Bornes de recharge et nouveaux raccordements: Enedis prévoit des investissements historiques

Le raccordement des infrastructures de recharge des véhicules électriques et des nouveaux parcs solaires et éoliens au réseau de distribution d’électricité nécessitera un niveau historiquement élevé d’investissements de plus de 5 milliards d’euros par an d’ici 2032, a annoncé Enedis lundi.

Filiale d’EDF, Enedis présentait pour la première fois à la presse son plan « préliminaire » de développement du réseau.

Ce plan évoluera selon la prochaine feuille de route énergétique que le gouvernement doit faire voter prochainement dans la loi de programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) pour 2024-2033, mais Enedis a préféré ne pas attendre pour envoyer un message à ses partenaires industriels.

« Cela veut dire à tous, c’est parti, ça décolle, faites des usines, vous pouvez investir sereinement et embaucher (…) Il faut s’équiper et foncer », a lancé Hervé Champenois, directeur technique d’Enedis.

L’entreprise de 38.000 salariés accélère elle-même ses embauches cette année.

« Dans son ensemble, la trajectoire de référence du plan de développement du réseau induit une augmentation d’environ 20% des Capex (dépenses d’investissements, NDLR) d’Enedis sur la période 2022-2032 pour atteindre plus de 5 milliards d’euros annuels », selon le plan d’Enedis.

Cela représente 75% de plus que la moyenne historique annuelle des quarante dernières années 1980-2020 de 2,9 milliards d’euros.

En 2022, les investissements d’Enedis ont atteint 4,4 milliards d’euros. D’ici 2040, ce sont au total 96 milliards d’euros d’investissement qui sont prévus, a rappelé l’entreprise.

Pour se financer, Enedis prévoit « un recours maîtrisé à de la dette » avec un programme d’émissions d’obligations vertes qui a déjà commencé et va se poursuivre.

Enedis prévoit aussi « une augmentation maîtrisée » de la taxe d’acheminement de l’électricité appliquée au consommateur final, ou Turpe.

« On est sur des hypothèses d’augmentation inférieure ou limitée à l’inflation dans la durée », a précisé le directeur régulation d’Enedis Christophe Gros.

La Turpe représente environ 30% de la facture d’électricité. Elle finance aussi les investissements du gestionnaire des lignes haute tension RTE.

Enedis est dépositaire de 95% du réseau français de distribution, soit 1,4 million de kilomètres de lignes qu’il faut entretenir, réparer et moderniser.

Malgré les efforts consentis pour consommer moins d’électricité, les usages électriques vont se développer et Enedis fait face à ce qu’elle qualifie de « triple défi »: la voiture électrique, le rattrapage français dans le solaire et l’éolien et la nécessité d’améliorer la résistance du réseau face aux risques climatiques, tempêtes ou vagues de chaleur.

commentaires

COMMENTAIRES

  • Le prix de l’électricité n’est pas près de baisser pour le « Français moyen » en espérant que les autres choses indispensables à une vie descente n’augmentent pas trop et trop vite non plus (nourriture, transport, habillement, Impots&Taxes diverses …).

    On ne peut pas dire que 2022 aura été une année de progrès de « pouvoir d’achat » du Français moyen mais cela risque d’être une année parmi d’autres sur la route de la « sobriété imposée » par le manque de ressources et certains choix politiques européens… (pour certains « sobriété imposée » veut dire misère ou pauvreté, au début on pourrait aussi dire que c’est de l’abstinence collective utile à la Nation (histoire de positiver…), à force ce sera vraiment de la pauvreté…).

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    • @ »Père Vert » Serge,

      Descendez de vos étoiles et de la Lune, ENEDIS participe à une grosse part des raccordements des ENRi depuis le début… Mais maintenant cela commence à chiffrer fort !!!

