Le véritable coût de la production d’électricité (Tribune)

Eclairage signé Jean-Pierre Riou, chroniqueur indépendant sur l’énergie, membre du bureau énergie du Collectif Science Technologies Actions.

Une première mondiale par l’AIE

Conjointement avec la Nuclear Energy Agency (NEA), l ’Agence Internationale de l’Énergie (AIE) vient de publier la neuvième d’une série d’études sur le coût de production d’électricité, dont le tableau récapitulatif est reproduit ci-dessous.

 

Pour la première fois, cette étude contient des informations sur les coûts des technologies de stockage, des piles à combustible et l’exploitation à long terme des centrales nucléaires.

Pour la première fois également, elle est accompagnée d’un calculateur en ligne [1] du coût actualisé du courant produit (LCOE). Ce calculateur permet de télécharger facilement tous les tableaux de données du rapport et permet à l’utilisateur d’examiner l’impact de la modification de certaines variables, telles que le taux d’actualisation, les prix du combustible ou le coût du carbone.

Cette étude [2] comporte également les données détaillées sur les coûts de constructions de 243 centrales électriques de technologies différentes devant être mises en service à horizon 2025 dans 24 pays, à la fois de l’OCDE et non-OCDE, établis selon les contributions des gouvernements participants et traités selon une méthodologie commune afin de fournir des résultats transparents et comparables. L’impact du taux de charge des installations y est détaillé.

C’est à la fois le traitement homogène d’une telle quantité de données et le caractère interactif de leurs réponses grâce à la possibilité de modifier les paramètres d’entrée du simulateur en ligne qui a suscité le titre de « première mondiale », puisque l’AIE est une référence mondiale et que ces éléments constituent une première.

Car cette étude est de nature à fournir un éclairage précieux au débat public et aux arbitrages gouvernementaux auxquels il aura récemment fait défaut.

Un regard sévère sur le débat public français

L’AIE consacre tout un chapitre sur le débat public qui s’est déroulé en France de mars à juin 2018 au sujet de la révision de la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE).

L’Agence relève l’aspect essentiellement politique du débat nucléaire/renouvelable autour duquel s’est cristallisée une question dont le cadre n’a pas intégré la dimension européenne du système électrique.

Elle y déplore l’absence d’analyses économiques détaillées notamment l’absence de prise en compte d’études existantes pour modéliser avec précision les scénarios soumis au débat, interdisant au public d’appréhender les avantages et inconvénients des différentes options proposées.

Elle relève le fait que même s’il est largement admis que le LCOE des énergies renouvelables est inférieur à celui du nucléaire de nouvelle génération, cela n’apporte aucune indication sur la meilleure solution du point de vue économique, car leur caractère non pilotable entraîne un besoin croissant de flexibilités ou de renforcement du réseau qui ont un coût.

Pour l’AIE, en se focalisant sur le secteur de l’électricité, qui est déjà décarboné à 93%, le débat public français n’a pas permis d’éclairer la problématique des émissions de CO2.

Il est d’autant plus regrettable que la programmation française de l’énergie ait ainsi perdu de vue ce qui était présenté comme au cœur de ses préoccupations, que la justice s’apprête aujourd’hui à condamner l’État pour inaction climatique [3] .

La prolongation des réacteurs, production la plus économique

En retenant 30 dollars la tonne de CO2, les énergies bas carbone sont les plus compétitives. La moins chère de toute étant la prolongation des réacteurs nucléaires, ou long term operation (LTO), les coûts du « grand carénage » (refurbishment), du démantèlement (decommissioning) comme ceux d’opération et maintenance (O&M) étant spécifiques pour chaque pays, comme le montre le graphique ci-dessous.

La gestion des déchets est également annualisée et comprise dans la rubrique « decommissioning ».

