Charbon ou nucléaire ? Il faut maintenant choisir (Tribune)

C’est en ces termes que se pose désormais l’équation de la politique énergétique de notre pays avec une première indication donnée ces dernières semaines.

En effet, le gestionnaire du réseau électrique national n’a eu d’autres solutions que de demander de rallumer nos bonnes vieilles centrales au charbon dont la démolition est pourtant prévue en 2022.

En cause l’entretien de nombreux réacteurs du parc nucléaire pendant l’été, un anticyclone tenace sur le continent européen qui a mis en berne toutes les éoliennes faute de vent et, on ne le dira jamais assez, l’arrêt définitif de la centrale de Fessenheim, qui était pourtant en excellent état de marche et l’une des plus sûres du Parc.

Une politique incohérente

Pourtant, le Chef de l’État interrogé sur la transition écologique à l’occasion des inondations de St-Martin-Vésubie avait été très clair “Si on ferme des centrales nucléaires, on est obligé d’ouvrir aujourd’hui des centrales au charbon !…”. Une déclaration qui vient donc de se vérifier ces dernières semaines avec un peu d’avance sur le calendrier.

Dès lors, on peut s’interroger sur la logique de la décision de fermer Fessenheim, bientôt suivie de 12 autres réacteurs. Une décision qui n’a aucun sens, lourde de conséquences pour le climat, l’économie, la santé publique, l’emploi et sur notre indépendance énergétique, avec le risque prévisible de coupures de courant ce prochain hiver quand tout le continent européen sera en quête d’électricité.

En outre, l’arrêt de cette centrale par ailleurs rentable ne sera pas indolore pour les caisses de l’État qui sont vides comme chacun le sait. Il en coûtera en effet plus de 4 milliards d’euros selon un rapport parlementaire digne de confiance (1). Un coût considérable qui aurait pu être évité et profiter par exemple à la reconstruction de notre système de santé.

Sous l’œil critique de la Commission Européenne

Dans le même temps, la Commission Européenne veut obliger l’État français à démanteler le Groupe EDF, coupable d’un monopole de fait dans le nucléaire et l’hydraulique. Un patrimoine pourtant payé par les clients de l’entreprise publique.

Une complication qui s’ajoute dans un contexte complexe et qui exigera beaucoup de fermeté d’Emmanuel Macron à qui on prête l’intention de relancer la filière nucléaire française, la troisième derrière l’automobile et l’aéronautique, forte de ses 220 000 emplois.

Un avenir bien sombre

Cet hiver, le temps de la froidure venu et en cas de manque de vent, il ne nous restera plus qu’à importer une électricité produite ailleurs par des combustibles fossiles émetteurs de CO2 (gaz russe ou charbon allemand), ou continuer à faire fonctionner nos centrales au charbon.

Dommage pour la planète, dommage pour les finances de l’État, dommage pour nos factures !…

 

commentaires

COMMENTAIRES

  • La responsabilité de la situation incombe aux partisans du nucléaire qui intentent 3 recours en justice en moyenne pour chaque projet ENR notamment éolien, un au nom du paysage qu’ils ont déjà dégradés avec les lignes THT supportés par 300 000 pylônes indispensable pour les productions hyper concentrées des centrales nucléaires, un pour la supposée dangerosité des oiseaux, et un concernant l’invention de toutes pièces de maladies provoquées par des infrasons où autre stimuli, ce qui entraine en moyenne 10 ans de retard dans la concrétisation de ces projets. Il en résulte que si ces projets avaient étés réalisés dans les deux ans de leur construction ils seraient tous opérationnels depuis longtemps et il n’y aurait aucun besoin de rallumer les chaudières à charbon. En conséquence nous sommes aujourd’hui contraint de les rallumer et il faut débloquer immédiatement tous les projets bloqués pour cause de recours judiciaires afin que cette opération de la dernière chance dure le moins longtemps possible, et au pire, 2 ans qui sont le délai suffisant pour réaliser n’importe quelle parc ENR, alors qu’il faudrait attendre au moins 15 ans pour construire un réacteur nucléaire. La solution ne se discute même pas devant cette échéance.

    Répondre
    • M. Rochain doit avoir une éolienne dans son jardin ou à proximité immédiate pour être aussi affirmatif sur l’innocuité de ces machines géantes sur la santé, l’environnement visuel et même la valeur de son patrimoine.
      Comme il s’exprime systématiquement en faveur de cette technologie, il va sûrement nous expliquer comment elle pourrait garantir la sécurité d’alimentation en électricité des consommateurs, spécifiquement lors des pointes de demande d’hiver (typiquement les soirs de février, vers 19h et en présence d’un anticyclone).
      C’est précisément ce qui fait déjà peur au gestionnaire du réseau RTE qui annonce des coupures possibles, alors que nous disposons heureusement encore de 56 réacteurs nucléaires, dont 42 ont terminé leur maintenance annuelle malgré la crise sanitaire, les autres étant prochainement de retour sur le réseau pour assurer le service public.
      Le vent lui, n’obéit pas à l’intérêt général mais seulement à la météo. Et il n’est pas rare que la production éolienne reste plusieurs jours consécutifs sous les 10 % de sa capacité installée. Le foisonnement dont vous parlez est un phénomène très marginal à l’échelle du pays : il ne garantit statistiquement pas plus de 1 % de la capacité des machines, et à l’échelle d’un continent comme l’Europe pas plus de 4 %, à condition que tous les états membres soient interconnectés ce qui n’est pas encore effectif.

      Répondre
      • Vous êtes certainement à vous tout seul un meilleur spécialiste de la météo d’Europe pour être aussi péremptoire sur le foisonnement. Mais figurez vous que des entreprises comme Engie Green ont fait des études détaillées à partir de deux années de relevés de météo France qui prétendent le contraire de ce que vous affirmez sur la foi de votre doigt mouillé.
        D’ailleurs plus simplement comme le confirment par ailleurs les relevé s du passé, l’activité éolienne est bien supérieure en hiver qu’en été. Et comme le reste de votre message est à l’avenant de ce détail inutile de discuter plus longtemps vous vous êtes rendu assez ridicule comme ça.

        Répondre
    • Merci de nous transmettre les études sérieuses qui montreraient que le foisonnement des productions éoliennes garantissent plus de 4 % de leur puissance installée, et ce sera un sacré scoop !
      Si vous ne les retrouvez pas (!) vous pourrez par ex. consulter cet article issu de la même revue (https://www.lemondedelenergie.com/eolien-foisonnement-stockage-pilotable/2020/02/14/), ou simplement observer sur le site de RTE les courbes de la production éolienne globale (donc qui prennent en compte un hypothétique foisonnement) en France, qui fluctuent entre 4 % et 60 % environ de la puissance théorique de ces machines.
      Non, M. Rochain : si on arrête du nucléaire, on ne peut compter sur l’éolien pour prendre le relais, lui qui n’obéit qu’aux caprices du vent (le foisonnement est un leurre). Il ne reste alors que le charbon pour éviter la panne d’électricité (blackout), c’est d’ailleurs pour cela que RTE appelle actuellement à la rescousse les 4 centrales au charbon qui restent dans notre pays et qui vont devoir reprendre du service après l’arrêt aussi stupide qu’irresponsable des deux réacteurs de Fessenheim.
      Et vous savez quoi : je vous parie que nos dirigeants auront compris la leçon et vont demander à EDF de faire fonctionner dorénavant les centrales nucléaires à leur maximum, de les prolonger aussi longtemps que possible et même de construire de nouveaux réacteurs encore plus performants à partir de 2024.
      L’obscurantisme ne passera pas.

      Répondre
      • Vous voulez une étude sérieuse dont les conclusions s’opposeraient à la conclusion de votre étude basée sur votre doigt mouillée ? Facile :
        https://participons.debatpublic.fr/uploads/decidim/attachment/file/438/Contribution_8-EngieGreen.pdf
        En revanche il n’est pas sérieux de s’appuyer sur les courbes de RTE pour affirmer qu’elles démontre l’absence du foisonnement en France quant on sait que 60% des éoliennes sont massées dans un seul petit coin de France comprenant seulement les hauts de France et le Gran Est qui est par ailleurs une des régions les moins vantées de France, mais non bien sûr vous ne le savez pas car finalement vous ne savez pas grand chose en dehors du fait que vous avez raison sans avoir besoin de vous appuyer suer quoi que ce soit, votre conviction vous suffit.

        Répondre
        • Les deux études sur le foisonnement n’ont pas tout à fait la même valeur: l’une, celle parue dans Connaissance des énergies, porte sur l’ensemble de la production éolienne en Europe et est incontestable car issue de mesures que tout un chacun vérifier et l’autre, celle d’ENGIE, un des postulants aux appels d’offre qui est par conséquent juge et parti, ne concerne que l’éolien offshore, dont le taux de charge est plus élevé que celui de l’éolien terrestre, et est issue de simulations réalisées à partir de mesures de vent (et non de volumes produits) qui ne sont certainement pas vérifiables car non rendues publiques par les promoteurs qui ne souhaitent les partager avec leurs concurrents.

          Répondre
          • Une étude dont l’objet est de savoir sur quel niveau de foisonnement on peut compter et qui porte sur des parcs installés n’a de valeur que si l’ensemble des dispositifs de production est déjà installé est à la fois inutile est à côté de la question. Et c’est le cas de celle que vous cité.
            Faire une étude sur le foisonnement en France à partir de ce que l’on mesure sur ce qui est installé revient a fournir un résultat qui ne mesure que ce que l’on produit là ou les éoliennes sont installées c’est à dire qu’en France c’est une étude sur le foisonnement limité aux hauts de France et au Grand Est, deux régions contiguës qui plus est ! Cela n’a donc rien à voir avec une mesure du foisonnement.
            En revanche, vous laissez entendre que les auteurs de l’étude d’ENGIE-GREEN sont des gens malhonnêtes ce que je ne peux pas entendre. L’étude n’a pas vocation à convaincre de quelque chose de faux dont ENGIE-GREEN serait la première victime puisque investissant sur la foi de cette étude ils y laisseraient leur culotte.
            Dans toutes les soi-disant subventions dont le bon peuple naïfs est abreuvé en permanence, il ne faut pas oublié qu’il ne s’agit que d’engagement d’achat d’une production, et si la production n’est pas là, il n’y a donc pas de « subvention » et ni l’Etat ni les français ne sont grugés, seul l’investisseur en est victime et ce serait bien fait pour lui s’il avait truqué son étude… il se serait trompé lui-même ! Ce sont des logiques qui semblent bien échapper à tous ces aboyeurs contre les renouvelables.

        • @Rochain
          Si vous compter un un éventuel foisonnement pour alimenter le réseau, vous aurez besoin de nombreuses lignes THT (225 ou 400 KV) pour interconnecter l’ensemble, avec des pylônes que vous refusez, comme le font la plupart des pays de taille respectable et dont l’Allemagne manque cruellement. Sur l’enterrement des lignes que vous appelez de vos vœux, cette solution est réservée aux pays « riches ». https://lenergeek.com/2019/03/20/enfouissement-lignes-electriques-avantages/

          Répondre
          • Mon pauvre Cochelin vous tirez des plans sur la comète alors que vous n’êtes même pas capable de voir ce qui existe déjà effectivement. Promenez vous et cherchez les éoliennes partout où elles se trouvent et vous ne verrez aucune ligne THT partir d’un parc éolien ou d’une ferme solaire. Et ce sera la même chose pour les suivantes il n’y a pas de raison que cela change. Depuis ces parcs éoliens il s’agit de MT en souterrain qui rejoignent un poste de jonction existant, le plus près possible où la tension est élevé à 400KV ou 2250KV selon le segment, pour être compatible au réseau. Il n’y à donc pas un pylône de plus depuis que l’on a commencé à planté des éoliennes et ouvert des fermes PPV.
            Vous ne prenez même pas la peine de regarder autour de vous avant de l’ouvrir, tellement vous êtes pressé de déblatérer sur les renouvelables. Vous êtes consternant de stupidité à force de me prendre pour un idiot.

        • Cette étude est connue et complètement bidon pour les raisons suivantes :

          – Engie fait une hypothèse totalement irréaliste, celle de nos 3 façades maritimes occupées par des champs d’éoliennes : impensable socialement, écologiquement et… économiquement
          – dans la réalité (cf. Jancovici), la production éolienne est massivement et essentiellement régie par les influences atlantiques, ce qui rend marginal l’apport des 2 autres façades
          – la forme des monotones du document Engie n’est pas conforme à la réalité donnée par la courbe issue des statistiques de RTE et que l’on retrouve dans la plupart des études scientifiques

          Engie, malgré le fait que c’est une grande entreprise qui dispose de moyens d’ingénierie, défend ses intérêts et son « business model » ; de la même façon que l’ADEME qui part d’un résultat souhaité et adapte les hypothèses pour y arriver, Engie en arrive à pratiquer de l’escroquerie intellectuelle pure et simple. L’étude que vous citez a été biaisée sur mesure pour masquer le fait que l’éolien ne peut fonctionner sans des secours (backup) pilotables. Si notre pays se laissait entraîner dans cette « erreur » comme les Allemands, Engie sortirait alors de son chapeau ses centrales au gaz utilisables quand le vent ne souffle pas. Car Engie, ne l’oublions pas, c’est Suez + Gaz de France !

          Répondre
          • C’est le propre des dogmatique, nier toutes les preuves scientifiques qui ne vont pas dans le sens de ce que dit le gourou en l’occurrence Jancovici.
            Et cette étude d’Engie-Green qui ferait souffler le vent dans le sens qui les arrangerait; pourquoi cela les arrangerait , on ne sait pas , mais puisque Studer le dit, cela ne se discute pas d’autant plus qu’il le tient de son gourou spécialisé dans les numéro de music all , lequel ne sait ans doute pas ce qu’est la Tramontane comme d’ailleurs tous les autres vents et pas plus que les cartes de vents fournis par météo-France, notamment, mais aussi météo-Marine, et d’autres organismes maritimes internationaux.
            Mais ça ne convient pas à Studer, alors c’est forcément faux. Le publique appréciera Studer dans une pale imitation de Trump.

    • Des renouvelables oui bien sûr !
      Remplaçant des moyens émetteurs de CO2, non intermittents donc pilotables, non subventionnés donc mâtures industriellement, garantissant le coût le plus bas sur la facture du consommateur, consommant le moins de ressources épuisables donc à très forte efficacité énergétique, consommant le moins d’espace terrestre et visuel donc à très faible empreinte, sans impact sur la biodiversité et la santé, ayant donc une forte acceptabilité, capables de produire de l’hydrogène vert en continu et au meilleur prix, et ayant bien sûr un bilan carbone neutre y compris avec leurs propres moyens de back up pour assurer à tout moment la sécurité du réseau électrique !
      ça existerait ?

