrement avec le projet de loi industrie verte, prochainement soumis à l’examen parlementaire. Il y a beaucoup de bonnes choses dans le texte initial, dont celles se raccrochant à l’objectif de « favoriser les entreprises vertueuses dans toutes les interventions de l’Etat » (notamment la commande publique).

Le cadre législatif et réglementaire est progressivement plus favorable à la bonne prise en compte de l’impératif climat. Pacte PME, en jouant tout le rôle qui est le sien, apportera toute sa contribution dans les mois et les années qui viennent à ce mouvement. Quitte à ouvrir de nouvelles perspectives pour accompagner les PME avec le soutien des grands groupes, avec des objectifs allant potentiellement au-delà ou prolongeant ceux de la décarbonation : promotion d’une économie circulaire ; respect de la biodiversité, etc.

C’est ensemble – grands comptes, ETI et PME – que nous voulons façonner le nouveau modèle productif de demain. Un modèle toujours plus respectueux de la planète et de celles et ceux qui y vivent.

 

commentaires

COMMENTAIRES

      • Par intermittence, certes, et en base de sera de la particule élémentaire…

        Sinon comme la notion de collectif et de biens communs a disparu avec un Très Gros Facteur de charge en France, la question sur la notion « collective ou ne sera pas » a déjà (grand Hélas !) une partie de la réponse…
        Et en plus la Mode des climato-rassuristes en forte hausse, aidé par quelques retraités divers (quelques prof de Fac de province et/ou intervenant en dehors de leur domaine de compétences et d’anciens cadres scientifiques de l’Industrie) qui veulent arrondir leur fin de mois/retraite avec des pamphlets grotesques mais bien populo-populaires, la décarbonation est franchement mal barrée (pour ne pas dire échouée ou en cours d’échouement dans une sacrée vasière … (Hélas !))…

        Il faudrait mieux parler « Adaptation » du/(des) vivant(s) et « évolution énergétique » que de Transition… Celle-ci est définitivement ratée et sans avenir partie comme elle l’est (à par la ruine d’une partie importante de la population !).

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  • Si on interdisait les Grosses cylindrées allemandes ou si on les limitait drastiquement (30% des GES viennent des transports), on ferait « collectivement » de gros progrès !!!

    Pas sur que la filière BioGaz si elle se développe massivement, ce qui risque d’impliquer le recours à plus d’imports de produits agricoles divers d’Amérique du Sud, soit une très bonne idée suivant l’échelle retenue (et en plus cela risque de faire de sacrés dégats sur l’Amazonie !!!)

    Répondre
      • @Régis,

        Les VE tels qu’ils sont pris en ce moment vont être LE PROBLEME du non-respect de la Loi Européenne de 2035… Car les gros VE Allemands (et autres) consomment bien trop de matières premières par rapport aux Flux possibles sur cette planète (ou l’Europe n’est pas seule…). Donc in fine, dans quelques années les constructeurs annonceront (avec de Vrais Preuves) que l’on ne peut pas se sevrer de thermiques… Il faudra donc continuer thermique ET électrique…

        Si collectivement, on avait privilégié les petits VE en France et en Europe ET surtout au début alors il aurait été possible d’avoir une grosse majorité de VE immatriculés en 2035 (90 à 95%). Ce qui risque de ne pas arriver, voir même que l’on soit juste à du 50/50, ce qui est complètement aberrant… (Merci aux Allemands pour leur Logique industrielle qui nous envoie dans le mur…)…
        Les Verts ont parfois de bonnes idées, mais pour la mise en oeuvre c’est souvent catastrophique et parfois bien pire que la situation originale (le BioGaz à large échelle en est un autre exemple !!!).

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        • APO il faudrait savoir ce que vous dites . 😂😂 😂 quels matériaux il y a de spécial dans un VE par rapport à un thermique ? au contraire il y a moins de terres rares 😂😂 😂 et tout se recycle / revalorise .. Le VE est une avancée ..il faut le recharger avec des ENR et c’est bien notre approche des transports qui est à revoir ..la aussi sortez vous des fakes et vérifiez le réel du terrain .. et pour le biogaz il faut faire des projets à taille humaine .. voir les liens déjà postés