Le parc français, prolongé de 20 ans propose ainsi un MWh à 30,7 dollars (USD 2018), devant le photovoltaïque (25 MW) à 33,94 USD/MWh, l’éolien terrestre à 56,08 USD/MWh et 89,82 USD/MWh pour l’éolien offshore.

Les projets de 3ème génération nucléaire français (1650 MW) sortent à 71,10 USD/MWh, contre 42,02 USD/MWh pour la 3ème génération nucléaire russe(1122 MW).

Avec un MWh compris entre 70,54 (Inde) et 146,49 USD (États-Unis) le charbon n’est déjà plus compétitif pour les  30 USD retenus pour la tonne de CO2.

L’étude contient quantité d’analyses sur les coûts de nombreuses technologies et leurs applications dans chaque secteur, tels que la mobilité électrique, le power-to-hydrogen dans l’industrie, ou la problématique du chauffage des bâtiments. Elle fournit quantité de données chiffrées permettant d’évaluer la quantité de CO2 évité pour une même somme d’argent public investie.

En fournissant notamment les données concernant la réalité des coûts du nucléaire, de son démantèlement et de la gestion de ses déchets, ce rapport bat en brèche une véritable campagne de désinformation sur le sujet dans les médias français.

Les arbitrages gouvernementaux souffrant alors d’une inévitable composante électoraliste.

L’AIE, un auteur chaudement recommandé

Cette publication de l’AIE survient au moment précis où l’Europe recevait une mise en garde sur les menaces « hybrides » liées à l’évolution du contexte politique mondial.

En effet, le mois précédent, l’Otan publiait le rapport d’un groupe de réflexion[4] qui alertait sur les cyber attaques et désinformations en Europe, identifiées depuis la Chine et la Russie et notamment de la coopération entre les deux dans ce domaine.

Ce rapport insistait sur le caractère primordial et la fragilité de la sécurité énergétique.

En première place de ses recommandations, il note :

« Les Alliés devraient renforcer leurs consultations politiques de niveau stratégique sur les questions relatives à la sécurité énergétique sous tous ses aspects, en y associant les acteurs de premier plan, s’il y a lieu, comme l’Agence internationale de l’énergie. »

Cette nécessité de faire mieux connaître les analyses de l’AIE est d’ailleurs d’autant plus nécessaire que les groupes financiers qui bénéficient des subventions aux EnR ont parfaitement les moyens d’entretenir eux-mêmes les idées fausses sur la sécurité permise par les énergies intermittentes.

France Stratégie vient de s’interroger [5] sur la faiblesse de la production garantie par les énergies renouvelables (1% de leur puissance installée), et note que « le passage des pointes de production s’effectue dans 90 % des cas par des moyens pilotables ».

Dès aujourd’hui, le gestionnaire de réseau RTE confirme qu’en cas de vague de froid, les français devront réduire leur consommation [6] pour éviter d’avoir à subir des coupures d’alimentation.

La cannibalisation des EnR

L’étude de l’AIE soulève le problème de l’effet de « cannibalisation » des énergies renouvelables, c’est-à-dire le fait qu’elles détruisent leur propre valeur quand les conditions météorologiques leur sont favorables.

Ce qui pose un problème d’autant plus épineux dans un marché de l’électricité libéralisé que les EnR bénéficient de compléments de rémunération, que la présence de centrales pilotables reste incontournable, mais que les Directives européennes interdisent les aides d’État.

Le mix électrique français doit être appréhendé dans son cadre européen, et la spécificité nucléaire de son rang de plus gros exportateur mondial est un atout maître pour permettre le remplacement du charbon de nos voisins par des EnR intermittentes.

L’effondrement des cours lié aux EnR, décrit par l’AIE, compromet son financement sur le seul marché de l’électricité.

Le temps des questions

Il n’est que temps de cesser de focaliser nos efforts sur la façon d’atteindre des objectifs déclinés en termes de parts d’énergies renouvelables électriques intermittentes et de réduction de la part nucléaire. Et de s’interroger enfin sur les avantages attendus.