      Répondre
      • A peine croyable une telle énumération de fakes news sans aucune preuve de ce que vous affirmez. Sans doute pensez vous que c’est inutile puisque vous le dites et que vous, vous savez, alors que les autres ne sont que des ignorants.
        Passez votre chemin Le Loup, des dogmatiques comme vous il n’y en a que trop.

        Répondre
    • Du vent il y en a toujours quelque part en France mais encore faut il ne pas mettre 60% des éoliennes au même endroit et notamment là où il y a le moins de vent.
      Je vous invite à simplement regarder les cartes météo sur toutes les chaînes de TV ET RIEN QUE LA VOUS AUREZ DÉJÀ UNE PETITE IDÉE DE CE QUE VEUT DIRE FOISONNEMENT

      Répondre
  • Voyez en Allemagne la difficulté à sortir des énergies fossiles : Il se pourrait bien que l’Allemagne n’atteigne pas la réduction de 40 % de ses émissions de gaz à effet de serre prévue pour 2020. Malgré un tournant spectaculaire vers les énergies renouvelables qui représentent désormais près d’un tiers de sa production électrique, le pays a encore largement recours au charbon (et au gaz) pour produire l’électricité dont il a besoin. Mais ce développement spectaculaire des énergies intermittentes a fragilisé l’équilibre du système électrique et impose la construction de milliers de kilomètres de lignes à haute tension (les énergies renouvelables sont majoritairement au nord, mais les entreprises qui ont le plus besoin d’électricité sont au sud). https://energy-charts.info/charts/energy_pie/chart.htm?l=en&c=DE&year=2019

    Répondre
    • Fadaises habituelles, l’Allemagne a déjà atteint ses engagements de la cop21 pour 2020 avec 2 ans d’avance alors sue la France n’a rien commencé dans bien des domaines où elle s’était engagée et n’atteindra aucun de ses engagements
      Tous les sites statistiques le mettent en évidence mais Cochelin continue à consulter les sites d’opinons

      Répondre
      • Si la France aidait l’Allemagne dans l’énergie renouvelable et si l’Allemagne nous aidait à le développer, à démanteler nos centrales et à sortir du nucléaire, on pourrait se passer complètement du charbon et du nucléaire. On pourrait aussi s’occuper dignement de nos anciens déchets (on ne sait toujours pas quoi en faire car c’est une équation sans solution). Une électricité peu chère est synonyme de gaspillage. Une électricité plus chère, comme en Allemagne est synonyme d’économie. L’Allemagne s’inscrit sans un cercle vertueux. La France s’inscrit dans un cercle vicieux avec son nucléaire. Ce n’est pas et en tirant dans les pattes des Allemands et en repoussant la faute sur eux que ça va arranger nos problèmes (finances publiques du présent et du futur, déchets, risques incommensurables et non assurés). Ce type de comportement est irresponsable, puéril, lâche, honteux, puant, immoral, criminel et j’en passe et des meilleures (attention, je n’insulte personne, je décris un type de comportement et pour en changer, il suffit de le vouloir). Et c’est toujours plus marrant de se remonter les manches et de bosser à fond ensemble plutôt que de se tirer dans les pattes pour rester dans l’inaction tout seul dans son coin (de surcroît, n’oublions jamais que le coût de l’inaction est incommensurable, en ce qui concerne notre biotope et si on continue comme ça, on court à notre perte).
        http://emmanuelhourdequin.free.fr/spip.php?article148

        Répondre
      • Vous oubliez que la France, quelque soient le respect de ses engagements, a une avance considérable sur l’Allemagne puisque le contenu carbone de son électricité est au moins 4 fois plus faible que celle-ci. L’année 2020 n’est pas terminée et la baisse de la consommation électrique sera favorable à tous les pays quant à la baisse des émissions. Votre opinion n’engage que vous.

        Répondre
        • Vous vous trompez encore et toujours ce n’est pas une opinion, la baisse continue les émissions de GES en Allemagne est attestée par tous les organismes officiels chargés de ces mesures,
          Votre blabla concernant la France et son taux de CO2 qui ne bouge pas n’équilibre pas son taux de déchets nucléaires qui ne fait que croitre d’années en années

          Répondre
        • Tenez Cochelin, pour mesurer combien la France a une « avance considérable » sur l’Allemagne, prenez quelques notes des graphiques qui relatent l’évolution des réalités allemandes à qui on achète plus d’électricité que ce que nous leur vendons, et ne tenez pas compte des blabla sans intéret d’éventuels opinions,, les chiffres Cochelin, rien que les chiffres sous toutes les formes, en graphiques de lignes, de camemberts, de barres…. rien que les chiffres Cochelin :
          https://decrypterlenergie.org/la-sortie-du-nucleaire-en-allemagne-entraine-t-elle-une-hausse-des-emissions-de-co2

          Répondre
          • @Rochain
            Vous rabâchez toujours que les sites dont le contenu ne colle pas avec votre idéologie sont des sites d’opinion et vous-même en citez régulièrement, dont le dernier. La France a de même considérablement réduit ses émissions depuis 1990, mais était déjà à un niveau beaucoup plus faible que l’Allemagne.
            Sur le site FRAUNHOFER (energy-charts) cité plus haut, vous pouvez constater que les émissions de 2018pour l’Allemagne sont à peu près au même niveau que 2008.
            Je suis persuadé que l’Allemagne peut rattraper la France dans ce domaine (peut-être en 2050) mais à un coût se montant à de nombreuses centaines de milliards d’euros dont les citoyens en feront les frais. https://allemagne-energies.com/tournant-energetique/ A moins que, pour vous, ce site soit encore un site d’opinion car ne partageant pas votre point de vue.

          • Cochelin il vous faudrait comprendre qu’on ne rattrape pas quelqu’un qui est ………………. derrière vous

        • Pas de CO2 pour le nucléaire : mensonge !
          Il faut commencer par préciser si on considère le court-terme (20 à 30 ans) ou le long terme (100 000 ans) et l’exploitation des mines d’uranium (le nettoyage ou pas de la pollution des nappes phréatiques), les militaires, son transport, celui des combustibles dits « usés » au bout de 3 ans (mais qui contiennent encore pratiquement 100% de l’énergie nucléaire de départ, entièrement gaspillée sous forme de chaleur et de radioactivité pour 100000 ans) et la fabrication des centrales (béton, métaux), centres de stockage, démantèlement plus la gestion des accidents éventuels (non assurés) ?
          Le résultat du calcul dépend de tous ces paramètres.
          Même si on réussissait à identifier tous, le calcul donnant le résultat est impossible à faire parce qu’on ne peut pas prédire l’avenir. L’industrie de la fission de l’uranium-235, pour le meilleur ou pour le pire ? Le meilleur est très improbable.
          Le pire est hautement probable (parce que 100000 ans, c’est beaucoup trop long par rapport à la vie d’un homme).

          Répondre
          • Vous perdez votre temps Hourdequin, vous vous adressez ici à des mules qui ont simplement décidé qu’elles avaient raison. Les chiffres ne les intéressent pas, ils ont des opinions, et ignorent que la science et la réalité ne sont pas des opinions.

  • Vous avez raison, très cher Monsieur Rochain, de rappeler que la science n’est pas une opinion.
    L’industrie de la fission de l’uranium-235 est une religion (dogmatique avec le dogme selon laquelle elle est bonne pour l’humanité). Il n’y a pas de dogme en sciences. C’est un consensus basé sur des mesures et des modèles. On a tout intérêt à écouter son médecin quand il vous diagnostique un cancer car ce n’est pas une opinion mais une réalité objective.
    Si la science est mal utilisée (l’industrie de la fission de l’uranium-235 est une mauvaise utilisation de la physique nucléaire), ce n’est pas de la faute de la science mais de l’homme qui l’utilise mal.
    L’homme est capable du pire (la pollution, la guerre, le crime) et du meilleur (la science).
    Il a le droit de se tromper mais il doit apprendre de ses erreurs et ne plus les recommencer, sinon, c’est criminel.
    Errare humanum est, perseverae diabolicum !

    Répondre
  • Très chers Messieurs Rochain et Hourdequin,
    Vous avez gagné en ayant systématiquement le dernier mot dans les échanges où vous sévissez.
    Il est simplement regrettable que vous vous croyez obligés d’être insultants envers vos contradicteurs. Ce faisant, vous gâchez une occasion d’éclairer les lecteurs en recherche de vérité.
    Ramener ces discussions à tout propos dans un affrontement stérile entre partisans et opposants au nucléaire ne peut que disqualifier les deux parties. On l’a bien vu dans les consultations du public organisées par la CNDP ou l’ASN.
    La réalité est que le mix électrique de notre pays est maintenant installé sur une complémentarité nucléaire, hydraulique et énergies renouvelables qui place la France dans les pays les plus vertueux.
    La difficulté est de situer le curseur au bon endroit en déterminant la place de chaque forme d’énergie selon des critères qui ne doivent rien à l’idéologie. Les experts du GIEC comme ceux de l’Académie des Sciences ou l’Académie des Technologies ne disent rien d’autre, encore faut-il les entendre.
    Dans un temps où les ressources financières de la France sont réduites, le gaspillage révélé par la Cour des Comptes au profit d’investisseurs privés dans l’éolien est un véritable scandale, tant ces ressources pourraient être utilisées à d’autres fins comme la reconstruction de notre système de santé.
    La destruction de la filière nucléaire française, la troisième de notre pays, qui semble être votre objectif prioritaire serait évidemment catastrophique pour l’emploi.
    Chers Messieurs Rochain et Hourdequin, que vous le vouliez ou non l’énergie nucléaire a toute sa place dans un avenir incertain où les conséquences du réchauffement climatique comme celle de l’utilisation du charbon dénoncée dans cette tribune sont à considérer sans a priori mais avec humilité et responsabilité.
    Vous ne semblez disposer ni de l’une ni de l’autre de ces qualités si j’en juge par l’absence de toute critique sur l’utilisation du charbon qui reste prioritaire dans le monde comme chez nos voisins Outre-Rhin. Ce silence assourdissant de votre part, comme celui de ceux qui se réclament de l’écologie, est incompréhensible et demande explication.
    Une occasion de plus pour avoir le dernier mot ?…

    Répondre
    • Ce n’est pas en tenant des propos imbéciles comme ceux de soi disant gaspillage d’argent publique dans les ENR as uo seraient mieux utilisés ailleurs, comprendre… Dans le nucléaire que vous ferez avancer le débat.
      Alors les leçons de morale vous vous les gardez

      Répondre
    • L’hypocrisie c’est de feindre de croire qu’Hourdequin ou moi soutenons l’usage du charbon.
      Si nous n’en parlons pas c’et que nous n’avons aucun différent avec vous, ou qui que ce soit, sur le sujet dont l’affaire est entendu.
      Nous somme d’accord sur le fait qu’il doit être abandonné au plus vite partout où il est utilisé. Mais vous pensez que c’est en mettant 15 ans pour construire un réacteur que l’on s’en débarrassera au plus vite alors que nous savons qu’il n’en faudra que deux pour construire un parc éolien ou solaire de même puissance. Mais vous soutenez tous ces saboteurs qui intentent 3 recours judiciaires sous les motifs les plus futiles pour retarder ces projets, ce qui fait bien l’affaire de la nucléocratie qui se moque bien du réchauffement climatique et ne profite de son argument que par un heureux hasard qui ne doit rien au choix qui a été fait en ce sens il y a 60 ans.
      Quant aux pouvoirs publiques qui s’ingénie à faire croire à l’un et à l’autre qu’il n’exclut pas sa proposition de fourniture d’énergie, il rame en sous-marin contre les renouvelable de façon hypocrite. Nous avons pris des engagements lors des accords de Paris en 2015 avec des objectifs à 2020, 2025,2030…. Nous sommes en 2020 et rien, RIEN de ces engagements dont l’heure a sonnée n’a été réalisé. Alors votre France, le plus vertueux des pays d’Europe dans vos propos sonne pour moi comme l’insulte d’un ignorant qui fait le maitre d’école. Dans les accords de la COP21 de 2015 nous nous sommes engagé pour 2020 entre autres engagements, à disposé de 6 GW d’éolien offshore …… et nous avons ? ZERO !!
      Alors vos auto-satisfécits ne démontrent que votre ignorance du domaine dans lequel vous prétendez nous apprendre quelque chose, et les insultes c’est moi qui les prends et depuis longtemps de la parts d’ignorants de la pire espèces qui se prennent pour des élites éclairés. Pour votre culture prenez connaissance de ce dont vous vous vantez sans même le connaitre :
      https://www.gouvernement.fr/special-cop-21-les-engagements-nationaux-de-la-france-3390
      Vous pourrez y lire :
      • L’éolien offshore est développé, l’ensemble des projets aujourd’hui prévus porte la France à mi-chemin de son objectif de 6 000 mégawatts d’ici 2020, soit 3,5% de notre production d’électricité.
      Et le reste est à l’avenant, les gouvernements successifs de la France depuis 2015 n’ont eu aucun respect de notre propre engagement, nous sommes la risée de l’Europe, et un des trois pays qui ne tiendront aucun de nos engagement nous mettant au même niveau que la Pologne, mais vous Desgranges vous plastronnez, fier de votre ignorance, en vous présentant vertueux sans savoir que vous êtes couvert de vos renoncements et vos parjures.

      Répondre
  • L’industrie de la fission de l’uranium-235, loin d’être une solution au problèmes est un problème aux solutions.
    Cher Monsieur Desgranges, si cette industrie est votre religion, ça vous regarde.
    Personnellement, je préfère la science et l’action.
    « Charbon ou nucléaire ? Il faut maintenant choisir » est un faux dilemme.
    Une troisième voie existe : les économies d’énergie, le circuit court et les énergies renouvelables.
    La science a des solutions dans tous ces domaines.
    Tout ce qu’on a fait jusqu’à présent n’a pas marché (fossile, fissile, mondialisation, triple dumping social, environnemental, fiscal). Quand quelque chose ne marche pas, on réfléchit, on cherche quelque chose d’autre et on agit.
    Pour agir, rien de mieux que la science, bien utilisée.
    En France, on préfère l’inaction. On préfère camper sur nos positions (celles du lobby nucléaire X-mine). On se croit les plus forts. On joue les coqs sur notre tas de fumier. On persévère dans l’erreur. C’est déprimant.
    Laissez nous agir car la réflexion et l’action sont les meilleures des antidotes.
    Errare humanum est, perseveae diabolicum.