      Le PV individuel au Nord du 45ème parallèle qui permet à du monde d’autoconsommer une partie de l’année et donc de ne pas payer les frais de réseaux (tout en étant subventionné par l’état) proportionnellement à la consommation, n’empêche pas à ces « auto consommateurs » de débarquer sur le réseau pour ponctionner de belles quantités d’électricité souvent au pire des moments en période hivernale… Personnellement, je pense que ces compteurs devraient être identifiés et qu’on s’organise pour les délester du réseau en cas de manque de production et ce en priorité (Pas de contribution à l’année, pas de garantie d’électricité…).
      Craner une partie de l’année et ne pas payer pour les réseaux collectifs à hauteur de sa consommation, puis venir en Hiver au pire des moments pour ponctionner le réseau c’est assez égoiste (Avis Perso) mais dans notre monde libéralo-écolo-individualiste c’est bien vu !!! (Relire « la Cigale et la Fourmi » fait du bien par moment !)

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  • Du côté des interconnexions, j’ai l’impression que l’Europe est plutôt à l’arrêt !
    Il y aura le « Viking Link » 1,4 GW entre le RU et le Danemark à la fin de l’année, mais tout le reste semble lointain, à + de 5 ans.
    Par exemple, les +2 GW entre la France et l’Espagne reportés à 2028.

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    • Les raccordement, c’est bien mais ça ne produit pas d’électricité, ça la déplace, et on ne déplace que ce que l’on a en trop.
      Qui produit trop suffisamment souvent pour que ça valle la peine d’investir pour l’envoyer chez le voisin si ça coûte moins cher au voisin d’installer des dispositifs qui eux vont produire de l’électricité ?
      Les dispositifs de production qu’installerait le voisin ne lui serat profitable qu’à lui alors que l’interconnexion pourrait aussi me profiter quand je suis le demandeur. Qui est le plus souvent demandeur ? Quand je suis demandeur, le voisin est-il en surproducttion ? Quand il est demandeur, suis-je en surproduction. ?
      La réponse n’est pas si simple.
      La France (Macron) vient récemment de décidé, et qu’importe la raison, de devenir exportateur potentiel nocturne. Nos voisins auront ils un besoin nocturne qu’ils ne pourront pas satisfaire, par exemple en misant lourdement sur le solaire PPV sans avoir investit dans le renouvelable pilotable ?
      Mais nous mêmes afin de ne pas avoir une trop forte production nocturne que nous ne pourrions pas suffisament écouler n’avons nous pas limiter notre capacité de production linéaire trop prés de notre besoin diurne, notamment en hiver quand nos voisins limités eux aussi en solaire ne seront pas en capacité de nous secourir ?
      Non la réponse quant à l’urgence des interconnexions n’est pas simple, et dépend fortement des choix des voisins qui peuvent changer d’avis au moindre coup de semonce politique quelque part dans le monde, et pas seulement à nos frontieres….. Où donc est la véritable urgence dans le choix des investissements dans des environnements aussi instables ?

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      • Une sacrée « instabilité » dans vos raisonnements « Père Vert » Serge !!!

        Heureusement qu’une des conditions nécessaires (et cumulées à d’autres) de Futurs 2050 de RTE est une capacité d’interconnexion de 39GW !!!

        Mais le « Père Vert » connait mieux le sujet que quiconque… Il a des scénarios et des relevés fiables et sérieux ! LOL Jaune !
        Faisons lui confiance pour continuer de tenter d’éclairer le sujet avec sa « vessie magique » !!!

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        • Marc je n’en conteste pas l’intérêt mais le niveau de priorité. L’Espagne peut s’interroger…. Si le coût est partagé entre la France et l’Espagne…. pour les 15 ans à venir, qui va en profiter le plus entre nos deux pays ? Ça peut faire réfléchir les espagnols…?

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    • @Marc,

      Oui c’est inquiétant le manque d’interconnexion avec toutes les installations d’ENRi de partout, sauf pour les marchands de Gaz… (On a fait +1GW avec l’Italie l’an dernier… tout de même)
      Sans interconnexions, les écrêtements vont être colossaux (de l’électricité « cramée » pour rien…) Du Gachis !!!

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      • APO: concernant l’éolien, il me semble que in fine, à l’échelle de 40 ans, les écrêtements pourraient être peu coûteux, si cela permet de prolonger la durée d’exploitation de ces machines.
        Concernant le PV, il faudrait rajouter des systèmes de couverture qui alourdiraient le coût pour évite l’usure. Le PV s’use essentiellement par fatigue thermique.
        Les écrêtements seront, dans une vision à LT peut-être pas si couteux que cela.