Il n’est que temps d’oser remettre en question un dogme venu d’on ne sait trop où pour s’engager dans une politique énergétique efficace et de long terme, digne de la sortie des énergies fossiles de notre mix électrique en un seul septennat [7] .

 

https://www.iea.org/articles/levelised-cost-of-electricity-calculator

https://www.iea.org/reports/projected-costs-of-generating-electricity-2020

https://www.20minutes.fr/planete/2952875-20210114-carence-climatique-etat-quatre-ong-affaire-siecle-ravies-apres-audience-jeudi

https://www.nato.int/cps/en/natohq/176155.htm

https://www.strategie.gouv.fr/publications/securite-dapprovisionnement-electrique-europe-horizon-2030

https://www.rte-france.com/actualites/rte-incite-les-francais-reduire-leur-consommation-delectricite-le-8-janvier-2021

http://www.economiematin.fr/news-vge-modele-economie-europe-changement-paradigme-riou

commentaires

COMMENTAIRES

  • Le nucléaire,est indispensable, pour la France,surtout pour gardé, des coups de l électricité au plus bas,et il ne faut surtout pas laissé éclaté, EDF ,par la complicité du gouvernement,en place et par le tratege macron roi de la réforme, qui appauvrit la France et les français, gare aux conséquences, et la goutte d eau qui vat faire pété la cocotte, j espère que les français vont pas laisser démantelé, se groupe, purement français.

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  • Un article tres tres intéressant qui met un peu les pendules à l’heure et donne acces à un calculateur incomplet sans soute mais néanmoins intéressant

    Répondre
  • La question du coût réel de l’électricité est bien sûr on ne peut plus pertinente. Mais comment traiter cette question?
    A l’évidence elle est traitée comme, pardonnez l’expression, une « technostructure » et la réponse apportée est limpide sur les graphiques: l’article montre la performance économique du nucléaire.
    L’article le montre mais ne le démontre pas, du moins il n’a a pas d’éléments pertinents présentés, on parle d’un simulateur complexe…
    Je sais bien que parler de bon sens peut faire sourire ceux qui analysent à coups d’algorithmes de simulations de mise en équation …. et pourtant je vais le faire.
    A commencer par un comparatif plein de bon sens justement et sur lequel nous avions maintenant un recul et un retour d’expérience intéressant.
    Je compare le nucléaire et le bio.
    L’histoire du bio pour faire simple commence dans les années 70 comme le nucléaire en France d’ailleurs. Les mêmes acteurs étaient en jeu, d’un côté les “écolos barbus” de l’autre les “technocrates”.

    50 ans après où en est-on?
    Le bio progresse, tout le monde ne s’y met pas forcément avec l’éthique qui devrait l’accompagner mais soit. La demande du consommateur est là, les producteurs n’arrivent pas à satisfaire cette demande. Une partie des techno agriculteurs ceux bénéficiaires de la manne financière de l’Europe résistent du coup les surface agricoles consacrées au bio sont faibles et pourtant le bio devient la référence économique avec sa courbe de progression à 2 chiffres. Et même plus cher, les consommateurs prouvent la pertinence du bio.

    Il en va de même pour les énergies renouvelables. Croissance très forte alors qu’il y a 20 ans, rares sont ceux qui y croyait!.