    Répondre
  • Quel bonheur de retrouver Mrs Hourdequin et Rochain !
    Ils peuvent écrire mille fois les mêmes stupidités et ne se lassent jamais. Ils commandent au vent et au soleil. Ils sont les adorateurs des éoliennes, nouvelle religion inféodée à la science physique enseignée par Monsieur Hourdequin qui ne veut pas croire à l’équivalence entre la masse et l’énergie découverte par un certain Einstein au début du 20ème siècle.
    Non il n’y a pas toujours un peu de vent quelque part. Jean-Marc Jancovici a produit des documents irréfutables sur ce sujet. Il suffit de les consulter sur you tube. Mais je suis certain que pour nos deux révoltés contre le nucléaire, Jean-Marc Jancovici est le grand Satan.

    Répondre
    • Monsieur Flucher,
      Je sais très bien que vous, comme Monsieur Desgranges avaient vécu du nucléaire, mais cela ne devrait pas vous dispenser d’être objectifs.
      L’impressionnante liste de stupidité que vous débitez à chacun de vos messages ne témoignent que de l’ampleur votre ignorance des phénomènes de la natures et des lois qui les gouvernent, impliquant un retour du Soleil immuable en raison de la rotation de la Terre, loi que vous semblez ignorer comme celles de la météorologie qui alternent les périodes de vents selon les multiples causes qui les font naitre et prospérées, ou s’éteindre, en raison des relief de la surface de la Terre et de la période de l’année, et toujours tributaires des exigences astronomiques de notre planète. Les conséquences de ces lois sont statistiquement connues et permettent de savoir à l’avance les conséquences de la réunions de ces conditions sur la production électrique qui en découlera pour chaque type d’installation, à l’abri de toutes surprises, contrairement à ce que nous connaissons avec le nucléaire soumis à un ensemble de phénomènes qui nous échappe totalement car aucune météo ne prévoit un panne de réacteur à l’avance. Plus surprenant encore il apparait que personne n’est capable de prédire à l’avance quand un réacteur arrêté pour une raison quelconque sera capable de redémarrer, comme c’est le cas des deux réacteurs de Flamanville dont un est arrêté depuis près de deux ans ou le second qui vient de fêter sa première année pleine d’arrêt en septembre. Ainsi le tant vanté facteur de charge imbattable du nucléaire est-il aujourd’hui totalement effondré. Aujourd’hui encore il suffit de regarder les courbes de RTE de ces outils de productions que vous prétendez capable de fournir l’électricité à la demande bien incapables de répondre à l’exigence minimum même durant le WE en période de confinement avec une production constante de 42 MW alors que la capacité installée est de 61,5 GW, ce qui oblige à recourir aux couteuses centrales à gaz. Et encore sors-t-on d’une longue période où le nucléaire peinait à fournir 28GW soit un taux de disponibilité inférieur à 50%. Le facteur de charge nucléaire 2020 promet d’être catastrophique.
      Vos références à Jancovici m’amusent autant que ses numéros de music all dans lesquels sont seul souci n’est que de vouloir donner l’impression de lever des lièvres et de faire le Buzz avec du spectaculaire se voulant sensationnel, quitte à raconter n’importe quelle fadaise comme je lui ait fait savoir à plusieurs occasions et dont il a fini par reconnaitre « qu’il l’avait lu dans la littérature américaine », comme le premier ordinateur ENIAC (qui n’était d’ailleurs pas le premier dans cette catégorie, mais vous savez bien que les américains ont tout inventé) qui avait supporter le premier modèle de simulation de prévisions climatiques !! Un comble lorsqu’on sait que ce « premier ordinateur » n’était qu’une machine à calculer déterministe à programme affiché, donc incapable de s’auto-modifier, ce qui est un minimum dans la résolution d’algorithmes de modélisation. En fait cette machine qui ne savait que compter très rapidement, pour l’époque, n’a servi qu’à établir des tables de tirs balistiques dans un service de l’armée américaine. Et de ces numéros de cirque Jancovici en joue à la pelle, j’en ai relevé toute une collection.
      Quant à ce que dit Jancovici sur le fait qu’il n’y a pas toujours un peu de vent quelque part, je ne crois pas qu’il ait fait cette mesure autrement qu’au doigt mouillé avec ses petits moyens derrière son bureau, comme il lit une phrase dans un ouvrage américain pour le transformer aussitôt en argument pour sa prochaine conférence si cela va dans le sens de ce qu’il veut démontrer. Mais comme sa conclusion vous arrange vous aussi, vous l’avez aussitôt adoptée car c’est bien ainsi que « travaillent » les nucléocrates. Mais vous pouviez tout aussi facilement avoir une information bien plus fiable sur le sujet en consultant mes messages rien que sur le présent forum au lieu de vous précipiter à m’insulter en prétendant que je colporte des stupidités, ce que je m’empresse de vous retourner dès la deuxième ligne de mon message, soulignant ici que je ne fais que répondre à des insultes, comme à mon habitude.
      En effet, il vous a semblé plus important de parler de mes stupidités sans même les lire sinon il ne vous aurait pas échappé que des gens sérieux se sont penché sur la question du foisonnement pour la France avec d’autres méthodes que celle du doigt mouillé de Jancovici, et en l’occurrence en modélisant 20 années de relevées météorologiques.
      Le résultat est simplement consternant que des gens comme vous, ou ce Studer à qui je renvoyais ce lien que vous n’avez pas su voir, ou encore comme Jancovici, aient pu alléguer de telles contrevérités sur leur seule volonté de refuser qu’il puisse y avoir un concurrent au glorieux nucléaire auquel se résume votre vie vaniteuse.
      Néanmoins, pour tenter sans grand espoir de vous sortir de votre obscurantisme forcené je vous redonne ce lien.
      https://participons.debatpublic.fr/uploads/decidim/attachment/file/438/Contribution_8-EngieGreen.pdf

      Profite bien de votre bonheur de m’avoir retrouvé ici

      Répondre
  • Bonjour mon cher Monsieur Fluchère !
    Bonheur partagé !!!
    Plutôt que Grand Satan (il ne faut pas pousser mémère dans les orties non plus), je dirais simple prêtre (X pas mine) de la religion de l’industrie de la fission de l’uranium-235.
    J’aime son diagnostic (lutte contre le gaspillage, introduction de l’énergie et non seulement du capital et du travail dans une nouvelle économie hétérodoxe, sachant que l’énergie étant le centre de la physique, il est anormal qu’on ne la retrouve pas dans l’économie orthodoxe) mais pas sa thérapeutique (industrie de la fission de l’uranium-235 qui serait bonne pour l’homme). Je ne partage pas ce dogme, à cause des 100 000 ans trop longs par rapport à la durée de vie d’un homme, de l’accident pas impossible et pas assuré, parce que c’est trop dangereux, trop cher, trop polluant, sale sur le long terme et à cause du fait que ce sacrifice est inutile (gaspillage énorme sous forme de chaleur Q pendant 100 003 ans, Eelec/Q = 0, rendement global nul, avec Eelec l’énergie électrique reçue par les clients grâce aux câbles qui apportent l’électricité fabriquée par un alternateur entraîné par une turbine entraînée par de la vapeur obtenue grâce à la chaleur produite par la fission des noyaux d’uranum-235 sous l’impact des neutrons dans la cuve du réacteur). En résumé, beaucoup, beaucoup, beaucoup de chaleur et de radioactivité pour un tout tout tout petit peu d’énergie électrique. En résumé, comme la radioactivité est dangereuse, surtout si on la concentre, laissons là où elle est (dispersée un peu partout ) car c’est là qu’elle est le mieux. Et débrouillons nous autrement.
    Il a travaillé pour Nicolas Hulot et Nicolas Hulot a démissionné à cause du lobby nucléaire (des divergences de point de vue naissent entre lui et Nicolas Hulot alors que celui-ci propose de fermer 17 réacteurs nucléaires lors de sa nomination comme ministre d’État).
    Einstein (E=mc2, aucune croyance ni opinion mais de la science donc du consensus de la communauté scientifique), Galilée, Newton, Lavoisier, sont des scientifiques. Ce sont des géants qui portent tous les autres scientifiques sur leurs épaules. Galilée a cassé un dogme de la religion catholique : de « la Terre au centre du Monde », on passe aujourd’hui à « Dieu est amour ». Et là, plus aucun problème. Si un dogme est en contradiction avec la science, il saute car l’observation et les faits sont plus forts que la croyance (Galilée a observé la Lune et ses cratères, Jupiter et ses satellites et les phases de Vénus avec une lunette et c’était la première fois qu’un homme faisait ça !!!).
    Avez-vous lu le denier rapport WNWR ?
    Pourquoi faire compliqué, sale, cher et dangereux alors qu’on peut faire plus simple, moins cher, moins sale et moins dangereux ? La science le démontre mais les politiciens n’écoutent pas les scientifiques. Par contre, ils écoutent les économistes (même si leurs équations sont fausses) et les technocrates (même s’ils sont dans la religion plus que dans la science). À la fin, ce sera la cour des comptes qui va trancher en défaveur de cette industrie sale et criminelle, qui nous empoisonne la vie, au propre et au figuré, sur le long terme (équation sans solution), pour de simples raisons d’argent.
    https://worldnuclearwastereport.org/wp-content/themes/wnwr_theme/content/WNWR_2020_FR_full_version.pdf

    Répondre
  • Le WNWR, cet organisme qui est l’émanation des écolos de toute l’Europe engagés contre le nucléaire et pour les ENR, dont le rapport démolit le mix Français. Ce rapport n’aurait pas été possible sans le soutien généreux d’un groupe diversifié d’amis et de partenaires, en particulier – classés par ordre alphabétique – l’Altner-Combecher Stiftung, Bäuerliche Notgemeinschaft Trebel, Bund für Umwelt und Naturschutz (BUND), Bürgerinitiative Umweltschutz Lüchow -Dannenberg eV, Groupe des députés européens Climate Core et Verts / ALE au Parlement européen, Heinrich-Böll-Stiftung (HBS) et ses bureaux à Berlin, Bruxelles, Paris, Prague et Washington DC, KLAR! Schweiz, Annette und Wolf Römmig et la Fondation suisse de l’énergie. Rien qu’un procès à charge alors que le programme nucléaire français a permis d’éviter l’émission de centaines de millions de tonnes de CO2 depuis de décades. Mais cela ne les intéresse pas !

    Répondre
    • Tien voila Cochelin en chevalier blanc pourfendeur des moulins à vent tel un Don Quichotte des temps moderne ou encore un Zorro qui se confond avec un zéro.
      Du moment que ça de caresse pas pas le nucléaire dans le sens du poil c’est pas bon, beurk !
      Mais où en êtes vous mon pauvre Cochelin ?

      Répondre
  • Ce n’est pas que ça ne les intéresse pas (les scientifiques qui ont travaillé pour ce rapport, comme tous les scientifiques, s’intéressent à tout car ce qui les caractérise, c’est leur curiosité). C’est juste une autre vision des choses. Une vision à long terme qui change de la vision court-termiste de la technocratie nucléocrate X-mine Franco-Française qui pue le renfermé et qui n’a rien à voir avec de la science puisque c’est une religion (ayant comme dogme que l’industrie de la fission de l’uranium-235 serait bonne pour l’humanité). Il est préférable d’être ouvert que d’être renfermé sur soi-même en ayant la certitude d’avoir raison tout seul dans son petit coin. La science n’a pas de frontière. Elle ne se limite pas aux grandes écoles inventées par Napoléon Bonaparte. À quoi bon sélectionner les plus performants pour faire des exercices de maths et de physique si, en fin de compte ils finissent par faire de la religion au lieu de faire de la science pour empêcher les autres (universitaires ou venant d’autres écoles moins grandes) de nous sortir de l’ornière grâce à de la science bien utilisée. On a beau avoir économisé des millions de tonnes de CO2 depuis des décades, rien ne nous dit qu’on ne va pas tout reperdre dans les années à venir (CO2 et le reste) et que de toutes façons, on reste dans la mouise (on consomme trois planètes par an et on a plein de déchets et plein de pétards qui n’attendent plus qu’une allumette). Il faut changer de paradigme.

    Répondre
  • Quel feu d’artifice ! Merci Serge Rochain et Emmanuel Hourdequin
    La tête me tourne avec tant d’étalage d’arguties toutes plus ou moins vérifiables et qui bien sûr disqualifient tout interlocuteur.
    Seule une psychanalyse (longue…) pourrait peut être permettre de comprendre ces longues logorrhée.
    Au plaisir de vous relire, tellement drôles et pathétiques que j’attends avec impatience vos prochaines invectives.

    Répondre
    • Ce n’est pas parce que vous ne comprenez rien que c’est incompréhensible.
      Bien au contraire, c’est simple et limpide :
      1) la science n’est pas une opinion ;
      2) l’industrie de la fission de l’uranium-235 est une religion (le dogme est : c’est bon pour l’homme).
      Ceux qui ne comprennent pas les choses simples font un blocage (ils ne veulent pas comprendre et leur cerveau fait de la résistance). Le déblocage est plus difficile qu’on croit et, parfois, seule une psychanalyse (longue…) pourrait peut-être permettre d’y parvenir.

      Répondre
    • Hélas c’est bien en raison de l’opposition de gens comme vous que nous n’avons pas respecté nos engagements de la cop 21 nous privant par exemple des 6 GW d’eolienne offshore qui nous font défaut et qui aurait permis de ne pas recourir au charbon pour compenser la défaillance du système nucléaire incapable de fournir plus de 28 GW malgré une capacité installée de 61,5 GW

      Répondre
  • C’est de la faute du blocage de la France (nucléocratie X-mine qui est un État dans l’État) sur l’industrie de la fission de l’uranium-235 pour des raisons religieuses. Ça prend tout le pognon public et toute la recherche publique. Ça ferme la porte de sortie vers les énergies renouvelables. Ça casse les ministres de l’environnement. Ça casse une construction européenne qui pourrait être intéressante. Ça casse des emplois. Ça casse les pieds. Ça casse la démocratie. Ça va finir par nous péter à la gueule. Tout ça pour une religion d’État. Le préfère la science et l’action que la religion et l’inaction. Ceci dit, « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » (Rabelais). Entre une religion où le dogme est « Dieu est amour » et une autre où il est « L’industrie de la fission de l’uranim-235 est bonne pour l’homme », je préfère prendre « Dieu est amour » parce que la science ne peut pas démontrer que c’est faux. Par contre, elle démontre que l’industrie de la fission de l’uranium-235 est mauvaise pour l’homme car les faits, l’observation et la mesure de ces faits sont plus forts que les croyances. Donc c’est une religion mais une mauvaise religion (qui fait croire à des conneries).