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          • LE Régis ne doit pas avoir idée de ce qu’est l’industrie du recyclage… Et tout ne se recycle pas et encore moins à usage équivalent… Les pertes d’usages dans le cas de matériaux mélangés sont colossales…
            Per exemple le Verre : il suffit de quelques morceaux de verre « coloré » dans un tas de verre blanc et il ne sera plus possible de faire réellement du verre blanc… Encore pire si il y a un peu d’aluminium dans le verre à récycler…

            Hate de voir les process pour recycler des batteries de voiture qui seront bien différentes entre elles. Vu l’évolution des process, certes on pourra peut-être en extraire du Lithium mais sera t’il de qualité suffisante ou « dégradé » car trop mélangé/mixé avec d’autres substances diverses !??? Idem pour les autres métaux présents dans les batteries et si ils sont en petites quantités et suivant les process si ils se mélangent à d’autres métaux, ce sera bien pour faire des additifs à acier, guère plus et pas sur que ce soit pour des Aciers très spéciaux à très haute valeur ajoutée nécessitant des garantis de qualité de matières premières nombreuses… (il y a plusieurs qualité d’inox ! et celui des balustrades de balcon ou de certaines robinetteries peut s’oxyder un peu, ce n’est pas la fin du monde…). Le recyclage, c’est beaucoup de pertes de valeur, aujourd’hui nettement moins de 10% de nos « déchets » retrouvent un usage équivalent au premier usage, sinon c’est une valorisation « moindre » donc il faut maintenir des Flux d’extraction colossaux pour garantir certains usages… C’est Idiot mais c’est Utile de le savoir, surtout pour « les Idiots Utiles » de l’ENRisme (et de l’industrie fossile) !!!

            Dans le moteur thermique d’une voiture, il y a divers métaux et cela finit bien souvent en « ronds à béton » (fers à béton suivant comment on veut le nommer) comme la carrosserie du reste… C’est pas le mieux qu’il soit mais c’est ainsi, alors pour les batteries attendons de voir, cela risque d’être fameux ou fumeux !!! (suivant les points de vue…)

          • 😂😂 😂 APO qui une fois de plus faute de connaitre les bases du sujet et d’essayer de comprendre ce qui est écrit se vautre de nouveau lamentablement en public avec ses inepties pour gogos 😂😂 😂RE : APo et ses délires qui n’a même pas vérifié que les Allemands sont déjà en avance aussi sur le sujet des VE par rapport à la France toujours à la traine sur son temps et sur l’Avenir .. et pour le soi disant problème des matériaux la aussi pas de soucis . que ce soit thermique ou électrique ça booste le recyclage … et une nouvelle fois la réalité du terrain face à vos inepties habituelles et récurrentes de gogos 😂😂😂 : on parle bien de la réalité dû terrain et des ENR .. et que pour pouvoir produire il faudrait déjà les installer en France les ENR .. allez face à vos inepties perpétuelles pour gogos la réalité du terrain alors que l’éolien et le solaire ne sont qu’une partie des ENR : « … Les énergies éoliennes et solaires ont fourni pour la première fois en 2022 plus de courant aux pays de l’Union européenne que le gaz naturel, année de bouleversements énergétiques précipités par la guerre en Ukraine, selon un rapport du groupe de réflexion Ember publié mardi.
            L’éolien et le solaire ont fourni en 2022 près du quart (22%) de toute l’électricité consommée dans l’Union européenne, bien plus que l’électricité à base de charbon (16%) et dépassant même « pour la première fois le gaz fossile (20%) » utilisé dans la production électrique, selon l’European Electricity Review du groupe de réflexion sur l’énergie…

          • @Régis,

            Oui les Allemands sont en train de mettre la soi-disant « transition énergétique » sur les rails d’une voie sans issus… et avec un joli gouffre en bout de ligne…
            – Leur Arrêt précoce du Nucléaire va leur créer des émissions de GES non compressibles (c’est factuel et bien du monde s’en aperçoit « trop tard » outre-rhin en ce moment… L’électricité ce n’est pas des productions annuelles que l’on choisit, c’est avant tout une production instantanée en PERMANENCE et pas par intermittence !!!).
            – Leur « modèle de grosses Voitures » (qui n’est pas près de s’arrêter pour le thermique, attendons de voir apparaitre des plaques « monégasques » ou « d’Andorre » (voir d’autres pays) dans nos rues sur les grosses cylindrées avec des systèmes de location longue durée… Les Teutons doivent bien préparer cette opération dans certains bureaux…) est délétère et concernant l’électrique, cela va « bouffer » tellement de ressources (pour faire des grosses bagnoles électriques) que l’on risque très fortement de ne pas pouvoir réaliser la mutation à large échelle du thermique vers l’électrique, les pétroliers doivent en rire dans certains bureaux de prospectives… L’Europe va vraiment tomber bien bas avec leurs conneries et « manger la poussière »…