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  • On ne peut pas parler des ENR et du nucléaire sans aborder la question de l’intermittence et du pilotable.
    C’est comme pour le bio,ceux qui disent que le bio ne pourra jamais satisfaire les besoins alimentaires mondiaux ont raison. Sauf que l’agriculture conventionnelle non plus, le problème de la faim dans le monde est là et ne s’arrange pas.
    Tout comme il serait illusoire de passer au tout bio sans changer nos comportements alimentaires (notamment la consommation de viande qui condamne la plus grande partie des terres cultivables) parler d’ENR sans remettre en cause notre mode de consommation serait une ineptie et elle nous guette. Il ne s’agit pas de retourner à la bougie ou de faire circuler les trains quand il y a du soleil ou du vent mais plutôt d’efficacité, d’efficience, d’innovation, de défis humains. L’histoire de solar Impulse (tour du monde en avion solaire) est là pour montrer que l’impossible n’existe que pour ceux qui se trouvent bousculés dans leur conviction voire leur certitude. Solare impulse a été construit non pas par des ingenieurs en aéronautique qui unanimement ont parlé “d’impossible”, mais par une équipe passionné pour relever ce défis “mettre la technologie au service de la nature et de l’humain”.
    Et pour le reste il faut justement faire confiance à la technologie hydrogène, aux batteries, au bon sens, oser arrêter ITER, et admettre qu’il faudra conserver des moyens pilotables le temps qu’il faut pour assurer cette transition vers un monde respectueux de la nature et de l’humain.
    De la à dire que le nucléaire est le mieux placés, c’est une autre histoire certes le CO2 émis en fonctionnement est très faible dès lors qu’on occulte tout de qui est nécessaire du berceau à la tombe pour produire des kWh.

    Répondre
  • Et le nucléaire?
    Déjà une correction sur l‘article
    “Les projets de 3ème génération nucléaire français (1650 MW) sortent à 71,10 USD/MWh”
    Les chiffres dont nous disposons sont ceux du nucléaire d’Hinkley point managé par EDF et le coût de vente « sortie centrale” est de 110 ou 120€ le kWh.
    Quant au nucléaire Franco Français, la référence actuelle est l’EPR de Flamanville dont je rappelle que le coût est actuellement de 13 milliards pour 3 initialement prévus; la Cour des Comptes estime à 19 milliard le coût à venir. C’est dire que l’affirmation de l’AIE de 71,1 USD semble sortir de prévisions bien hasardeuses, enfin chacun appréciera.
    Ceci étant je note que les coût du nucléaire selon l’AIE sont compris entre 50 et 75 USD, en oubliant Hinkley Point et les déconvenues françaises.

    ET les ENR?
    Les coûts selon l’AIE seraient compris entre 50 et 100 USD pour le PV et l’éolien hors résidentiel à 130USD.
    50 70 USD semble effectivement correspondre au coût en Europe mais certainement pas dans les pays à fort ensoleillement où les centrales construites affichent un coût de vente plutôt de l’ordre de 30 USD.
    Concernant le résidentiel , les coûts opérés sont largement faussés par des coûts d’installations souvent prohibitifs, souvent facteur 2 par rapport au coût réel, sans compter que l’auto installation encadrée alliée au prix très bas des matériels peut encore faire chuter les coûts.
    Avec une perspective affichée “zéro énergie, 0 carbone” en recourant au solaire PV et à la pompe à chaleur, le succès de ces 2 technologies est garanti, “quoi qu’il en coûte » et en plus les coûts restent très abordables.
    Pour terminer sur mes réactions
    On critique souvent les énergies renouvelables en ce sens que le coût énergétique basé sur cycle de vie est prohibitif notamment par rapport au nucléaire.Quelque part on a des chiffres critiquables car basé sur une fabrication chinoise dont l’électricité est fortement carbonée par le charbon.
    Les mêmes capteurs fabriqués en France deviendraient vertueux!!.

    Une étude sérieuse sur le cycle de vie de la technologie du nucléaire ne me semble pas exister, en cause la complexité!
    En effet, elle doit aller de la mine jusqu’à la gestion des déchets dont la durée de vie est pour certains supérieure à 10000 ans; en passant par la phase construction (cf EPR Flamanville et EPR Finlandais) la déconstruction ( à défaut de chiffres on parle de plusieurs dizaines d’années…) , le combustible depuis sa fabrication jusqu’à sa trituration à la Hague.
    Et que dire des coûts d’exploitation (500 personnes pour exploiter un réacteur) et combien pour la maintenance (les réacteurs de Flamanville ont été arrêtés pendant près de 2 ans!!) sans compter le grand carénage, les chiffres varient entre 1 et 2 milliard par réacteur (EDF/Cour des Comptes)…
    L’incapacité technique a faire une telle étude laisse augurer de résultats que chacun peut imaginer.