    Répondre
  • Bonjour,

    Je trouve l’article pas très informatif, on tourne en rond avec des remarques générales.
    C’est pas forcément idiot d’utiliser du fossile pour assurer la pointe pendant qqs centaines d’heure l’hiver au lieu de construire des centrales nuc qui sont faites pour la production de base.

    Je fais ici un résumé de la situation du parc électrique français, assez approximatif mais pour aider à fixer les ordres de grandeur:
    abréviations:
    fc = facteur de charge
    GC = centrale gaz

    Quelles sont les Sources pilotables en FR:
    Centrales nucléaires fc de 80%, je ne connais plus la capa totale installée mais on est à 70GW il me semble.
    Centrales hydrauliques fc (je ne sais pas), 20GW de mémoire, par contre Energie annuelle dispo est limitée
    Centrales à charbon programmée pour être démantelées fc (bas dans les 10% vu que seulement utilsées pour la pointe)
    Centrale à biomasse : fc (je ne sais pas) , capacité installée faible.

    Sources non pilotables:
    Eolien terrestre , fc de 25%, capacité de l’ordre de 15GW actuellement.
    Eolien en mer : fc de 30 à 40% mais pas encore installé, on vise 6GW.
    Solaire : fc de l’ordre de 15%, on doit être rendu à 10GW en 2020.

    Il est illusoire de remplacer la capacité pilotable nucléaire à court terme, par du non pilotable seul.
    – Si vous agréger la production des ENR sur toute la france vous verrez que le foisonnement n’arrive pas à empécher que la puissance instantanée descende à 5% de la capacité installée sur plusieurs jours.
    – Même sur une agrégation au niveau Européen on a des niveaux de prod très bas sur plusieurs jours.
    – Et les ordres de grandeur des facteurs de charge des ENR font que la capacité à déployer est un gros morceau

    On est forcé d’utiliser au mieux les centrales nucléaires disponibles et de programmer les prochaines pour maintenir la colonne vertébrale de la prod électrique.
    A voir comment on peut se servir de nos ressources ENR pour décarboner certains usages mais il leur faut:

    – Du stockage
    – Une gestion de l’effacement de certains consommateurs

    Le plus des ENR:
    – les durées de développement, construction et mise en service puisque sont assez maitrisées. Je vois le REX de plusieurs projets.
    – les niveaux de cout de production de l’électricité sont bas MAIS on a non pilotable

    Avant de changer quoi que ce soit, je regarderai quels gisements sont disponibles en France, et combien couterait le développement de moyens de stockage à grande échelle, et comment faire de l’effacement à grande échelle.

    Bonne soirée

    Répondre
    • Quelque précisions tout de même :
      La puissance installée actuellement est de 61,5 GW
      Il y a bien longtemps que le facteur de charge du nucléaire n’est plus de 80% mais déjà bien inférieur à 70% en 2019 et celui que l’on pourra déterminer pour 2020 sera très probablement encore bien en dessous de celui de 2019 puisque cet été, durant deux mois le parc peinait à produire 28GW et que maintenant encore, bien que l’on ait récupéré quelques réacteurs, il en reste encore 15 en carafe dont deux de façon chronique puisqu’à Flamanville (centrale maudite) un des deux réacteurs est arrêté depuis près de 2 ans et l’autre depuis plus d’un an, ce qui fait que l’on plafonne autour de 44/45 GW sur les 61,5 du parc.
      Encore une autre remarque sur le nucléaire, les quelques 35 plus anciens ne peuvent fonctionner qu’en régime de base et ne peuvent pas pilotable au sens du suivi de charge. Quant aux autres ils ne sont pilotables au sens suivi de charge que sous certaines conditions comme par exemple celles qui sont liées au cycle de vie du combustible durant le dernier quart duquel il n’ont plus les ressources leur permettant d’y participer. Mais même en dehors de cela c’est tellement délicat et compliquer de faire du suivi de charge avec le nucléaire qu’EDF y renonce car c’est beaucoup plus simple avec l’hydraulique et les centrales à gaz, pour vous en convaincre regardez simplement les courbes de production de RTE :
      https://www.rte-france.com/eco2mix/la-production-delectricite-par-filiere
      Vous verrez tout de suite qu’au moment ou démarre l’activité économique vers 7/8h le matin c’est le gaz et surtout l’hydraulique qui sont sollicités pour atteindre la réponse au besoin, le nucléaire reste constant, c’est bien comme cela tous les jours de la semaine. La pilotabilité du nucléaire pur assurer le suivi de charge est plus un argument marketing destiné à le montré comme irremplaçable que comme une réalité sur le terrain,.
      Regardez et faites vous votre opinion vous même.

      Répondre
  • Tout à fait d’accord avec Monsieur Rochain !
    Les courbes de production de RTE sont édifiantes !
    L’énergie nucléaire permet une production continue d’électricité mais son niveau de pilotabilité est très faible pour répondre en synergie avec les énergies renouvelables. Les réacteurs ne peuvent pas faire varier leur puissance au rythme requis par la demande française en combinaison avec une croissance inévitable des énergies renouvelables. Cela pourrait engendrer à la fois des dégradations mécaniques à cause des gradients thermiques et du stress mécanique dans les centrales. Les énergies renouvelables ont besoin d’une source pilotable et flexible. Les centrales nucléaires n’en sont tout simplement pas capables. Elles ne sont ni faites, ni étudiées pour ça.

    Répondre
    • M. Hourdequin
      Quand vous dites : Les énergies renouvelables ont besoin d’une source pilotable et flexible……
      Et donc ? on fait du gaz (russe) comme va le faire massivement l’Allemagne pour sortir du charbon et finir de sortir du nucléaire!
      C’est quoi déjà le problème de la planète ?

      Répondre
      • Mais non le loup ,
        C’est du biogaz, c’est une autre nationalité que Russe.
        Les Allemands en font pour 8,4% dans leur mix électrique, et vous savez Le loup 8,4% dans le mix ca veut dire que l’on peut faire toute son électricité un mois durant chaque année rien qu’avec ça, avec une nuit sans lune qui dure 30 fois 24 heures et le tout sans un souffle de vent.
        Mais bien sur pour comprendre ça il faut avoir un cerveau entre les oreilles et ne pas passer son temps à chronométrer les 10 seconde ou la planète s’arrête de tourner et le vent avec. Savez vous que votre cœur s’arrête de batte plusieurs fois pas minute mais que vous ne faites pas appel au gaz russe pour ça ??

        Répondre
  • « Les énergies renouvelables ont besoin d’une source pilotable et flexibles ». Bel exemple en Allemagne dont le parc de renouvelables est considérable, mais le charbon et le gaz des centrales thermiques en back-up conduisent ces jours-ci, par exemple, à des contenu carbone de l’électricité autour de 500 g/KWh.(et à l’année à au moins 200 millions de tonnes de CO2- source energie-charts) A comparer à la France dont vous haïssez le modèle. https://www.electricitymap.org/zone/DE

    Répondre
    • Vous rabâchez Cochelin,
      Le gaz, charbon, pétrole, et même nucléaire ne sont pas là pour stabiliser les variations de production des éoliennes et du solaire mais parce que ces ENR ne sont pas encore en nombre suffisants pour répondre au besoin, et à chaque addition d’ENR un des autres moyens de production diminue….

      Répondre
      • Le 9 novembre à11h18, prise au hasard sur electricity map, la production éolienne en Allemagne comptait pour 4,4% de la production avec un chiffre impressionnant de 4,95% de la capacité installée, soit 3,07GW pour 61,9 GW !
        Combien faut-il encore installer d’éoliennes pour atteindre Le NOMBRE SUFFISANTS selon vous !
        et pendant ce temps l’Allemagne produisait l’essentiel de son électricité avec du charbon et du gaz avec 469 gCO2eq/KWh pour 69 gCO2eq/KWh en France. !
        Continuez à construire des ENR, car c’est vrai le vent et le soleil sont gratuits, vous auriez tort de ne pas en profiter…… !

        Répondre
        • Et le 7 novembre entre 15h 17 minute 5 seconde et 15h 17mn7 secondes, c’est combien ? Je dis ça tout à fait par hasard mais je peux choisir autre chose aussi
          Donc, lorsque que ce que produisent les quelques 50% d’ENR en Allemagne s’arrête d’un seul coup, puisque je n’entend jamais parler de crash down du réseau allemand, j’en conclu qu’ils ont une capacité de réaction pour les bazars à charbon et gaz qui leur permet de remplacer instantanément tout ce qui manque , soit la moitié de leur besoin….. CHAPEAU !!
          Quant on en est à un tel niveau de stupidité incohérente on ne peut plus discuter

          Ah si j’ai compris, ce n’était que l’éolien qui était en carafe, alors, c’est clair, vu l’heure c’est le solaire qui a compensée me disais aussi,…. d’une seul coup, des centrale à charbon qui double leur production cela ne s’est jamais vu !!

          Répondre
      • Encore et toujours d’accord avec Monsieur Rochain : les ENR ne sont pas encore en nombre suffisant (c’est ce que montrent les courbes de production de RTE) : nulle part, et encore beaucoup, beaucoup moins en France qu’en Allemagne (qui est loin devant la France). Le potentiel est gigantesque. La variété des énergies renouvelables (biomasse, solaire thermique et photovoltaïque, éolien, hydrolien, hydraulique) est énorme. Le stockage à grande échelle et la cogénération sont possibles (dihydrogène, piles à combustible, STEP, batteries, supercondensateurs, smart grids) car l’énergie peut changer de forme (électrique, chimique, mécanique, thermique) ainsi que la production locale et l’autoconsommation. La meilleure énergie reste celle que l’on ne consomme pas (économies d’énergie, lutte contre la surconsommation, le gaspillage, la pollution). L’industrie de la fission de l’uranium-235 n’est qu’un problème à toutes ces solutions. C’est un boulet, un frein à l’innovation, la gabegie des deniers public des siècles et des siècles, un danger public pour nous, nos voisins et nos enfants. Il faut en sortir, à la fois pour s’occuper dignement des déchets existants, sortir de la gabegie (cercle vicieux) et laisser toute la place aux énergies de flux qui le méritent amplement (cercle vertueux), car leur potentiel est énorme, et elles sont négligées, à tort, par la France (à part l’historique hydraulique, grâce à nos montagnes, pour servir l’historique nucléaire).

        Répondre
        • Pour une charge de 50 à 80 GW d’électricité, l’Allemagne a un parc de production installé de plus de 200 GW, et pour 2050, le scénario projette près de 700 GW. Devrions-nous suivre cet exemple et sommes-nous prêts à en payer le coût (sachant qu’en Allemagne, les consommateurs payent leur KWh près du double du nôtre? https://energy-charts.info/charts/installed_power/chart.htm?l=en&c=DE Cela n’empêche pas l’Allemagne, même si je rabâche (tout comme Rochain et Hourdequin dans leur déni de la réalité) d’émettre encore des quantités considérables de CO2 (et autres polluants délétères pour la santé).

          Répondre
          • Comme on surproduit, on est obligés de vendre à perte pour écouler la camelote, ce qui fait chuter les prix (et pendant ce temps là, on récolte les déchets nucléaires donc les merdes et les emmerdes).
            Prix faible = mauvais signal = gaspillage = cercle vicieux.
            Prix = résultat d’un calcul, mais de quel calcul (court terme ou long terme) ?
            Comme la formule est fausse (une gabegie ne peut pas coûter 0), ce n’est pas un argument objectif mais de la propagande et du mensonge qui ne peut que nous enfermer dans un cercle vicieux.
            L’énergie est un problème systémique (tout système, sous-système d’un autre système doit échanger de l’énergie avec son environnement pour évoluer). Un problème systémique est irréductible par nature. Une solution simple (le nucléaire par exemple) ne peut pas résoudre un problème complexe (et l’exemple pris le montre car il en pose plus qu’il n’en résout). Ce serait simpliste et erroné. Il faut voir les choses en terme de « cercle vicieux » et « cercle vertueux ». La solution Française est un « cercle vicieux ». La solution Allemande est un « cercle vertueux ». La transition du vicieux vers le vertueux est nécessaire. Elle est cours chez les Allemands. Elle est freinée par les Français. Les Allemands tirent dans le bon sens et les Français tirent dans le mauvais sens et heureusement qu’il y en a un qui tire dans le bon sens. Et il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis.
            https://www.alternatives-economiques.fr/nucleaire-francais-un-probleme-europeen/00087023

          • Cochelin vous n’avez pas encore compris que le but est d’avoir de l’électricité à la mesure du besoin de chacun et pas d’en produire une quantité considérable à un seul endroit, le plus petit possible, pour ensuite avoir de grosses contraintes pour les répartir sur tout le territoire à desservir. Vous vous trompez toujours de cible Cochelin. Poussez votre raisonnement à la limite pour montrer son absurdité :
            Dans une toute petite bâtisse que vous avez sur l’équateur à l’intersection du méridien de Paris (je ne veux pas trop vous déstabiliser alors je vais me montrer partisan rien que pour vous faire plaisir), vous avez un appareil miraculeux qui produit 20 000 TWh par an. Il ne vous reste plus qu’à faire le réseau de distribution tentaculaire qui s’étendra sur la planète entière. Bien sur, au départ de cette bâtisse, les 4 câbles sortant de cette machine miraculeuse achemineront dans les 4 directions des points cardinaux en moyenne 2,3 TW de puissance qui seront acheminées sur des lignes à 400 millions de volts avec les pertes par effet joule comparable à ce que nous avons aujourd’hui avec les lignes acheminant 1000 fois moins d’énergie, mais les pylônes seront gigantesques à côté de ce que sont les éoliennes naines de 200 m de haut. C’est cette direction votre progrès Cochelin ?

    • Ce qui est haïssable, c’est le mensonge, la propagande, la croyance en des conneries, la persistance dans l’erreur et le crime qui peut en découler.
      Dire qu’une centrale nucléaire est pilotable est une connerie.
      Ne pas dire que le renouvelable est une source pilotable et flexible est un mensonge par omission.
      Le modèle Français actuel ne marcherait pas sans les barrages, donc sans l’énergie renouvelable et gratuite (solaire).
      Il faut rendre à César ce qui est à César.

      Répondre
      • Monsieur HOURDEQUIN,

        « Ce qui est haïssable, c’est le mensonge, la propagande, la croyance en des conneries, la persistance dans l’erreur et le crime qui peut en découler. »

        C’est parfaitement autobiographique, pas mieux!

        Répondre
  • C’est quoi le crime, selon vous : ne pas caresser l’industrie de la fission de l’uranium-235 dans le sens du poil ?