            Est-ce que les Allemands ont « recyclé » les communiquants de l’industrie du TABAC et leurs Process !??? (Pas impossible, voir même Probable !!!) Un joli Coup de Tabac s’annonce pour l’Europe en tout cas et ça va fumer fort dans les centrales à charbon pour longtemps (et consommer bcp de Gaz Fossile,si on en a assez et quand on en aura, les disettes « gazières » arrivent, dans les centrales H2 ready, qui vont rester « ready » longtemps voir pour toute la durée de leur vie sans voir bcp d’hydrogène, trop cher pour le faire à grande échelle et probablement pas assez d’eau ni d’énergie de base pour que les process soit « valables ») !!!
            Quel Farce à volailles le « modèle allemand » !!! (mais pas pour les « renards de la Finance, ni les ENRistocrates habiles et manipulateurs de foule débile !!!)

          • 😂😂😂 APO et ses délires de gogos qui nient stupidement tous les résultats déjà obtenus sur le terrain alors qu’ils sont vérifiables par tous et que la crise actuelle accélère le développement des ENR sur le terrain partout dans le monde .. 😂😂😂rappel des bases que vous ne connaissez même pas : à propos des vieux canulars périmés des gogos sur l’Allemagne qui a même accéléré le développement des ENR suite aux dernières catastrophes climatiques et aux élections et aux derniers événements … alors que c’est bien la France qui vient de nouveau de se faire condamner pour son inaction contre la pollution, que c’est bien EDF qui est de plus en plus souvent condamner par les tribunaux et que c’est bien de notre santé qu’il s’agit… QU’ILS CONTINUENT DE DEPANNER LA FRANCE COMME ILS LE FONT DEPUIS DES ANNEES eux agissent et se sortent de la pollution , des déchets ultimes, des GES , du Co² … grâce aux ENR .. 😂😂😂 : on parle bien de la réalité dû terrain et des ENR .. et que pour pouvoir produire il faudrait déjà les installer en France les ENR .. allez face à vos inepties perpétuelles pour gogos la réalité du terrain alors que l’éolien et le solaire ne sont qu’une partie des ENR : « … Les énergies éoliennes et solaires ont fourni pour la première fois en 2022 plus de courant aux pays de l’Union européenne que le gaz naturel, année de bouleversements énergétiques précipités par la guerre en Ukraine, selon un rapport du groupe de réflexion Ember publié mardi.
            L’éolien et le solaire ont fourni en 2022 près du quart (22%) de toute l’électricité consommée dans l’Union européenne, bien plus que l’électricité à base de charbon (16%) et dépassant même « pour la première fois le gaz fossile (20%) » utilisé dans la production électrique, selon l’European Electricity Review du groupe de réflexion sur l’énergie…

          • LA Farce dont sont gavés les Allemands ne va pas les aider à marcher droit ni à l’Aigle Allemand de voler convenablement maintenant…
            Leur derrière, qui a bien servi à certains et s’est bien fait dilaté, va même les forcer à marcher en zig-zag à voile et à la vapeur surtout quand il n’y aura pas de soleil… en espérant qu’ils ne tombent pas ou ne volent pas vers des extrémités pas trop souhaitables… Et qu’ils arrêtent de vouloir nous farcir comme ils le sont eux-mêmes !!!
            Quelques pilules et quelques suppositoires cela ne fait pas de mal surtout quand on a en réellement besoin… Mais qu’on est « accidenté », refuser de se faire une radio c’est juste inconscient… Les Allemands ont choisi en CONscience (mais sans trop de sciences… et avec tout plein d’arguments CONdescendants vis à vis de la Science…), mais le problème de leurs farces, c’est qu’elle va finir par « dégueuler » sur tous leurs voisins et nous réserver de jolis perspectives bien crades… Qu’ils veuillent continuer de « farcir » le Coq Gaulois, c’est logique pour mieux chuter ensemble (par solidarité imposée !!!), mais c’est pas très respectueux… (comme il n’y a plus de couple Franco-Allemand depuis que les administrations allemandes de l’ouest ont été transféré à Berlin, Capitale prussienne, qui est redevenu la Capitale Allemande il n’y a plus de sentiments ni de respects coté Allemand pour les Français, il y a 2 choix : soit on capitule et on se prend la Farce dans le derrière…, soit on fait autrement avec certes quelques pilules et suppositoires du fait de notre manque d’énergie… Berlin en capitale Allemande n’a jamais été une Grande Réussite sociale et « démocratique » pour les Allemands et les Européens en règle générale !!!).