    Répondre
  • Encore un article pronucléaire financé par le lobby qui se gave de son monopole public!

    Le charbon est très compétitif, il suffit de capter intégralement ses rejets de CO2, pour les transformer en méthane et méthanol carburants, ce qui se fait en Islande depuis plusieurs années avec le Co2 de la Géothermie!

    L’Europe dispose de grandes réserves de charbon qui lui permettraient si il y avait la volonté politique, de s’affranchir du gaz russe, du pétrole moyen-oriental et de l’uranium kazakhe!

    Mais tout est fait pour devenir les dindes laquais de l’empereur du milieu!

    Les cours du cuivre et des terres rares vont exploser grâce à la voiture atomique, dont les éléments seront produits en Chine avec de l’électricité au charbon!

    Les traîtres qui promeuvent leurs petites carrières en nous vendant à la Chine totalitaire, ne l’emporteront pas au Paradis!

    Répondre
    • Oui, en effet, encore de la propagande nucléophile sur ce blog, déguisée dans un sujet intéressant par ailleurs.
      Et oui, en effet, le nucléaire est la bonne solution pour se retrouver à lécher les semelles de la Chine, dès qu’on aura fini le pillage du Sud-Sahara.
      Le charbon n’est pas un but, mais un moyen pour assurer une transition vers le monde de demain. Mais la politique politicarde bien française fera un pays attardé d’un pays déjà très en retard.
      Le coût du démantèlement sera quand même à assumer, les accidents coûteront très cher.
      Et on n’aura plus un rond pour faire face ni pour évoluer.
      Le nucléaire est une impasse, il mettra la France à genoux.
      La France devrait faire une longue marche arrière, mais choisit de continuer tout droit. Navrant et grave.

      Répondre
      • Vous ne répondez à aucun point de l’article qui a le mérite d’apporter de nombreuses informations que chacun peut contester. Vous, vous ne savez que vomir votre haine qui doit bien traduire soit un manque de connaissances sur le sujet, soit un trouble de l’esprit, soit une fréquentation abusive de substances addictives, soit un QI faible…. A vous de nous éclairer en argumentant comme vous savez si bien le faire.

        Répondre
      • Oui, en effet, votre propagande nucléophobe sur ce blog, n’a pas d’égal dans la mauvaise foi et le grand n’importe quoi. Vos arguments, non vos délires, ne répondent en rien à l’article riche d’informations que l’on peut contester mais avec un minimum de rigueur, ce que vous n’êtes pas capable de faire.

        Répondre
    • Oh, Oh, n’y a-t-il aucune modération pour laisser passer de tels propos haineux qui n’ont rein à faire sur ce forum?

      Répondre
  • Titre : Le véritable coût de la production d’électricité (Tribune). Premier paragraphe : « Conjointement avec la Nuclear Energy Agency (NEA), l ’Agence Internationale de l’Énergie (AIE) vient de publier la neuvième d’une série d’études sur le coût de production d’électricité ». Baser un article sur une étude conduite conjointement avec la NEA ne peut qu’aboutir à une conclusion biaisée favorable au nucléaire qui ne reflètera pas le coût véritable de l’électricité.

    Dommage, j’avais espéré un article plus « neutre ». Je lis aussi les articles du site « Décrypter l’énergie », initiative de l’association négaWatt qui est clairement anti-nucléaire. Je suppose le site « Le Monde de l’énergie » plutôt pro-nucléaire. Pour essayer de se faire une idée juste de l’énergie, il convient de confronter les articles des deux sites. Travail laborieux mais instructif.

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