    Répondre
  • Le crime dont je parle est un crime organisé par l’État Français et un racket du peuple (écomafia). C’est un crime d’empoisonnement de l’écosystème avec des poisons indestructibles (100000 ans) produits en quantité industrielle (impact lourd sur les générations futures). C’est un écocide donc un crime contre l’humanité puisque l’humanité est un sous-système de l’écosystème. L’industrie de la fission de l’uranium-235 est une industrie sale et polluante qui nous entraîne dans un cercle vicieux (la pollution autorise et génère la pollution). Il n’y a jamais eu, en France, de référendum populaire sur la sortie de cette industrie sale et polluante donc c’est un racket (et une gabegie). Je ne caresse pas l’industrie de la fission de l’uranium-235 dans le sens du poil parce qu’il faut sortir de ce cercle vicieux (comme un alcoolique doit sortir de l’alcool), pour notre bien. C’est difficile mais nécessaire et possible. Pour l’alcool, c’est l’abstinence absolue et l’alcool à remplacer par des boissons non alcoolisées. Pour l’énergie, c’est « pas touche aux sources sales d’énergie : uranium, pétrole, charbon, gaz naturel (sources d’énergie de stock) » à remplacer par des sources d’énergie de flux (énergie solaire et tout ce qui en découle : biomasse, vent, courants marins, énergie de la Terre : géothermie, énergie de la Lune : marées). Et Galilée n’était pas à égalité contre l’Église, il a été obligé d’abjurer, certes, mais c’est lui qui avait raison : « Et pourtant, elle tourne… ». Ce n’est pas l’église qui avait raison à 50% et Galilée qui avait raison à 50%, ou l’église qui avait raison à 100% et Galilée à 0%, c’est Galilée qui avait raison à 100% et l’Église à 0% mais elle ne voulait pas perdre la face (pour des questions de pouvoir et de survie). Maintenant, elle admet son erreur et demande pardon. Elle a changé de dogme. Elle s’est bonifiée. Donc, merci à Galilée qui a permis à l’humanité de progresser. Errare humanum est, perseveae diabolicum.

    Répondre
  • Cher Monsieur Hourdequin,
    Avec cette dernière relance un peu facile vous semblez avoir fait un flop !… Vos arguments sont obsessionnels et j’admire vos interlocuteurs qui conservent leur calme en dépits de vos propos peu amènes.
    Dommage pour un débat « ras les pâquerettes » qui aurait mérité une meilleure tenue.
    Je ne doute pas que Monsieur Rochain aura le dernier mot. Après lui, on ferme !…

    Répondre
  • Monsieur Desgranges,
    Galilée était obsessionnel. L’Église était obsessionnelle. Les faits sont têtus.
    Charbon ou nucléaire ? Il faut maintenant choisir, c’est comme si on disait tabac ou alcool, il faut choisir. C’est débile. Il y a aussi l’abstinence absolue d’alcool de tabac et le sport plus l’alimentation équilibrée. C’est encore la meilleure façon de s’en sortir. C’est vous qui avez fait un flop.

    Répondre
  • Mr Hourdequin, je vous remercie de ne pas me faire dire ce que je n’ai pas dit : choisir entre charbon et nucléaire n’est pas tout à fait la même chose que choisir entre tabac et alcool, vous en conviendrez si vous êtes honnête.

    Quant à la nécessaire décroissance qui apporterait un peu de crédit à vos démonstrations, personne n’en veut et surtout pas la majorité de l’humanité qui souhaite tout simplement vivre dignement et à besoin pour cela de bénéficier d’une énergie si possible bas carbone, disponible à tout moment et d’un coût qui ne soit pas prohibitif, ce qui nous conduit à reconnaitre le nucléaire comme l’énergie qui répondra aux besoins de l’humanité dans un avenir proche.

    En revanche, comme le rappelle à juste raison GeGe42, c’est bien vous qui avez écrit « Ce qui est haïssable, c’est le mensonge, la propagande, la croyance en des conneries, la persistance dans l’erreur et le crime qui peut en découler ».

    Monsieur Hourdequin est-il bien utile de faire référence au crime, rien que ça, ou de taxer de « débilites » les arguments qui sont contraires aux vôtres ?… Pour un professeur d’Université, vous manquez quelque peu de mesure, voire d’humilité !… La liberté d’expression existe et vous devriez avoir un peu plus de considération pour vos contradicteurs, non ?

    Mais au final, ce n’est pas si grave parce que vos excès de langage vous disqualifient dans cette discussion où le seul Mr Rochain trouve grâce à vos yeux.

    A vous donc le dernier mot puisque Mr Rochain semble vous laisser un peu seul…

    Répondre
    • Disponible à tous moment et pour un coût qui ne soit pas rédhibitoire exclu déjà le nucléaire, et si vous ajoutez qui ne soit pas dangereux, durable, et qui nous garantisse notre indépendance énergétique, l’exclusion devient définitive !

      Répondre
      • Cher Mr HOURDEQUIN,
        Si on reprend certains de vos arguments concernant les limites et la finitude des ressources, ce que je partage entièrement, nous pouvons donc penser que toutes les ressources nécessaires aux convertisseurs de vent, de soleil, ou de biomasse en électricité seront elles aussi finies, d’où la nécessité de développer à mon humble avis toutes les énergies sous réserve qu’elles soient le moins carbonées possibles.
        Si vous le permettez j’aimerais vous parler de ma petite cervelle de moineau (ou d’ânes pour reprendre les propos de qui vous voyez) qui ne me permet vraiment pas, et j’en suis désolé, d’atteindre le niveau stratosphérique de vos arguments quasi messianiques. Mais il faudra penser à atterrir et reprendre un chemin moins tortueux pour mon petit QI.
        A bientôt quand même pour me délecter de vos critiques psychopathes.

        Répondre
        • @gege 42,
          Vos sarcasmes ne m’atteignent pas, même quand vous me confondez avec m. HOURdeQUIN.
          Quelque petite que puisse être votre cervelle vous comprendrez peut être la différence qu’il y a à transformer de la matière en énergie qui termine son existence sous forme ir rayonnant vers l’espace interplanétaire et donc définitivement perdu pour la Terre, à l’exception des déchets radioactifs qui restent eux, bien sûr Terre, d’une part et d’autre part la matière qui n’est utilisée que pour construire des dispositifs destinés à capter l’énergie venue du Soleil soit directement comme les PPV par exemple et qui retournent à la Terre dans l’état où ils se trouvaient à l’origine, atome pour atome, sans la moindre différence et que l’on peut recycler indéfiniment et souvent sous la forme plus élaborée de la forme qui leur a été donnée par leur première exploitation. Par exemple il faut dépenser moins d’énergie pour faire du verre avec ce qui e était déjà en le refondant simplement qu’en faisant du verre nouveau avec du sables qu’il faut d’abord raffiner. C’est aussi le cas du silicium des ppv qui sortent du même sable avec un autre traitement plus elabore.
          Enfin l’uranium que l’on transforme en énergie est en fait la seule terre rare qui le soit vraiment alors que le silicium fait partie des corps les plus rependus sur la planète.
          Voyez, je ne suis pas avare d’informations pour éclairer mes contradicteurs lesquels ne. M’oppose jamais autre cise que leur opinion en se conduisant en prédateur de la planète. Mais pensez de moi ce que vous voudrez j’aurai fait mon devoir en vous éclairant sur la réalité scientifique et technique du problème.

          Répondre
          • Comme d’habitude, Monsieur Rochain a encore et toujours raison (ses arguments collent parfaitement et systématiquement au consensus scientifique avec énormément d’à propos et d’intelligence). Le sable (silice, SiO2) est effectivement ce qu’il y a de plus répandu sur notre planète et le silicium (Si) se recycle à l’infini. Quand au cycle du combustible, c’est du pipeau intégral, de la propagande et du mensonge (un cycle part du point A pour revenir au point A). L’uranium est rare et le stock s’épuise (on n’en a pas chez nous et son extraction pollue énormément). On ment avec le plutonium qui n’est pas valorisable donc qui est un déchet (le pire qui soit : Pluton est le Dieu de l’Enfer). Et le mot déchet est un mensonge (car on est sensé pouvoir l’abandonner). On devrait plutôt appeler ça poison mortel indestructible. La seule chose censée à faire, c’est de ne pas le fabriquer. Seul un psychopathe peut fabriquer ou vouloir fabriquer une merde pareille à l’échelle industrielle. Tout comme Monsieur Rochain, j’aurai fait mon devoir en vous éclairant sur la réalité scientifique et technique du problème. Je vous aurai rappelé l’histoire des sciences. J’aurai expliqué qu’une solution simple (simpliste) est en incapacité de résoudre un problème complexe et plus particulièrement si cette solution repose sur un raisonnement fallacieux (faux-dilemme) donc biaisé et orienté. J’aurai également rappelé que le mensonge et la propagande sont au service du crime pour rabaisser l’homme alors que la science est au service de la vérité pour élever l’homme. Parler de critique psychopathe à mon encontre (GEGE42) est une insulte prouvant qu’on a perdu la bataille car on n’a plus aucun argument valable à opposer à son contradicteur (et il n’y en a jamais eu d’ailleurs).

  • C’est pourtant bien le titre de votre article (faux dilemme = raisonnement fallacieux par excellence).
    Je persiste et je signe, choisir entre charbon et nucléaire, c’est comme choisir entre tabac (fumée) et alcool (électricité à gogo et déchets qui nous saoulent). C’est débile de dire à un fumeur d’arrêter de fumer pour boire comme c’est débile de dire à un alcoolique d’arrêter de boire pour fumer. Vous l’avez bien compris, je pense. Pour le charbon et le nucléaire, c’est exactement pareil. La croissance infinie dans un monde fini est le dogme d’une autre mauvaise religion (un mensonge criminel) car il n’y a pas de planète B. Si on n’abandonne pas ce dogme, on continue à faire des trous dans la coque de notre bateau et on coule (c’est suicidaire et criminel). L’inquisition était un crime (on brûlait vif les hérétiques). L’Église demande pardon pour ça (en plus, c’est contraire au message de l’évangile). Croyez-vous que Galilée n’avait pas de considération pour l’Église (c’était un fervent pratiquant) ? Croyez-vous que l’Église n’avait pas de considération pour Galilée (certains jésuites astronomes étaient de fervents admirateurs de Galilée et les écrits d’Aristote sont revenus jusqu’à nous grâce aux moines copistes). Ne faites pas de dichotomie simpliste « gentil », « méchant ». Un problème systémique est irréductible par nature. En simplifiant, on se trompe. Et ce n’étaient pas des enfants de cœur. La bagarre était âpre. Quant à la disqualification, c’est vous qui le dites. Et en le disant, vous vous disqualifiez vous-même. Vous montrez votre étroitesse d’esprit. Et puis vous personnifiez. Monsieur Rochain, Monsieur Hourdequin, peu importe. Si ce ne sont pas eux, ce seront d’autres qui vous diront pareil. Docteur Durand, Docteur Dupont, Docteur Cymes, Docteur Rchain, Docteur Hourdequin, peu importe, ils vous diront tous que pour sortir du tabac ou de l’alcool, c’est abstinence absolue + sport + régime diététique. Ce n’est pas une opinion. C’est un consensus scientifique.

    Répondre
    • Monsieur Hourdequin, je me garderai bien d’entrer dans un débat concernant le sujet de l’inquisition pour lequel je n’ai aucune compétence et qui est hors sujet …

      Toutefois, votre parti pris pour la décroissance qui justifie tout et n’importe quoi selon vous, me conduit à deux interrogations.

      1. Le progrès technique a suscité depuis la découverte de la machine à vapeur des oppositions forcenées dénonçant ses conséquences délétères. Or, les ressources incroyables de l’espèce humaine et de son intelligence ont balayé systématiquement ces craintes et ont fait croire aux capacités de l’homme à s’adapter à ces effets.

      Aujourd’hui, n’est-il pas objectif de reconnaitre que l’espérance de vie augmente partout dans le monde et que les progrès de la science laissent espérer un avenir meilleur que celui qu’auront connu les générations passées ?

      2. Dès lors, au nom de quoi pourrions-nous priver la majorité de l’humanité des bienfaits du progrès technique rendu possibles notamment par la mise à sa disposition de l’électricité qui s’impose de plus en plus comme une énergie vitale, voire stratégique, au même titre que l’eau ? Sûrement pas parce que nos pays dits développés en profitent déjà…

      Au final, nous devrions pouvoir nous rejoindre sur le constat qu’il n’y a pas de solutions miracles pour assurer cette fourniture de l’énergie prise au sens large. Chacun des moyens de production a ses avantages et ses inconvénients, variables selon les territoires concernés.

      Notre souhait est de convenir d’un choix entre les différentes options qui soit fondé sur des critères pertinents et surtout pas selon des considérations dogmatiques qui n’ont aucun intérêt dans cette problématique.

      Pour notre pays, accepter cette règle de base permettrait de réviser la LTECV (Loi pour la Transition Energétique et la Croissance Verte) qui ramène à 50 % la part du nucléaire dans le mix énergétique, en cohérence avec la SNBC (Stratégie Nationale Bas Carbone) et le seul objectif de réduction des émissions de Gaz à Effet de Serre.

      La pertinence de ces critères serait alors à mesurer dans la compétitivité des différents moyens de production, leur réelle contribution à la lutte contre le réchauffement climatique et leur capacité à assurer la sûreté du système électrique et à contribuer à l’indépendance énergétique de la France.

      Une approche qui pourrait aussi se concevoir à l’aune du territoire européen où la diversité des moyens de production permettrait de troquer en force une éventuelle faiblesse de certaines nations, en raison de la prédominance d’une seule filière (au hasard, le nucléaire en France) pour autant que les services rendus au réseau électrique européen soient reconnus et pris en compte.

      Une démarche qui ne saurait se contenter de l’approche déterminée et libérale de Bruxelles qui a fait la preuve de son inefficacité depuis l’ouverture du marché à la concurrence et qui nous valu la loi NOME dans notre pays.

      Le retour en grâce d’un service public à la française qui serait généralisé à l’échelle du territoire européen grâce à l’interconnexion de ses différents réseaux.