        Oui, + 1GW avec l’Italie est une bonne chose.
        L’année dernière, il y a eu aussi + 1GW avec le RU par le Eleclink qui passe par le tunnel sous la Manche et en 2021, il y avait eu également +1 GW avec IFA2
        Ces interconnexions sont déjà abondamment utilisées.

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        • Marc, les raisonnements binaire des nucléophiles les aveuglent, ils parlent d’intermittence, de gachis des surproductions, …… les interconnexions, sans être inutiles sont la plus mauvaise façon d’imaginer quoi faire des surproductions, sans paler de ceux qui en tirent le plus de bénéfices comme déjà évoqué, il est bien plus judicieux de s’équiper pour pouvoir les stocker, avec des steps par exemple. Une forme d’autoconsommation à l’échelle du pays. L’interconnexion impose deux conditions simultanées, avoir une surproduction et avoir un client demandeur ! Rien ne prouve que ce sera une situation fréquente lorsque les équipement des différents pays voisins seront correctement dimensionnés pour permettre l’autosuffisance drappées dans le manteau de la souverainetée énergétique.
          Pour la petite histoire je viens d’assister ce soir à une table ronde au sujet du nucléaire faisant intervenir essentiellement des journalistes, des politiques, apparement aucun ingénieur, Anne Lauvergeon, et une candide qui posa quelques questions et ce fut le moment de la rigolade pour moi. Lauvergeon ayant prononcé le mot « isotope » à propos du nucléaire médical la candide lui demanda « Qu’est ce que c’est un isotope ? » Et bien figurez vous, et c’est à peine croyable de la part de l’ancienne directrice d’AREVA qu’elle a été incapable de l’expliquer ! Elle s’en est tirer en disant que c’était ce qu’envoyait les instrument médicaux comme les scanners et les IRM.! Je suppose qu’à l’heure présente l’émission étant terminée, elle doit être en train de consulter un dictionnaire pour savoir de quoi il retourne.

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          • @ »Père Vert » Serge,

            Anne Lauvergeon n’est pas exempte de toutes critiques (bien au contraire !) mais niveau sciences et Mathématiques (elle a fait Normal Sup et le Corps des Mines tout de même), elle ratatine beaucoup de monde (moi le 1er, mais le Pépère aussi et tant d’autres…)… Mais je pense que Niveau EGO entre « Père vert » Serge et Atomic Anne, il y a une photo à faire pour savoir qui est en tête !!!

            Avec le « Père Vert » pépère ou « Quand l’Hôpital psychiatrique se fout de la Gueule des âmes charitables qui le financent… » !

            Nota : C’est vrai que débattre du Nucléaire sans savoir ce qu’est un isotope, c’est compliqué ! Et expliquer cela à quelqu’un, on commence par où !? la définition de base d’un atome, puis ce qu’est un électron, un proton, un neutron, … (en 3 mots si « Père Vert » peut expliquer la notion d’isotope pour des journalistes littéraires…, histoire de voir comment il s’emmêlerait les pinceaux, LOL)

            P.S.: Charpak s’était fait esbroufé par Mamère lors d’un débat télé sur le Nucléaire… (La Télé c’est souvent de l’esbroufe à l’atat pure, juste une histoire de Gueule…).

  • Personne ne pourra dire qu’il ne savait pas que l’extension massif des réseaux de distribution ( bornes électriques…) et de raccordement des EnRi , nécessite des investissements considérables pour assurer le transfert des usages vers l’électrique (consommation) et la transition électrique vers le renouvelable diffu par nature (production).
    Y a pu qu’à ! En n’oubliant pas de bien informer les consommateurs que les factures d’électricité ne pourront qu’augmenter au travers de la TURPE (taxe d’utilisation du réseau) pour ne pas leur laisser croire que le renouvelable c’est pas cher ! Oui peut-être en sortie des éoliennes et des PV , mais avec le réseau ça devient cher !
    RdV dans quelques années pour faire le bilan du prix de l’électricité….