          • 😂😂😂 APO et ses délires de gogos qui nient stupidement tous les résultats déjà obtenus sur le terrain alors qu’ils sont vérifiables par tous et que la crise actuelle accélère le développement des ENR sur le terrain partout dans le monde .. et qui s’enfonce lamentablement dans tous les posts 😂😂😂rappel des bases que vous ne connaissez même pas : à propos des vieux canulars périmés des gogos sur l’Allemagne qui a même accéléré le développement des ENR suite aux dernières catastrophes climatiques et aux élections et aux derniers événements … alors que c’est bien la France qui vient de nouveau de se faire condamner pour son inaction contre la pollution, que c’est bien EDF qui est de plus en plus souvent condamner par les tribunaux et que c’est bien de notre santé qu’il s’agit… QU’ILS CONTINUENT DE DEPANNER LA FRANCE COMME ILS LE FONT DEPUIS DES ANNEES eux agissent et se sortent de la pollution , des déchets ultimes, des GES , du Co² … grâce aux ENR .. 😂😂😂 : on parle bien de la réalité dû terrain et des ENR .. et que pour pouvoir produire il faudrait déjà les installer en France les ENR .. allez face à vos inepties perpétuelles pour gogos la réalité du terrain alors que l’éolien et le solaire ne sont qu’une partie des ENR : « … Les énergies éoliennes et solaires ont fourni pour la première fois en 2022 plus de courant aux pays de l’Union européenne que le gaz naturel, année de bouleversements énergétiques précipités par la guerre en Ukraine, selon un rapport du groupe de réflexion Ember publié mardi.
            L’éolien et le solaire ont fourni en 2022 près du quart (22%) de toute l’électricité consommée dans l’Union européenne, bien plus que l’électricité à base de charbon (16%) et dépassant même « pour la première fois le gaz fossile (20%) » utilisé dans la production électrique, selon l’European Electricity Review du groupe de réflexion sur l’énergie…

  • Un perroquet semble sévir sur ce site depuis des mois avec un texte répétitif truffé de contre-vérités évidentes et d’insultes en tous genres. Tout cela dans un français très approximatif. Quelle désolation.

    Répondre
    • 😂😂😂 Cochelin se sont toujours les mêmes faits réels que tout le monde peut très facilement vérifier derrière les mêmes inepties pour gogos des trolls stériles . quand vous vous ridiculisez sur internet en prenant les lecteurs pour des gogos il faut assumer que l’on vous reprenne avec la réalité du terrain derrière vos inepties pour gogos 😂😂😂

      Répondre
      • Régis aura « sacrément » aidé au Collectif avec ses cc/cp mél-Odieux et plein de convictions CONstantes et (a)variées…

        Répondre
        • 😂😂😂 APO et ses délires de gogos qui nient stupidement tous les résultats déjà obtenus sur le terrain alors qu’ils sont vérifiables par tous et que la crise actuelle accélère le développement des ENR sur le terrain partout dans le monde .. 😂😂😂on parle bien de la réalité dû terrain et des ENR .. et que pour pouvoir produire il faudrait déjà les installer en France les ENR .. allez face à vos inepties perpétuelles pour gogos la réalité du terrain alors que l’éolien et le solaire ne sont qu’une partie des ENR : « … Les énergies éoliennes et solaires ont fourni pour la première fois en 2022 plus de courant aux pays de l’Union européenne que le gaz naturel, année de bouleversements énergétiques précipités par la guerre en Ukraine, selon un rapport du groupe de réflexion Ember publié mardi.
          L’éolien et le solaire ont fourni en 2022 près du quart (22%) de toute l’électricité consommée dans l’Union européenne, bien plus que l’électricité à base de charbon (16%) et dépassant même « pour la première fois le gaz fossile (20%) » utilisé dans la production électrique, selon l’European Electricity Review du groupe de réflexion sur l’énergie…

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