      Un beau challenge à relever et, peut-être, une initiative qui trouverait grâce à vos yeux ?…

      Répondre
  • Je n’ai aucun parti pris pour la décroissance. Je dis juste que la croissance infinie dans un monde fini est impossible car contraire aux lois de la physique (elle est dogmatique). Galilée n’est pas hors sujet car il représente la lutte de la science contre le dogme. Si le dogme s’oppose à la science, il saute car les faits (les réalités) sont plus forts que le mensonge. Et ce n’est pas grave, bien au contraire (l’Église n’est pas morte pour autant et elle s’est bonifiée et Galilée est un génie). Ne dramatisons pas !
    Je ne suis pas contre le progrès. Je suis contre un progrès qui détruit l’homme. Et c’est ce qu’il est en train de faire en ce moment (pollution, réchauffement climatique, destruction massive de la biodiversité et du biotope, croissance des inégalités).
    Il suffit juste de redéfinir le progrès et d’utiliser la science à bon escient.
    Vous me parlez comme un alcoolique parlerait à son médecin en lui disant : « Allez docteur, vous me laissez boire un petit coup de temps en temps et j’accepterai de faire votre sport et votre régie diététique ». Que voulez-vous que je réponde : « Ça ne marche pas comme ça, Monsieur, désolé ! Soit vous faites ce que je vous dit, soit vous ne vous en sortirez jamais et c’est bien dommage pour votre femme, pour vos enfants et vos petits-enfants. Si vous ne me croyez pas, allez voir mon collègue qui vous dira la même chose que moi. Contrairement à ce que vous croyez, vous n’avez plus le choix. »
    Le plus beau challenge à mes yeux, c’est de bosser avec les Allemands pour les aider à sortir de leur charbon et eux pour nous aider à sortir de notre nucléaire pour réussir, à deux, la transition énergétique vers le 100% renouvelable. De toutes façons, nous n’avons plus le choix. C’est la seule et unique chance d’arriver à s’en sortir. Ce n’est pas un avis, c’est un consensus et une certitude scientifique. Tout le reste n’est que connerie.

    Répondre
    • Décidemment vous ne pouvez pas vous empêcher d’être inutilement blessant et c’est bien dommage car, en effet, nous pouvons nous rejoindre sur le début de votre texte et convenir que nous ne pouvons qu’être contre « le progrès qui détruit l’homme » (pollution, réchauffement climatique, destruction massive de la biodiversité et du biotope, croissance des inégalités).Qui pourrait être pour ?

      Là où ça se gâte c’est l’analogie avec l’alcoolisme que je pourrai vous retourner mot pour mot. Mais ce serait trop facile et je me contenterai simplement de revenir sur le « mauvais » exemple allemand qui fait la démonstration des limites de l’éolien dans un mix énergétique. Car c’est bien le doublement de sa puissance installée grâce aux centrales charbon démarrées dans l’urgence que nos voisins, qui ont les moyens financiers de leurs ambitions, peuvent pallier l’intermittence des énergies renouvelables intermittentes, rallier le Commission européenne à leur cause et tuer (on revient à juste raison au « crime ») la filière nucléaire française.

      Et à la fin du match, comme vous le savez, c’est toujours l’Allemagne qui gagne et les petits français n’auront d’autre choix que d’importer à grand frais de l’électricité produite par leurs centrales au charbon. L’alternative étant de nous équiper de cycles combinés gaz, ce qui n’est guère mieux et marquerait un recul définitif dans l’objectif de réduire nos émissions de CO2 et de respecter nos engagements pris dans le cadre des accords de Paris.

      Nous renvoyant ainsi dans le rang de ceux que vous dénoncez (pollution, réchauffement climatique, destruction massive de la biodiversité et du biotope, croissance des inégalités).

      La boucle sera ainsi bouclée et ce ne sera pas glorieux pour notre pays.

      Répondre
      • Le problème avec vous M. Desgranges est que vous finissez par être horripilant comme tous les nucléocrates en annonçant dès le départ une formidable fake new sur laquelle s’appuie toute la suite de votre message qui serait raisonnable s’il ne reposait pas sur une fake new !
        Ainsi, vous commencez par :
        « le « mauvais » exemple allemand qui fait la démonstration des limites de l’éolien dans un mix énergétique. Car c’est bien le doublement de sa puissance installée grâce aux centrales charbon démarrées dans l’urgence que nos voisins, qui ont les moyens financiers de leurs ambitions, peuvent pallier l’intermittence des énergies renouvelables intermittente. »
        Sauf que c’est complétement faux et simplement issu du colportage des perroquets du nucléaire car vous ne vérifiez JAMAIS vos informations de base auprès des sites statistiques .
        Il n’y a aucun doublement des centrales à charbon démarrés en urgence chez nos voisin dont le recours au charbon n’a cesser de diminuer (comme le nucléaire depuis 2010, et même avant) comme en témoignent les organismes statistiques qui affichent régulièrement ces progressions reprises par de nombreux médias.
        En conséquence il n’y a aucune panique en Allemagne dans la production croissante de renouvelable qui aurait été rattrapée grâce à l’intervention du charbon tout cela n’est que dans votre tête . Vérifiez ici :
        https://decrypterlenergie.org/la-sortie-du-nucleaire-en-allemagne-entraine-t-elle-une-hausse-des-emissions-de-co2
        En revanche, l’Allemagne vient de porter à 65% ses ambitions dans les renouvelables pour 2035 ce qui n’est pas le signe d’un ralentissement dans cette direction.
        Vous pouviez accéder à ces informations aussi bien que moi ce qui vous aurait évité de propager une fois de plus de fausses informations, et vous devriez comprendre que M. Hourdequin, comme moi-même sommes excédés par ces dizaines de perroquets dont vous faites partie qui passent leur temps à propager des fakes news sans aucun profit pour eux mêmes.. Vraiment que croyez vous gagner à ce prosélytisme en faveur du nucléaire alors que nous avons les moyens de produire propre et sans piller la planètes de ses ressources que nos descendants utiliseront peut-être plus intelligemment qu’en les transformant en énergie rayonnante ? On dirait qu’ayant prêté serment d’allégeance au nucléaire il faut absolument détruire ce qui apparait maintenant comme un concurrent qui va lui ravir sa première place et cela même si vous avez tout à y perdre vous même car il faudra payer.

        Répondre
      • Ne vous sentez pas blessé par l’alcoolisme. Un médecin a toujours beaucoup d’amour et de respect pour ses patients (comme un professeur pour ses étudiants et ses élèves) et l’alcoolisme est une maladie comme une autre (une addiction). La culpabilité (de manque de volonté) est inutile et contre-productive puisque la drogue est plus forte que la volonté. Et le médecin est au service de son patient et ne juge pas mais l’aide. Les médecins sont eux-même victimes de l’alcool et du tabac, comme tout le monde.
        Pourquoi pas « mauvais exemple Français » ? « mauvais exemple Allemand » est un parti pris.
        En vrai, ce qui est mauvais chez les français, c’est le nucléaire (sale, dangereux) et on n’a pas d’uranium chez nous (on va le chercher en Afrique car ce n’est pas interdit alors que ça devrait l’être) + le pétrole et le gaz qu’on n’a pas chez nous non plus (et qu’on importe car ce n’est pas interdit alors que ça devrait l’être) et ce qui est mauvais chez les Allemands c’est le charbon (sale) mais ils en ont chez eux (et ils seraient cons de ne pas l’utiliser puisque ce n’est pas interdit, alors que ça devrait l’être). Ce qui est bon chez les français, c’est « rien » (puisque tout tourne autour du sale, même le petit peu de propre comme l’hydraulique et ils s’entêtent à croire que le nucléaire est propre alors que c’est archi-faux : par exemple dans la taxonomie européenne). Ce qui est bon chez les Allemands c’est le renouvelable et la compréhension que le nucléaire est sale. Ils ont une avance considérable sur nous (30 ans d’avance).
        La fin du match, comme vous dites, c’est quoi ? Si on continue comme avant avec les énergies sales et le gaspillage à outrance, on est tous foutus. Si on arrête avec le sale (abstinence absolue), on a une chance de s’en sortir. Si ça se trouve, viendra le jour où on interdira uranium, charbon, pétrole, gaz naturel et il faudra se débrouiller avec le renouvelable (parce qu’on aura été irresponsables). Il faut donc s’y préparer. Les Allemands sont presque prêts et nous on est en très loin mais ça peut aller très vite si on s’en donne les moyens. On ne réussira pas si l’énergie n’est pas payée à son juste prix (le kWh de steack est à 15 euros alors que le kWh électrique ou de pétrole est à 0,15 euros) et ce n’est pas normal (esclaves énergétiques). Ça entraîne le gaspillage effréné, la mondialisation à outrance et le triple dumping environnemental, fiscal et social. Il faut en sortir si on veut économiser l’énergie pour réussir à se débrouiller avec l’énergie qu’on a chez nous et qui est renouvelable.
        On ne pourra donc pas réussir notre cure de désintoxication sans changer de paradigme.
        Si on ne fait pas ça, ce ne sera pas glorieux pour notre Pays (alors qu’il suffisait de reconnaître qu’on avait tort).

        Répondre
        • Pour information le documentaire suivant est prévu sur ARTE le 24/11/2020:

          https://www.gad-distribution.com/fr/films-documentaires/affaires-publiques-investigations/la-face-cachee-des-energies-vertes

          Voilà des arguments qui vont certainement occuper les claviers prolifiques de messieurs Rochain, Hourdequin and CO, je prévois qu’ils n’y verront que des fake news!

          Gageons que la bataille entre les différentes énergies à notre disposition ne fait que commencer tant la quantité et la qualité de celles-ci ne cesseront de s’amenuiser alors que la demande ne fera qu’augmenter avec les besoins croissants de l’humanité (démographie + consommations) et tout cela en réduisant notre empreinte environnementale (C02, matériaux…).
          Pour ma part je ne parviens pas à conclure que seules les EnR i (et la Bio Masse !) réussiront ce gigantesque défi.
          Laissons nos visionnaires nous répondre.

          Répondre
          • Quand je vois le nom de Guillaume Pitron dans ce genre d’affaire, un journaliste qui a fait des études de droit et qui s’improvise spécialiste dans un domaine où se côtoient science et technologie cela me fait rire, et quand je vois que le titre annonce « la face cachée des énergie vertes » j’ai une confirmation de l’objet de sa recherche : LE SCOOP !
            Continuez à vous abreuver des fadaises de ces guignoles que votre ignorance transforme en gourou de secte.

          • N’empêche que l’uranium, le pétrole, le gaz, le charbon, le gaz naturel, on n’en n’a pas chez nous. Les seules sources d’énergie que l’on a chez nous sont des énergies renouvelables. Pourquoi aller chercher du sale et toxique à l’étranger alors qu’on boude l’énergie renouvelable beaucoup moins sale qu’on a chez nous. Vous vous réjouissez de nos vieilles centrales nucléaires, du stock de déchets dont le plutonium qui va avec et de l’EPR de Flamanville avec ses malfaçons. Réjouissez vous plutôt de la chance que l’on a d’avoir d’immenses façades maritimes, beaucoup de vent, beaucoup de soleil, beaucoup de montagnes, beaucoup d’exploitations agricoles et de lisier de cochon et de bouse de vache (on est les mieux servis d’Europe). Ne pas vouloir admettre que votre religion du nucléaire nous met dans la merde jusqu’au cou et qu’on a tout faux sur toute la ligne est lamentable (honteux). On a tous les atouts en main pour gagner et vous voulez quand même tout faire capoter. C’est couillon.

          • Notez en particulier que les Allemands qui n’ont qu’une seule façade maritime produisent par l’éolien plus de 4 fois et demi plus que nous, que malgré une latitude défavorable au solaire ils en produisent 4 fois plus que nous, que bien que n’étant pas plus agricole que nous ils produisent 4 fois et demi plus de biogaz que nous, qu’ils n’ont pas la chance d’avoir nos montagnes qui nous permettent d’avoir une ressource hydroélectrique près de trois fois supérieure à la leur….. et avec tous ces handicapes par rapport à nos avantages, ils sont en train de réussir leur pari ! Alors pourquoi les partisans du nucléaire veulent-ils que nous échouions ?

    • Je me permets d’ajouter que même si cette croissance infinie devient possible dans la mesure où nous ne puisons plus notre énergie dans les entrailles de la Terre, mais dans les ressources solaires qui elles sont plus qu’infinies rapportées à l’espérance de vie de notre espèce, ce n’est pas une raison pour la gaspiller et c’est pour cette raison que les surproduction des renouvelables soumises au hasard des conditions climatiques seront un jour récupérées et stockées pour être réutilisées dans les temps de disettes ce qui nous permettra d’avoir de moins en moins besoin recours aux renouvelables de moindre rendements comme le biogaz de remplacement des variables, par exemple.
      Mais il ne faut pas oublié que dans l’énergie consommé sur la planète, l’électricité est une part assez faible aujourd’hui. La chaleur, notamment utilisée dans de nombreuses industries peut en revanche être remplacée par l’électricité également source de chaleur, en particulier dans la métallurgie qu’à ma connaissance, seules les usines d’aluminium utilisent car seuls les fours à induction permettent d’atteindre les températures suffisante pour traiter l’alumine de bauxite permettant d’extraire l’aluminium. Il faudra donc produire beaucoup plus d’électricité qu’aujourd’hui pour la substituer aux sources actuelles de chaleurs dont la plupart sont fortement carbonées. C’est donc le solaire qui produit au meilleurs heures du besoin qui devra être le plus fortement développé, reléguant l’éolien, d’une production par ailleurs plus capricieuse, au second rang. L’excédant stockable étant essentiellement d’origine éolien, cela repousse d’autant l’intérêt de cette solution.

      Répondre
  • Quelques commentaires pour me faire plaisir :

    « Quand je vois le nom de Guillaume Pitron dans ce genre d’affaire, un journaliste qui a fait des études de droit et qui s’improvise spécialiste dans un domaine où se côtoient science et technologie cela me fait rire, et quand je vois que le titre annonce “la face cachée des énergie vertes” j’ai une confirmation de l’objet de sa recherche : LE SCOOP !
    Continuez à vous abreuver des fadaises de ces guignoles que votre ignorance transforme en gourou de secte. »

    R: Le ton habituel de ce cher Serge Rochain: dédain, invectives…rien de bien instructif et argumenté, que des OPINIONS comme vous nous le rabâchez si souvent.

    « N’empêche que l’uranium, le pétrole, le gaz, le charbon, le gaz naturel, on n’en n’a pas chez nous. Les seules sources d’énergie que l’on a chez nous sont des énergies renouvelables. Pourquoi aller chercher du sale et toxique à l’étranger alors qu’on boude l’énergie renouvelable beaucoup moins sale qu’on a chez nous. Vous vous réjouissez de nos vieilles centrales nucléaires, du stock de déchets dont le plutonium qui va avec et de l’EPR de Flamanville avec ses malfaçons. Réjouissez vous plutôt de la chance que l’on a d’avoir d’immenses façades maritimes, beaucoup de vent, beaucoup de soleil, beaucoup de montagnes, beaucoup d’exploitations agricoles et de lisier de cochon et de bouse de vache (on est les mieux servis d’Europe). Ne pas vouloir admettre que votre religion du nucléaire nous met dans la merde jusqu’au cou et qu’on a tout faux sur toute la ligne est lamentable (honteux). On a tous les atouts en main pour gagner et vous voulez quand même tout faire capoter. C’est couillon. »

    R: En rien je ne m’oppose par dogme, au contraire de vous, aux différentes énergies renouvelables, mais je ne parviens toujours pas, sur une durée compatible avec les contraintes qui sont devant nous, mettons un demi siècle, à penser que ces EnR pourront se substituer à toutes les autres énergies. Ce qui est couillon pour moi c’est de penser l’inverse, voir criminel si j’osais.