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    • @victor,

      Vous avez oublié dans les couts le Back-up avec ses diverses composantes (rémunération de capacités et production pure avec les stockages de l’hydrogène en cas d’orientation dans ce choix…) ainsi que tous les équipements d’équilibrage réseau en 100% ENRi.

      (sauf chez le « Père Vert » où il fait l’équilibrage avec sa perceuse histoire de bien creuser le sujet et encore davantage le trou où il est enfermé… C’est pour certains un fabuleux producteur de N2O le Pépère…).

      Répondre
    • Le réseau diffus existe déjà car les clients sont diffus. Les renouvelables eux mêmes diffus n’imposent pas ou que très peu de réseau supplémentaire contrairement aux moyens de production d’électricité peu nombreux et hyper concentré qui ont nécessité la création d’un réseau superposé au réseau diffus préexistant et dimensionné pour des transports massifs de puissance qui aurait été inutile si on avait choisi une production atomiser comme l’est la clientèle.

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      • @ »Père Vert » Serge,

        C’est marrant tous les opérateurs « réseaux » de transport électrique (mais Vraiment TOUS !) ne partagent pas votre opinion et la simplicité avec laquelle vous la présenter !

        Pour les transports de DATAs, vous pouvez peut-être leur donner des leçons…

        Répondre
      • @ »Père Vert » Serge,

        J’aimerais bien avoir une vue sur commenta alimenter l’Ile de France !? (idem pour la région Lyonnaise, marseillaise, Lilloise, etc…) – Nota : 60 % de la population française réside dans de grandes métropoles urbaines (avec des espaces limités !!!).

        Toujours aussi simpliste l’ENRisme à 2 sous du Pépère… Et en dessous de tout soupçon d’escrologie pour gagner 2 sous de plus !

        Répondre
  • Les énergies intermittentes nuisent gravement à la conduite du réseau et nécessite d’utiliser des centrales très flexibles. Ce sont généralement des centrales à gaz alimentées en gaz naturel, voire des turbines de type aéronautique. Leur rendement est moins bon et surtout elles ne fonctionnent pas en régime nominal, ce qui dégrade considérablement leur rendement.
    D’autre part, elles génèrent des contraintes techniques peu connues
    La source finale de l’électricité produite par les éoliennes et les panneaux solaires est constituée de convertisseurs électroniques. Ils n’ont pas d’inertie, comme les gros groupes turbo-alternateurs. Or, cette inertie est indispensable pour absorber, justement, les fluctuations rapides du réseau. Pour pallier ce défaut, il faut ajouter des dispositifs coûteux : batteries, condensateurs, le tout piloté (encore) par de l’électronique. Notons d’ailleurs que ces coûts ne sont toujours pas supportés par les ENR !
    Les équipements utilisateurs de l’électricité ont besoin d’une énergie productive mais aussi d’une composante non-productive (appelée énergie réactive). Seules les centrales à turbo-alternateurs peuvent la fournir. Là encore, on peut la fabriquer électroniquement mais au prix de gros investissements que l’on retrouvera ds le prix de l’électricité
    Ces deux problèmes sont cruciaux. À tel point que certains opérateurs d’ENR intermittentes suggèrent de faire tourner les grosses centrales à vide juste pour pallier ces défauts !
    Toutes ces béquilles pour tenir à bout de bras une énergie renouvelable aléatoire qu’on qualifie de gratuite est en réalité une vraie arnaque qu’on paiera au centuple ds un avenir proche.
    De plus au niveau CO² avec ces ENR intermittentes, quand on fait leur bilan carbone complet avec toutes leurs béquilles nécessaires, c’est du tout faux ! D’ailleurs pour s’en rendre compte, Il suffit de regarder l’intensité carbone des Allemands malgré leur 130 GW de renouvelables installés.

    Répondre
    • Non Dubus ça c’est le blabla habituel sans démonstration et encore moins de preuve.
      L’Allemagne produisait plus de GES lorsqu’ils avaient leur parc nucléaire au complet que maintenant, c’est donc la preuve contraire !
      Vous voulez que je vous redonne l’adresse des sites officiels ?