    « Notez en particulier que les Allemands qui n’ont qu’une seule façade maritime produisent par l’éolien plus de 4 fois et demi plus que nous, que malgré une latitude défavorable au solaire ils en produisent 4 fois plus que nous, que bien que n’étant pas plus agricole que nous ils produisent 4 fois et demi plus de biogaz que nous, qu’ils n’ont pas la chance d’avoir nos montagnes qui nous permettent d’avoir une ressource hydroélectrique près de trois fois supérieure à la leur….. et avec tous ces handicapes par rapport à nos avantages, ils sont en train de réussir leur pari ! Alors pourquoi les partisans du nucléaire veulent-ils que nous échouions ? »

    R: Je partage pour l’essentiel les arguments avancés en préambule sauf que je ne peux conclure comme vous qu’ils sont en train de réussir. Rien ne permet une telle conclusion tant il reste d’enjeux économiques (investissements de plusieurs centaines de milliards) et technologiques (équilibrage du réseau)* qui ne sont absolument pas résolus mais je peux comprendre votre enthousiasme. Je pense même qu’ils risquent d’échouer et que les conséquences tant économiques que sociales seraient tellement catastrophiques que je ne leur souhaite pas; et que nous devrions plutôt attendre de voir si leur energiewerden réussie comme vous le certifiez.

    *https://allemagne-energies.com/energies-renouvelables/.
    (Nota: sans doute un imbécile, il semble quand même assez compétent sur le sujet et allemand?)

    « Je me permets d’ajouter que même si cette croissance infinie devient possible dans la mesure où nous ne puisons plus notre énergie dans les entrailles de la Terre, mais dans les ressources solaires qui elles sont plus qu’infinies rapportées à l’espérance de vie de notre espèce, ce n’est pas une raison pour la gaspiller et c’est pour cette raison que les surproduction des renouvelables soumises au hasard des conditions climatiques seront un jour récupérées et stockées pour être réutilisées dans les temps de disettes ce qui nous permettra d’avoir de moins en moins besoin recours aux renouvelables de moindre rendements comme le biogaz de remplacement des variables, par exemple.
    Mais il ne faut pas oublié que dans l’énergie consommé sur la planète, l’électricité est une part assez faible aujourd’hui. La chaleur, notamment utilisée dans de nombreuses industries peut en revanche être remplacée par l’électricité également source de chaleur, en particulier dans la métallurgie qu’à ma connaissance, seules les usines d’aluminium utilisent car seuls les fours à induction permettent d’atteindre les températures suffisante pour traiter l’alumine de bauxite permettant d’extraire l’aluminium. Il faudra donc produire beaucoup plus d’électricité qu’aujourd’hui pour la substituer aux sources actuelles de chaleurs dont la plupart sont fortement carbonées. C’est donc le solaire qui produit au meilleurs heures du besoin qui devra être le plus fortement développé, reléguant l’éolien, d’une production par ailleurs plus capricieuse, au second rang. L’excédant stockable étant essentiellement d’origine éolien, cela repousse d’autant l’intérêt de cette solution. »

    R: Vous avez raison si on adhère à vos hypothèses (discutables) il faudra beaucoup, beaucoup plus d’électricité ce qui rend la solution du tout renouvelable encore pus impossible selon moi avant des décennies, il suffit sans doute d’y croire comme la production d’électricité via la fusion pour le début du XXI siècle! Quand au solaire qui produit aux meilleures heures du besoin……c’est pas clair du tout et encore une fois vous rêvez plus que vous ne démontrez quoi que ce soit.

    A bientôt..

    Répondre
    • Il n’y a pas de discussion possible tant que votre dogmatisme vous masque que le nucléaire est une ressource finie alors que le Soleil et le vent sont là pour toujours, tant que vous persister à croire qu’un parc éolien ou solaire qui se construit en deux ans mets plus de temps à se construire qu’un réacteur nucléaire qui prend 15 ans aujourd’hui, tant que vous persisterez à dire que ceux qui s’approche chaque année de leurs objectifs sont en train de rater leur conversion énergétique. Tant que vous voudrez finalement que nous rations la nôtre, car les allemands qui n’ont qu’une seule façade maritime produisent par l’éolien plus de 4 fois et demi plus que nous, que malgré une latitude défavorable au solaire ils en produisent là aussi 4 fois plus que nous, que bien que n’étant pas plus agricole que nous ils produisent 4 fois et demi plus de biogaz que nous, qu’ils n’ont pas la chance d’avoir nos montagnes qui nous permettent d’avoir une ressource hydroélectrique près de trois fois supérieure à la leur….. et qu’avec tous ces handicaps par rapport à nos avantages, ils sont en train de réussir leur pari ! Alors pourquoi les partisans du nucléaire comme vous, veulent-ils que nous échouions ?
      Vous comprendrez qu’avec de telles agressions à la plus élémentaires des logiques, nous n’ayons plus rien à nous dire.

      Répondre
  • Pour GEGE42, un film intéressant de Public Sénat : Le nucléaire, une catastrophe française : https://www.youtube.com/watch?v=8h73faFqSbQ, que vous allez détester car il ne caresse pas la religion nucléocrate dans le sens du poil.
    Cette religion veut absolument faire capoter le renouvelable en crachant dessus alors que c’est la seule source d’énergie que l’on a chez nous. Pourquoi aller chercher une femme que l’on ne connaît pas à l’étranger que l’on ne connaît pas (moche, toxique et dépensière de surcroît) alors que l’on boude celle qu’on a en face de chez nous, que l’on connaît très bien (belle, économe et pas toxique) ? C’est ça qui est couillon, surtout que la moche refuse de divorcer et qu’elle vous emmerde à mort.

    Répondre
    • Cher Emmanuel HOURDEQUIN,

      Votre incapacité à débattre avec raison vous entraîne même vers des propos sexistes des plus éculés ( chercher une femme…!), je vous ai déjà prévenu vous délirez affreusement, mais n’étant pas psychiatre je me contenterais de rompre avec vous et Rochain (Les Bouvard et Pécuchet du vent et du soleil).
      Adieu.

      Répondre
      • Vous faites encore erreur, la table de logarithmes c’était Bouvart et Ratinet , mais la culture scientifique ce n’est pas votre tasse de thé.

        Répondre
        • Et non je ne me suis pas trompé, mais borné (c.n?) que vous êtes vous ne pouvez pas apprécier (sic!) la littérature.

          Oups! c’est un retour sur les délires du Docteur en physique Hourdequin qui m’ont fait revenir sur ce commentaire ….

          Répondre
  • C’est une allégorie qui n’a rien de sexiste (un homme qui cherche une femme ou une femme qui cherche un homme est un lieu commun). La femme, c’est la source d’énergie, l’homme c’est la France. Il n’y aucun délire à parler de mariage forcé entre la France et le nucléaire civil sans consentement du peuple, sans uranium dans notre pays, pas plus que de pétrole ou de charbon ou de gaz donc avec tromperie sur la marchandise (1974, flambée du prix du pétrole : « En France on n’a pas de pétrole, mais on a des idées…). Toxique et dépensière, c’est pour les mensonges, les déchets et les accidents non assurés. La France est prise au piège, divorcer pour se remarier avec les belles sources d’énergie renouvelables de chez nous semble impossible à cause du lobby nucléaire qui joue les harpies pour le pire alors qu’on mérite le meilleur. Adieu, vous ne me manquerez pas, mon cher GEGE42. Vous êtes décevant. Vous ne voulez jamais rien comprendre avec votre blocage et il faut toujours tout vous expliquer et vous réexpliquer. Ça demande une sacré dose de patience et de persévérance que d’essayer de vous venir en aide. Mais c’est pour la bonne cause, c’est à dire pour le bien de la France.

    Répondre
    • Mon cher Hourdequin on perd son temps avec les religieux. Même au milieu d’un désastre nucléaire, entourés de pays voisins producteurs exclusifs d’énergies renouvelables et qui vivraient dans le même temps une douce quiétude, les Gégé42, les Cochelin et autres irréductibles diraient encore que les autres sont en faillite, que la preuve en est faite, et que nous avons la chance de vivre un grand moment que ces autres ne connaitront jamais car ils n’ont pas pris le bon chemin., n’ont pas fait le bon choix.
      Oublions les, l’uranium sera d’autant plus vite épuisé qu’ils seront nombreux à y recourir.

      Répondre
  • Mon cher Rochain, je tenais à vous dire que vous faites un travail remarquable. Je suis tombé par hasard sur ce site. Il est du même genre que Contrepoints (Michel Gay) que vous devez connaître. Heureusement que vous êtes là. Je voulais aussi dire aux GEGE42, Cochelin et autres irréductibles qui s’étonnent de notre réactivité (claviers prolifiques) que c’est toujours plus facile de de dire la vérité que de mentir. Ça ne doit pas être facile tous les jours de dire et de faire croire que l’uranium assurerait notre soit-disant indépendance énergétique alors qu’on n’en a pas chez nous avec tout ce qui en découle (déchets dont le plutonium) qui n’a rien d’un cycle, est ni propre, ni pas cher ni sans danger ni sans CO2 ou faire croire qu’une centrale nucléaire est pilotable et démantelable sans risque et gratuitement et que Tchernobyl et Fukushima, ce n’est pas grave et que les piscines de désactivation ou le risque de casse de la cuve d’un réacteur comme l’EPR Flamanville ce n’est pas dangereux et que EDF et Areva (Orano) ne sont pas en faillite et pas subventionnés massivement à coups de milliards d’argent public. Pas facile aussi de dire qu’une centrale nucléaire est bien adaptée au changement climatique avec tantôt des inondations et tantôt les cours d’eau à sec, sans oublier la contamination COVID-19 ou autre réjouissance (virale, microbienne ou radioactive) due à la destruction du biotope (pour la sacrosainte croissance infinie dans un monde fini). Et pas facile de dire qu’on ne peut pas exploiter nos sources d’énergie renouvelable qu’on a chez nous et économiser l’énergie en la payant plus cher parce que ça ne pourrait pas marcher. Bien sûr, ils diront que ce sont nous les menteurs. Mais qu’ils sachent que nous utilisons la science que nous avons apprise à l’école car ce n’est pas une opinion, ni un mensonge (contrairement à la politique) mais une recherche de vérité (Galilée a tout compris en regardant les phases de vénus ou les satellites de Jupiter) et que la vérité et les faits sont têtus (la Terre tourne autour du Soleil sans jamais s’arrêter). La science donc la vérité qui en découle élève l’homme et le construit alors que mensonge le rabaisse et le détruit. Il nous faut donc persévérer dans la dénonciation du mensonge pour le bien de notre pays et des pays voisins comme l’Allemagne qui seront les premiers touchés en cas d’accident nucléaire chez nous.

    Répondre
    • Cher Monsieur Hourdequin,
      Bravo, vous avez gagné avec Monsieur Rochain le droit de nous oublier comme il vous recommande de le faire !… Vos interlocuteurs, lassés par une agressivité qui n’ajoute rien à vos arguments, semblent vous abandonner dans votre océan de certitudes.
      Bien à vous.

      Répondre
  • Un peu facile Monsieur DESGRANGES. Devoir choisir entre peste et choléra ou entre alcool et tabac ou entre charbon, pétrole ou uranium-235 (qu’on n’a pas chez nous de surcroît) n’a aucun intérêt, à part d’en crever si on a envie de se suicider mais ce n’est pas mon cas (et ça n’a pas l’air de vous déranger, vous). Tout ça, c’est blanc-bonnet bonnet-blanc et ça conduit à notre perte dont vous êtes en partie responsable. Commençons par faire un référendum sur la sortie de l’industrie de la fission de l’uranium-235 et on verra bien ce que les citoyens qui financent tout ce merdier en pensent (mais je sais très bien que la technocratie nucléocrate X-mine qui nous gouverne s’y oppose de toutes ses forces en jouant les pots de fer). Vous voulez rester bien au chaud dans vos certitudes en refusant de vous remettre en question et en mentant depuis le départ et jusqu’à la fin, mais n’oubliez pas que le mensonge finit toujours par se payer et que la vérité finit toujours par l’emporter au bout du compte. Et n’oubliez pas qu’en cas d’accident nucléaire en France, vous serez contaminé comme tout le monde. Donc je ne vous le souhaite pas et je défends vos intérêts à votre corps défendant. Ça part d’une bonne intention. Bien à vous.

    Répondre
  • @HOURDEQUIN Emmanuel
    Tout le monde croit détenir la Vérité n’est.ce pas.
    Bon, au fur et à mesure, chacun déroule ses arguments et venant de l’extérieur, je dois bien me rendre à l’évidence que le nucléaire est la solution la plus écologique de produire de l’électricité…
    D’ailleurs, les néerlandais en conviennent:
    https://t.co/86eZRi9eMM?amp=1

    En fait, les lignes commencent à bouger doucement en faveur du nucléaire en Europe: Europe de l’Est, du Nord, Pays-Bas, UK.
    Même aux USA, John Kerry, suivant la décision du parti démocrate vient de dire « il fau ty aller » pour le nucléaire civil.
    Bon, l’Europe sera le dernier grand continent à prendre le train après la Russie, la Chine et maintenant les USA.

    Répondre
    • On peut toujours se rassurer en ignorant les acts de ceux qui agissement et rechercher avec frénésie la moindre information concernant une éventuelle hypothèse qui soit en première approximation éventuellement peut être un peu favorable à sa conviction religieuse, comme cette affaire de nucléaire aux pays Bas qui pour l’instant n’en n’a pas et n’en n’aura probablement jamais tant ils ont des ressources alternatives possible en renouvelable a bien meilleur coût et bien plus rapidement. Je vous trouve pitoyable de croire aux miracles à votre âge.

      Répondre
  • Et quand la mer aura monté de 1m, il n’y aura plus de place pour les centrales nucléaires à fission de l’uranium-235 aux Pays-Bas. C’est, me semble-t’il, une drôle d’idée, assez douteuse et plutôt fumeuse.

    Répondre
    • @HOURDEQUIN Emmanuel
      Croyez-vous réellement que cette montée des eaux potentiellement dramatique à l’échelle d’un pays soit un problème rhédibitoire pour une centrale électrique qui ne couvre que quelques hectares ?
      Surtout aux Pays-Bas….

      Répondre
  • Vous êtes dans la croyance que votre religion nucléaire sauvera l’humanité et vous avez tout faux. Ça ne sauvera rien du tout mais ça va tout envenimer au contraire parce que c’est dangereux, surtout si ça a les pieds dans l’eau (augmentation du niveau de la mer, ouragans, tempêtes) ou si les cours d’eau sont à sec (dérèglement climatique). Et avec le nucléaire, on reste dans l’illusion que la croissance infinie dans un monde fini est possible (les physiciens appellent ça une divergence exponentielle qui mène au crash) alors qu’en vrai, on consomme trois planètes Terre et on détruit notre biotope donc on creuse notre dette environnementale et on coupe la branche sur laquelle on est assis (on est dans une illusion de croissance – qui est une connerie dogmatique et religieuse d’économiste et de politique – car on creuse notre dette environnementale donc notre tombe, à toute vitesse et c’est débile, à moins d’avoir envie de se suicider et ce n’est pas mon cas). On a déjà tué les 2/3 des animaux et des insectes et coupé les 2/3 des forêts. Soit on arrête (interdiction de détruire l’écosystème pour des raisons de crime d’écocide donc de crime contre l’environnement) et on aura une chance de s’en sortir, soit on ne fait rien et c’est ce qu’il y a de pire. Depuis 1974, on ne fait rien. Alors, faire la fission de l’uranium-235 et des déchets et des Tchernobyl et des Fukushima et de l’énergie nucléaire transformée à 99,99% en énergie thermique pendant plus de 100000 ans pour faire en trois an un petit peu d’électricité qui chauffe les fils et beaucoup de plutonium, ce n’est pas ça qui va faire avancer le schmilblick (ça va plutôt le faire reculer). Tout ce qui est criminel (crime d’empoisonnement, pollution massive, déstabilisation entropique du cycle du carbone, assassinat massif de toutes les formes de vie, etc.,) doit être interdit par la loi. Si la loi n’existait pas, on ne pourrait pas sortir dans la rue sans risque d’être assassiné. La loi est donc utile pour pouvoir vivre en société. Et les lois qui protègent l’écosystème protègent l’homme puisque l’homme est un sous-système de l’écosystème.

    Répondre
    • Votre liste de catastrophes environnementales justifient tout à fait le devoir de sobriété de nos sociétés.
      Maintenant que nous somme d’accord sur ce point, discutons de quel niveau d’impact sur l’environnement pouvons-nous accepter, à 8 milliards d’habitants voir plus.
      Dit autrement, quelle destructions de quels ecosystèmes pouvons-nous accepter au minimum? Et comment construire une vie en société dans ce cadre?

      Répondre
  • Si je le savais, j’aurais le prix Nobel. Ce que je sais, c’est que le nucléaire est une religion d’État mensongère. Je sais aussi que la sacrosainte croissance infinie dans un monde fini est un dogme mensonger. Et je sais que toutes les religions qui mentent sont mauvaises. La croissance à 2 chiffres, comme en Chine (on fait tout faire chez eux), ça n’existe pas, contrairement à ce qu’on nous bassine à longueur de temps. Ce qui existe, en réalité, dans les faits scientifiquement démontrés et déjà passés, donc certains, c’est une dette environnementale abyssale à 3 ou 4 chiffres qui augmente exponentiellement (on consomme trois planètes Terre et bientôt cinq ou sept en massacrant tout notre écosystème). Bien sûr, on oublie de la compter parce que ça nous dérange comme on oublie de compter le plutonium ou Fukushima ou les 100000 ans de radioactivité des déchets et le rendement pitoyable de conversion (on dégrade 99,9999% d’énergie nucléaire noble en chaleur non noble en s’empoisonnant. Ce sacrifice est inutile car la fission de l’uranium-235 est la pire manière de faire bouillir de l’eau et de faire de l’électricité. Un mauvais dogme doit être abandonné. C’est ce que dit la science (rien ne dérange un scientifique, à part d’être en désaccord avec la réalité). Il faut se débrouiller avec l’énergie qu’on a chez soi, c’est à dire uniquement l’énergie renouvelable en France. Il faut arrêter de gaspiller en imitant la nature qui se débrouille avec ce qu’elle a, c’est à dire l’énergie solaire avec la photosynthèse (la survie animale repose sur les végétaux, l’économie d’énergie, la communication, l’échange, la symbiose, l’harmonie et l’équilibre). Il faut la protéger plutôt que de la détruire (en considérant et en respectant la vie comme un sujet et non plus comme un objet en arrêtant de se comporter en prédateurs et en massacreurs systématiques obsédés par l’argent). La loi doit nous aider à nous respecter. C’est l’homme qui écrit la loi et la fait évoluer. Il doit comprendre qu’il est un sous-système de l’écosystème et non l’inverse. En le protégeant par sa loi, il se protège lui-même. Une énergie faite maison, à la maison, chère, donc respectée, utilisée avec parcimonie et à bon escient est scientifiquement parlant (par rapport à l’instabilité d’un système en divergence exponentielle) le meilleur chemin à suivre. C’est d’ailleurs celui que la nature a choisi (elle a 4,5 milliards d’années d’expérience et nous a créés, donc, nous pouvons lui faire confiance). En la maltraitant, nous nous tuons nous-mêmes.

    Répondre
    • Bon, vous êtes colère, ce que je comprends bien.
      Maintenant que vous avez dit votre vérité, que faisons-nous ?
      Au pluriel, le « nous », nous, les 8 milliards d’humains. Surtout les 7 milliards plus pauvres que nous.

      Parce que dire que tout ce que l’on fait, c’est pas bien, ca ne va pas faire avancer le schmilblick et vous convaincrez vous-même et quelques copains d’avoir raison, mais le reste de la planète ne vous suivra pas.

      Donc, même si, comme vous le suggèrez, on se limite à la France, On commence par quoi?
      Mon choix est que l’on commence par l’energie fossile.
      Le reste, donc l’électricité, même nucléaire, on n’y touche pas, voire même on renforce ce qui marche (des nouvelles centrales hydro, nucléaire et biomasse)
      Déja faire ce choix, c’est enlver 70% de l’énergie disponible en France. Et ce sera un miracle si on y arrive.
      Alors, enlever encore ce qui produit de l’électricité avec la plus faible empreinte écologique possible aujourd’hui, cela fait passer l’objectif à -90%, encore moins atteignable.
      Et si c’est vraiment désirable, on pourra toujours le faire lorsque les 70% d’énergie fossile auront été sorti de France.
      L’urgence, c’est les fossiles.

      Répondre
    • Je voudrais bien savoir comment HOURDEQUIN Emmanuel trouve qu’on dégrade en chaleur 99,9999% de l’énergie nucléaire.
      (smiley « mister Green »)

      Répondre
      • Et en quoi croyez vous que se transforme la force nucléaire de cohésion entre protons qui avait réussi a contrecarrer la répulsion coulombienne si ce n’est en chaleur ordinaire, ce que l’on peut faire en cramant n’importe quoi sans attenter à l’intégrité des nucléons ?

        Répondre
  • Faux ! Faux dilemme ! Et je ne suis aucunement en colère. J’observe la réalité comme un médecin observe un cancer avec l’œil du scientifique (sang-froid et concentration). L’Allemagne va dans le bon sens et est très en avance. La France va dans le mauvais sens et est très en retard et s’entête et persiste encore et encore dans l’erreur diabolique au détriment des Français qui payent et dont on a jamais demandé l’avis et des Allemands qui ne veulent pas être contaminés et qui ont donné leur avis et leur refus et de tous les habitants des autres pays voisins qui n’ont as envie d’être contaminés. Tout le monde est pénalisé par une religion qui ment, n’écoute qu’elle et s’impose par la force en coupant l’issue de secours (crime organisé, écomafia d’État, nucléocratie psychopathe qui nous fait jouer à la roulette russe avec notre argent pour nous tuer). L’urgence, c’est le référendum sur la sortie du nucléaire civil en France. Imaginez qu’on le fasse, ce sera une grande opportunité ! On aura de l’argent et un objectif impérieux pour rattraper les Allemands et jouer stratégiquement ensemble et pas contre. On pourra s’occuper dignement des vieux déchets sans en créer d’autres car on ne sait pas quoi en faire (quand on ne sait pas et qu’on est dans la merde jusqu’au cou, on arrête d’en rajouter comme on coupe l’arrivée de gaz lors d’un incendie par mesure de précaution). Risques d’accidents et d’attentats nucléaires en baisse. Travail en commun avec les allemands ayant une bonne expérience en démantèlement. Mise en commun de nos moyens scientifiques, technologiques et financiers. En deuxième, urgence, il faudra s’occuper du crime d’écocide au niveau Français, Européen puis mondial, pour interdire le pétrole, le charbon, le gaz naturel, de schiste et l’uranium dans l’intérêt supérieur de l’humanité (pour préserver l’habitabilité de la planète pour nos enfants). Tout cela génèrera l’augmentation du prix de l’énergie, le circuit court, la revitalisation du tissu industriel local, plus de sobriété, plus de travail, moins de pollution, moins de dépenses de santé, moins de catastrophes « naturelles » qui n’en sont pas à payer avec notre argent public et moins de tragédies humaines. Ce n’est pas si insurmontable ni indésirable que ça au final, si on est pragmatique. En on n’a pas le choix. Tabac, alcool, nucléaire, charbon = abstinence absolue ou rechute mortelle.

    Répondre
    • Bon, j’essaie de trouver une logique à votre discours: Si, l’objectif n’est plus la sobriété pour limiter l’impact écologique (ce que je déduis de votre argument de faire équipe industrielle avec l’Allemagne), il semble que celui-ci soit bien de rendre la France plus compétitive pour ses habitants.
      Selon vous, c’est en ré-orientant de l’industrie nucléaire vers celle des ENRs.

      Puis, dans ce cadre, de réduire l’impact environnemental (avec l’outil de l’écocide par exemple).

      Vous semblez dire aussi que l’industrie nucléaire n’est pas aussi valable que celle des ENRs et du coup détourne nos efforts pour nous diriger vers les ENRs. Vous citez le nucléaire crée des déchets ingérables, l’industrie nucléaire ment, « contamine » (je n’ai pas compris comment par contre) et risque d’accidents ou d’attentats.

      À quel niveau de certitude êtes-vous sur ces sujets ? Par exemple, celui des déchets, entre 1 et 100 (100 étant absolument sûr), quelle valeur donnez-vous à l’affirmation que « l’on en sait pas quoi faire (des déchets) » ?

      Répondre
  • Vous je sais que vous croyez à 100% au dogme faux selon lequel l’industrie de la fission de l’uranium-235 est bonne pour l’humanité. Je sais que Bure ne s’occupe pas du plutonium, fermerait irréversiblement dans 100 ans (argilite friable) alors que la durée de vie est de 100000 ans donc dans un millième de fois le temps nécessaire (très responsable). Alors, on en fait quoi du plutonium ? Bure est le cheval de Troie du lobby nucléaire pour poursuivre sa fuite en avant (avancer pour ne pas tomber) sans aucune remise en question ni référendum populaire. Et pendant ce temps là, tout le fric va dans le nucléaire et on a 30 ans de retard sur le renouvelable pour nous forcer à l’immobilisme et nous mettre devant le fait accompli. Sans danger, sans CO2, pas cher, assuré, commissionné, cycle, écologique, indépendance énergétique, pilotabilité, seule solution possible, gestion, déchet, propre, recyclable… mon cul, rien que de la propagande et du foutage de gueule avec absolument rien de scientifique. Que voulez-vous faire de bien avec nos voisins quand on se dispute sans cesse en disant qu’ils sont nuls et quand nos voisins disent la même chose de nous à cause d’un gros mensonge impardonnable sur le nucléaire qui sème la zizanie. Ça fout la honte à la France et plus particulièrement à ses coqs arrogants sur leur tas de fumier.

    Répondre
    • Mon cher Hourdequin, depuis le temps que je vous dit qu’il est inutile de discuter avec ces zozos qui a chaque fois qu’ils sont pris la main dans le sac reviennent à la charge en essayant de finasser . J’en ai un qui me croyait me la jouer grande France avec l’indépendance énergétique que nous donnait le nucléaire qui nous aurait débarrassé du pétrole arabe et cette indépendance était indispensable. mais quand je lui ai appris que pour le combustible de nos centrales nous étions 100% à la merci de l’étranger, sa réponse a été : La belle affaire, nous avons 10 ans de stocke en France(Ce qui est faux) et de plus, après c’est une affaire de commerce international comme les autres, il n’y a pas de problème. !! (SIC).
      Avec des dialogues comme ceux là, mon message suivant c’est : J’en ai mare que des crétins incultes puissent croire qu’ils peuvent me prendre pour un con !
      Mais invariablement ensuite, il arrive toujours au moins un message du genre : vos insultes décrédibilisent tous vos arguments, ou encore, les insultes sont les arguments de ceux qui n’en n’ont pas. alors laissez tomber nous avons mieux à faire que de leur apporter une connaissance qui ne les intéresse pas, ils veulent simplement nous faire admettre qu’en dehors du nucléaire il n’y a pas de solutions, sans même être capable imaginer que cela est inacceptable de notre point de vue, d’abord parce que c’est faux, et qu’en plus ce serait la pire des solutions si c’en était une. Vous voyez, on perd forcément notre temps.

      Répondre
commenter

Répondre à HOURDEQUIN Emmanuel Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

on en parle !
Partenaires
20 nov 2015
Les principales causes de mortalité dans le monde : mise en perspective
20 nov 2015
Les principales causes de mortalité dans le monde : mise en perspective
20 nov 2015
Les principales causes de mortalité dans le monde : mise en perspective
20 nov 2015
Les principales causes de mortalité dans le monde : mise en perspective
20 nov 2015
Les principales causes de mortalité dans le monde : mise en perspective
20 nov 2015
Les principales causes de mortalité dans le monde : mise en perspective
20 nov 2015
Les principales causes de mortalité dans le monde : mise en perspective
20 nov 2015
Les principales causes de mortalité dans le monde : mise en perspective
20 nov 2015
Les principales causes de mortalité dans le monde : mise en perspective
20 nov 2015
Les principales causes de mortalité dans le monde : mise en perspective
20 nov 2015
Les principales causes de mortalité dans le monde : mise en perspective
20 nov 2015
Les principales causes de mortalité dans le monde : mise en perspective