      Répondre
      • @ »Père Vert » Serge,

        Si vous pouviez définir ce que vous appelez « preuve » – en voilà 1 Une preuve, (en science ou en droit) est un fait ou un raisonnement propre à établir la vérité – source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Preuve

        Nota : Les américains ont décarboné leur Mix électrique avec beaucoup de Gaz en substitution du charbon…
        Sur votre propos « réducteur » : «  » L’Allemagne produisait plus de GES lorsqu’ils avaient leur parc nucléaire au complet que maintenant, c’est donc la preuve contraire ! «  » Ou est la preuve ou est le périmètre des données !? (Cf exemple Américains…)
        Comme le dit souvent Michel Dubus, les Allemands ont 130GW d’ENRi et une électricité 5 à 7 fois plus carbonée que celle en France en Hiver !!! (édifiant non !?)

        Répondre
      • comme dit APO à mon propos
        « Comme le dit souvent Michel Dubus, les Allemands ont 130GW d’ENRi et une électricité 5 à 7 fois plus carbonée que celle en France en Hiver !!! (édifiant non !?)
        et j’ajouterai en juillet 2022 que l’intensité carbone de FR était égale à 110g et DE = 450g soit 4 fois plus que ns ! Voir ELECTRICITY MAPS
        Pas besoin de tes sites officiels de la caméra explore le temps. Tu perd ton temps en essayant de te raccrocher aux branches pour faire diversion.
        Quand tu te retrouve en face de mon post charpenté (14 mars) basé de manière explicite sur de la technique réseau et sur les PB engendrés par les renouvelables, il est malhonnête de dire que c’est du blabla sans preuves.
        Ton idéologie malsaine et malveillante t’aveugle, pas besoin de preuve de ce côté là c’est explicite !

        Répondre
        • Il n’y a aucune branche à laquelle se raccrocher et aucune diversion.
          Il y a d’un côté une solution nucléaire qui aura une fin comme pour tout ce que l’on sort de la Terre pour le transformer en chanleur ….
          et de l’autre
          Un fournisseur dénergie inépuisable et qui pour cette seule raison finira par être le fournisseur unique pour tous le monde.
          La question est seulement de savoir combien de temps le fournisseur radin qu’est la planète pourra alimenter ceux qui croient en lui ! Et plus ils seront nombreux, plus vite le gateau sera manger.

          Maintenant on peut aussi discuter de tous les autres aspects du problème… mettre sur la table en permanence l’état d’émission de CO2 de la France et de l’Alleamgne, en dehors de votre vantardise puérile qui ne le doit qu’au hasard et ne démontre en rien une plus grande finesse de raisonnement qui nous aurait conduit au nucléaire, on peut constater que l’Alleamgne émettait plus de CO2 lorsqu’elle avait son parc nucléaire au complet que depuis qu’elle le diminue, mais simplement parce qu’elle diminue corélativement la béquille du nucléaire qui lui permettait de faire le suivi de charge au charbon. Et c’est la réalité constatée dans les statistiques officielles que vous niez systématiquement car ça ne corespond pas à votre dogme…. et là personne n’y peut rien.

          Répondre
          • C’est bô la « Père Version » de Serge !!!

            « Le Nucléaire qui fait du suivi de charge du Charbon en Allemagne !!! » Whaou, ça troue le plafond là (pas grave l’été approche) !!! Si seulement on pouvait avoir des liens vers des Datas quelconques de la part de « Père vert » Serge !

            Nota : @ »Père vert », Je crois que vous avez gagné le concours toute catégorie de la plus grosse bouffonnerie là !

          • @ »Père Vert » Serge,

            En quantités de puissance pilotable (ie : charbon, Lignite , Nucléaire et Gaz) l’Allemagne a toujours à peu de choses près la même quantité de pilotable, le Facteur de charge a changé vu la Quantité d’ENRi déployés…

            Les ENRi c’est souvent médiocre au Nord du 45ème parallèle sauf dans quelques zones, mais ce n’est pas ridicule… En ajoutant pléthores d’équipements cela produit, de là à produire 100% de l’énergie il y a beaucoup mais alors beaucoup de pas !!!

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